Intégrez dès maintenant L’ESA, École Supérieure d’Assurances, devenue en 40 ans d’expériences, un acteur majeur des formations dans les domaines de la banque et de l’assurance à Paris. Nous proposons des formations qualifiantes allant du BTS à Bac+5 et répondant aux besoins du marché du travail.

Trouvez votre formation

Spécialisés dans les métiers de la banque et de l’assurance, nous offrons à nos élèves toutes les compétences nécessaires pour devenir de vrais professionnels de l’assurance, de la banque, de l’immobilier, du risque, de la gestion de patrimoine et du digital.
Afin de rendre notre offre toujours plus complète, nous avons mis en place des formations internationales avec de doubles programmes dispensés en anglais et en français.
Les compétences acquises par nos étudiants tout au long de leur parcours de formation vont leur permettre d’intégrer des postes en France ou à l’étranger. Ils pourront ainsi travailler aussi bien en compagnie, en agence, en cabinet de courtage, en cabinet de conseil, en mutuelle qu’en institut de prévoyance.

Une formation adaptée à vos besoins

Que vous soyez en reconversion professionnelle, étudiant ou encore à la recherche d’un emploi en alternance, les formations dispensées au sein de l’ESA sauront répondre à vos attentes. C’est pourquoi nous proposons des formations en alternance, des formations professionnelles continues et des formations à distance.
L’école propose à ses élèves un suivi personnalisé et adapté à leurs objectifs afin de garantir au mieux la réussite de leurs études.
Dans une société ou adaptabilité et autonomie sont les maîtres mots, nos formations sont conçues de manière à ce que les étudiants de L’ESA développent les qualités requises pour s’intégrer rapidement et efficacement à leur environnement professionnel.

Contactez-nous dès maintenant pour plus de renseignements ou venez nous rencontrer directement au sein de l’école. Toute l’équipe de L’ESA ainsi que les élèves seront heureux de répondre à vos questions.

Souscrire à une assurance en ligne est de plus en plus courant à l’heure où le monde se digitalise en permanence. Face à ce nouveau défi du numérique, le domaine des assurances a dû lui aussi s’adapter en proposant une offre en ligne. Quels sont les aspects positifs et négatifs que présentent les contrats d’assurance en ligne ? Entre facilité, simplicité et gain de temps, la souscription à une assurance via le web comporte de nombreux bénéfices. Mais quelles en sont les limites ?

Les avantages des assurances en ligne

Il est primordial à l’heure actuelle pour les assureurs de disposer d’un site internet. Cet outil devenu indispensable aussi bien pour les assureurs que pour les assurés constitue la vitrine en ligne des assureurs. Le site internet des assurances doit regorger d’informer pratiques et utiles pour la clientèle et lui permettre une gestion totale à distance.

Même si le contact physique n’intervient plus, l’interaction avec les clients reste toutefois présente, et même facilitée. Elle se présente sous diverses formes : téléphone, e-mail, espace personnel, chat. Cela permet de coïncider avec les emplois du temps et les besoins des assurés.

Via le site web, l’assuré a accès à un espace personnel qui lui est dédié et qui contient tout le nécessaire par écrit (contrats, conditions, etc.). Toutes les démarches s’effectuent donc à distance pour un gain de temps très important.

Les inconvénients des assurances numériques

Malgré tous les avantages que comporte la souscription à une assurance en ligne, elle peut ne pas convenir à tout le monde. Tout d’abord, la quantité d’offres sur le web en matière d’assurances s’avère élevée tout comme le risque pour un particulier de s’y perdre et de ne pas savoir à qui s’adresser. Avoir un contact physique avec un conseiller est également un gage de confiance et permet d’être rassuré. Le fait d’être accompagné par un expert aide aussi à ne pas se tromper, surtout pour les personnes qui n’ont jamais fait appel à un assureur par le passé. Certaines personnes préfèrent privilégier les contacts physiques en s’adressant à un interlocuteur direct.

Même si le service à la clientèle d’une assurance en ligne présente une grande efficacité, il est légitime par ailleurs d’être plus à l’aise avec une agence physique. Toutefois, le nombre d’assurances en ligne est tel qu’il est bon de se fier aux avis et aux recommandations sur le web.

Un métier dans l’assurance vous intéresse ? N’hésitez pas à consulter nos offres de formation pour devenir un véritable expert en la matière ! 

En relation directe avec la clientèle, l’attaché commercial cumule les fonctions de commercial et de conseiller. L’ESA Assurances propose des formations au métier d’attaché commercial adaptées aux étudiants, professionnels du secteur et personnes en reconversion professionnelle.

Attaché commercial : un professionnel de la vente

L’attaché commercial commercialise les produits de l’entreprise qui l’emploie. Il doit donc maitriser les techniques de vente et conclure grâce à un argumentaire efficace. Son activité est fixée par la réalisation d’objectifs. Pour augmenter son chiffre d’affaires, il cherche à développer sa clientèle en réalisant des opérations de prospection.

Attaché commercial : un spécialiste du conseil en assurance

Pour satisfaire l’ensemble de ses clients, l’attaché commercial offre des conseils de qualité, parfaitement adaptés à leur situation personnelle. Il réussit à convaincre ses interlocuteurs grâce à une parfaite connaissance des produits qu’il propose. Il organise le suivi de ses activités pour mesurer la satisfaction de la clientèle, dont il est l’interlocuteur privilégié. Il peut même devenir force de proposition pour faire évoluer l’offre de l’entreprise.

Attaché commercial : les qualités pour réussir sa carrière

Comme tout professionnel de la relation client, l’attaché commercial possède un grand sens de l’organisation pour jongler efficacement entre ses rendez-vous et les dossiers en cours. Un esprit d’écoute et d’analyse, une bonne présentation et une aisance orale sont autant d’atouts pour réussir dans cette fonction. Nos formations de Bachelor Ingénieur Commercial et Chargé de Clientèle en Assurance et Banques vous permettent d’acquérir ces compétences essentielles.

Attaché commercial : salaires et perspectives ?

Le salaire dépend de l’expérience et du profil du candidat :

Un attaché commercial peut rapidement évoluer vers de nouvelles fonctions :

Trouvez la formation qui vous correspond au sein d’ESA Assurances. Quel que soit votre profil, il est toujours possible de trouver la voix pour parvenir à vos aspirations professionnelles !

Toute entreprise, durant son existence, est exposée à des risques qu’il faut couvrir par les assurances. Le métier de manager de risques consiste à prévenir les dommages ou dangers pouvant affecter l’entreprise durant l’exercice normal de ses activités. Le manager de risques contracte les assurances appropriées. Pour accéder à ce poste de challenge, une formation adéquate est requise. ESA Assurances propose des formations qualifiantes pour ce métier, et dans d’autres secteurs également.

Les formations proposées par ESA assurances

Notre établissement, l’école ESA Assurance met à votre disposition diverses formations dans plusieurs secteurs :

Les cours se font en présentiel et en ligne, en fonction des besoins des étudiants. Nous proposons aussi une formation en alternance et une formation continue. Quel que soit le procédé de formation, les cours dispensés demeurent de qualité. Ils sont validés ensuite par le certificat correspondant. Certains secteurs touchent de manière transversale les autres domaines, c’est le cas de l’assurance et du risque.

La formation en ligne pour devenir manager de risques

La formation en ligne que nous dispensons pour devenir manager de risques développe les compétences de l’étudiant portant sur l’identification des risques au sein de l’entreprise. De plus, vous pouvez anticiper les risques, ce qui permet de les classifier selon leur temporalité, leur portée, etc. Vous êtes ainsi préparé à détecter et à conclure les assurances adéquates pour couvrir ces risques.

Une fois les différents risques identifiés et classifiés, le manager de risques sélectionne la compagnie d’assurance. L’assureur doit notamment posséder la capacité technique et financière pour protéger efficacement l’entreprise. En d’autres termes, les risques couverts doivent être complets. De plus, l’assureur doit posséder une bonne santé financière pour faire face aux besoins de l’entreprise en cas de sinistre.

La formation en ligne pour devenir manager de risques inclut des regroupements et l’examen final de qualification.

Prérequis : être titulaire d’un Bac + 3 validé.

Restez connecté pour ne rien manquer.

Avoir une licence ou un quelconque diplôme dans l’immobilier ne vous mène pas sur un chemin spécifique. Il existe de nombreux cheminements de carrière dans l’immobilier qui correspondent aux différentes compétences et intérêts des diplômés. Avant d’obtenir votre premier emploi dans l’immobilier, il est important de connaître vos options. Lisez cet article pour découvrir toutes les portes qui s’ouvrent à vous.

Devenir agent immobilier

C’est le premier emploi le plus populaire dans l’immobilier. Un agent immobilier aide à vendre un bien. Le but principal de ce travail est de représenter le vendeur ou l’acheteur d’une propriété. Ce poste implique une bonne quantité de réseautage, de maintien de relations et de paperasserie. Les agents immobiliers gagnent généralement une commission ou un pourcentage, du montant pour lequel leur propriété a été vendue/achetée. Dans la plupart des pays, un agent immobilier doit travailler sous une maison de courtage.

Embrasser une carrière de courtier immobilier

Comme les agents, les courtiers aident à la vendre, à acheter ou à louer des biens immobiliers. Cependant, les courtiers ont l’opportunité unique de travailler de manière indépendante ou de gérer d’autres agents. Un courtier peut se spécialiser dans les immeubles commerciaux, les immeubles de placement, les terres agricoles, les entreprises, les installations industrielles ou médicales et des dizaines d’autres types de biens. Certains courtiers se spécialisent dans la gestion de stations balnéaires ou assistent des agences gouvernementales dans le réaménagement de sites industriels ou la remise en état de terrains. Mais, dans de nombreux États, vous devez travailler dans le secteur immobilier pendant quelques années avant de pouvoir devenir courtier.

Devenir évaluateur immobilier

Le travail d’un évaluateur consiste à développer une opinion sur la valeur marchande ou toute autre valeur d’un bien immobilier. Presque toutes les maisons sous contrat ou les personnes cherchant à refinancer doivent faire l’objet d’une évaluation. C’est un excellent moyen d’être actif dans le domaine de l’immobilier et d’obtenir un salaire cohérent. Les évaluateurs doivent être des experts de leur marché. Si vous vous sentez comme un expert dans votre domaine, l’évaluation peut être une excellente carrière à envisager.

Vous êtes un professionnel qui souhaite approfondir ses connaissances ? Ou bien êtes-vous une personne en reconversion professionnelle ? Ou tout simplement un futur étudiant qui hésite encore sur la formation à choisir ? Bienvenue à l’ESA où vous trouverez la formation qui répond le mieux à vos attentes en termes de métiers les plus rémunérateurs.

Aperçu des secteurs les plus rémunérateurs

Pour vous aider à choisir la formation correspondante aux secteurs qui rémunèrent le mieux en 2022, nous vous présentons quelques exemples précis :

Le secteur commercial

Ce secteur comprend les métiers de commercial, de commercial PME-PMI, de technico-commercial et de responsable grands comptes qui sont rémunérés de 36 000 à 85 000 €/ an. Un commercial en magasin touche entre 35 000 à 80 000 €. Tandis qu’un spécialiste du commerce international gagne entre 38 000 et 110 000 €.

Le secteur juridique et finance

Des études de droit vous ouvrent la porte au métier de juriste qui gagne en moyenne 57 000 € brut/an. Un diplôme en finance et en gestion de trésorerie vous permettra de toucher un salaire entre 39 000 et 110 000 €/an.

Le secteur de la gestion et de l’audit

Les métiers des experts des chiffres sont très bien rémunérés. Ainsi, un comptable peut gagner de 36 000 à 71 000 €, tandis qu’un contrôleur de gestion et un spécialiste de l’audit peuvent facilement percevoir un salaire entre 38 000 et 80 000€.

Le secteur de la production

Le salaire d’un cadre de la production industrielle avec un diplôme d’ingénieur balance entre 38 000 et 78 000 €, soit en moyenne 55 000 € brut/an. De même pour un ingénieur process et méthodes, tandis qu’un ingénieur qualité gagne en moyenne 53 000 €.

Le secteur de l’informatique

En France, le salaire d’un directeur informatique va de 45 000 à 120 000 €/an, soit une moyenne de 75 000 €. Les chargés de la maintenance et de l’exploitation informatique sont payés en moyenne 54 000 €, les spécialistes de l’informatique de gestion 52 000 € et les développeurs de sites web 49 000 €.

Quelles formations de l’ESA permettent de faire ces métiers ?

L’École Supérieure d’Assurances Paris (ESA) dispense des formations diplômantes dans les métiers du commercial, du marketing et du management. L’objectif est de former des ingénieurs commerciaux compétents et performants.

Quant au secteur de la finance, nous offrons des formations du Bac+2 au Bac+5 dans différents domaines : la banque, l’assurance, l’immobilier, la gestion de patrimoine et le risque. Les formations se font en alternance, en formation initiale ou continue, en présentiel ou à distance.

L’objectif principal de chaque formation ESA est de professionnaliser l’étudiant afin que ce dernier puisse acquérir les compétences requises pour chaque métier envisagé.

Vous souhaitez exercer dans le secteur de l’immobilier ? Sachez que vous pouvez désormais vous former gratuitement à ces métiers grâce au Compte Personnel de Formation (CPF).
Découvrons ensemble les spécificités de cette filière, ses débouchés, ainsi que les différents parcours qui s’offrent à vous.

Le secteur de l’immobilier et ses débouchés

Si vous avez un goût prononcé pour la vente et la relation client, cette filière devrait vous intéresser.

Le secteur de l’immobilier demeure vaste et offre de nombreuses perspectives professionnelles. Parmi celles-ci, on peut citer les métiers de :

En occupant l’un de ces postes, vous pourrez être amené à travailler au sein d’une agence immobilière, pour un promoteur et constructeur immobilier, ou encore pour le compte d’un cabinet d’administration de biens…

Les statuts sont également variés, puisque vous pourrez choisir d’exercer à votre compte, en tant que salarié, ou bien comme fonctionnaire.

Afin de devenir professionnel de l’immobilier, il est indispensable de posséder de solides connaissances et compétences à la fois commerciales, financières et juridiques. Les profils ayant la maitrise de ces trois composantes sont très prisés sur le marché de l’emploi.

Nos formations éligibles au CPF

Nous proposons des formations, éligibles au CPF, dont la vocation est de vous préparer au mieux à votre futur métier dans la filière immobilière. Celles-ci sont accessibles pour les niveaux BAC+3 et BAC+5.

Nos cursus BAC+3

Ces deux cursus à dominante « assurance et banque », vous permettront de maîtriser les différents aspects de la relation commerciale. Il vous sera possible d’envisager, par la suite, une spécialisation dans l’immobilier.

Notre cursus BAC+5

Nous vous invitons à découvrir ces formations éligibles au CPF et à nous contacter pour en savoir plus.

Dispositif créé en 1985, et surnommé VAP 85, qui permet d’intégrer une formation diplômante universitaire en l’absence des diplômes prérequis pour cette formation.
À la différence de la VAE (validation des acquis en entreprise), la validation des acquis professionnels et personnels permet de reprendre des études.

Pourquoi accéder à une VAPP?

Ce cursus permet notamment de garantir le succès d’une reconversion professionnelle.
Elle va pouvoir assurer que le candidat a le socle minimal de connaissances, acquis lors de ses expériences professionnelles précédentes pour pouvoir suivre la formation visée.
Ainsi la fluidité entre l’expérience professionnelle acquise et la formation visée est assurée et permettra ensuite au candidat de valoriser son cursus en pouvant par exemple postuler à un poste mieux rémunéré, avec le diplôme ainsi obtenu.

Les conditions pour accéder à la VAPP

Elle est ouverte à toute personne de plus de 20 ans, qui a interrompu ses études initiales au moins deux ans avant et qui a au moins trois ans d’expérience professionnelle (en continu ou non) en rapport avec la formation visée.
Le candidat peut avoir acquis cette expérience en tant que salarié, en statut indépendant, ou en profession libérale.
Les acquis pris en compte sont :

Les formalités

Ce dispositif est au tarif de 200 €
Avant toute demande de candidature auprès de l’université, il faut au préalable que le candidat définisse son projet et avoir en vue une formation précise.
Il lui sera demandé des preuves d’acquisition de son expérience (fiches de poste, recommandations d’employeurs, certificats de formation).
Il devra décrire et analyser ses compétences et connaissances acquises et démontrer ses capacités d’apprentissage.
Il lui faudra justifier précisément de toutes les activités et projets exécutés.

Les formations afin de travailler en assurance sont multiples : que vous soyez étudiant, salarié, que vous vouliez vous former à distance ou à l’université, le secteur des assurances est large et propose beaucoup de possibilités.

Formez-vous à l’université

Il est possible de suivre une formation dans un lycée, à l’université ou dans une école. Le BTS (Brevet de Technicien Supérieur) s’effectue par exemple au sein d’un lycée et se réalise en deux années après le bac. Le BTS Assurance est particulièrement professionnalisant et vous permet de vous diriger vers un secteur d’activité précis afin de commencer à travailler à la fin de vos études.

La formation à l’université sera plus générale et pourra durer jusqu’à cinq ans. Ainsi, vous pouvez réaliser un DUT Gestion des Entreprises et des Administrations, un DUT Technique de commercialisation ou un DUT Carrières juridiques. Par la suite, vous pouvez réaliser un master tel que le master Carrières commerciales de la banque et de l’assurance, le master Assurance et analyse financière, etc. afin de vous spécialiser. Vous pouvez également choisir de faire une licence professionnelle, qui elle comportera une application pratique des cours que vous aurez suivis au travers d’un stage ou d’une formation en alternance.

Enfin, des écoles sont spécialisées dans ce domaine et vous offrent donc les formations qui conviennent.

Formez-vous à distance

Ce type de formation a été pensé pour ceux qui ne sont pas étudiants, pour les salariés notamment qui sont en reconversion professionnelle par exemple. Ainsi, vous avez accès à des cours à distance dispensés par des écoles privées, des centres de formation… Avec un tel système, vous êtes libre d’adapter les cours à votre emploi du temps et de travailler à votre rythme sans avoir à quitter votre entreprise pour aller suivre des cours. Ces formations sont ouvertes chez le CNED, le CNAM, l’ESA, etc.

Vous pouvez donc choisir de vous spécialiser en deux ans afin de rapidement intégrer le métier que vous souhaitez. Mais aussi, vous pouvez vous tourner vers des études plus longues. Généralistes au départ, elles vous permettront d’accéder à d’autres métiers dans l’assurance. Sinon, vous pouvez opter pour une formation à distance dans le but d’obtenir les qualifications nécessaires pour travailler dans l’assurance en peu de temps !

Devenir agent immobilier ou exercer dans le domaine est le rêve de plusieurs personnes lorsqu’on leur parle des avantages du métier. Mais avant, il est important de savoir que pour y parvenir, une bonne formation post-baccalauréat est nécessaire. Il s’agit ici d’un bachelor orienté immobilier, d’un DUT, mais encore mieux, d’une licence si vous visez loin plus tard. Lisez la suite pour découvrir les licences adéquates au métier d’agent immobilier.

Quel BAC pour prétendre à une formation immobilière ?

Avant de penser à quelle licence faire pour travailler dans l’immobilier, il est important de savoir quels baccalauréats sont éligibles. En réalité, toute personne titulaire d’un baccalauréat peut postuler pour une formation de niveau BAC+2 en immobilier. Mais bien qu’il n’y ait pas réellement de restrictions, certains profils sont plus susceptibles d’obtenir des admissions dans une formation diplômante immobilière. Il s’agit majoritairement des titulaires d’un BAC STMG, d’un BAC ES ou encore d’un baccalauréat pro-Gestion Administration.

Quelle formation professionnelle choisir ?

Une fois le baccalauréat obtenu, vous avez le choix entre une formation de deux ans suivie d’une licence professionnelle ou une formation de trois ans. Voici les possibilités qui s’offrent à vous.

Le BTS Professions Immobilières ou encore BTS PI

Le BTS PI est l’une des formations de niveau BAC+2 sinon la seule à vous ouvrir les portes du monde immobilier. Ce diplôme généraliste vous permettra de devenir après deux ans un technicien supérieur en immobilier. L’avantage avec ce BTS est qu’il vous permet facilement de compléter votre formation avec une licence professionnelle plus avancée.

Quelle licence vous faut-il ?

Après un BAC+2 qui peut être soit un BTS PI ou une autre formation de deux ans dans le domaine, vous pouvez faire la licence professionnelle immobilière qui ne dure qu’une année.

La licence professionnelle se différencie du bachelor grâce aux frais d’inscription abordables. Les cours abordés y sont également plus théoriques que ceux d’un bachelor. Pendant cette année d’étude, votre formation sera axée sur les notions relatives à la fiscalité, le droit ou le commerce. Après l’obtention de la licence, vous aurez le choix entre poursuivre vers un master, intégrer une école de commerce, une école d’ingénieurs ou suivre une formation en alternance.

Pour en savoir plus sur les formations dans le secteur de l’immobilier, n’hésitez pas à nous contacter.

ESA – École Supérieure d’Assurances Paris organise le jeudi 16 juin 2022, la 21ème édition du Trophée ESA Golf Cup 2022 en présence de professionnels de l’assurance

ESA GOLF CUP 2022

L’ESA – Ecole Supérieure d’Assurances, renouvèle l’organisation de son rendez-vous annuel sportif et convivial.

A ce titre, la 21ème édition de l’ESA Golf Cup 2022 se déroulera le Jeudi 16 Juin 2022 au Golf des Yvelines dans le Château de La Couharde.

Destinée aux partenaires de l’ESA, cette rencontre de golf annuelle a pour vocation de permettre à chacun de se retrouver et d’échanger autour des valeurs fédératrices du golf.

L’organisation de la journée permet :

Mot du Président de l’ESA

Magnifique opportunité pour souligner l’esprit de challenge de l’ESA, Ecole Supérieure d’Assurances et se retrouver enfin autour d’un tournoi sportif, propre à notre histoire, nos valeurs et nos engagements.

Norbert CHARASCH

Organisation

A partir de 08h30 heures, nous accueillerons l’ensemble des partenaires et Partenaires VIP au sein du Château de La Couharde autour d’un petit-déjeuner. Au cours de la journée, l’ESA CUP se jouera par équipe de deux joueurs, en scramble, avec départ en shot gun (départ simultané des équipes réparties sur les 18 trous du parcours).

Animations, échanges, rencontres et conseils professionnels animeront cette journée et finir en beauté la cérémonie de Remise des Prix accompagnée des différentes allocutions du Président, des partenaires et des gagnants.

ESA GOLF CUP 2022 – Présentation et programmeTélécharger

Événement réservé exclusivement aux professionnels de l’Assurance

Parcours d’initiation et Parcours professionnel

Inscription

Ce mercredi 18 mai, RenaSup, organisme en charge des formations supérieures au sein de l’enseignement catholique, l’École Supérieure d’Assurance (ESA) et agéa, Fédération nationale des syndicats d’agents généraux d’assurance ont signé une convention de coopération pour le déploiement de plusieurs bachelors dédiés.

Signature de Norbert CHARASCH – Président de l’ESA

Signature d’Yves Ruellan – Président de Renasup

En signant cette convention, agéa poursuit ses actions de promotions des métiers en agence. Les objectifs sont multiples :

Pour accéder à un cursus disponible sur l’ensemble du territoire, il était important d’associer trois acteurs dont les spécificités en feront le succès. La convention va renforcer les relations entre les écoles, les étudiants et les agences d’assurance. Enfin, la voie de l’apprentissage permettra aux étudiants de connaitre la richesse et la diversité des activités en agence.

RenaSup

RenaSup est l’organisme officiel de l’enseignement catholique en charge des questions d’enseignement supérieur.

A ce titre, il rassemble 525 lycées et centres de formation en alternance qui accueillent près de 90 000 étudiants dans des formations de Bac+1 à Bac+5.

Il s’agit par cette convention d’étoffer l’offre des établissements par une formation de niveau Bac+3 porteuse d’insertion et de promotion pour les jeunes qu’ils accueillent.

Cette convention s’inscrit également dans une logique de partenariats avec les différentes organisations professionnelles.

ESA, Ecole Supérieure d’Assurances

L’École Supérieure d’Assurances fondée il y a 42 ans par les courtiers et les agents généraux retrouve sa vocation initiale en proposant, grâce ce partenariat, son bachelor Chargé de clientèle d’assurances et banque option collaborateur d’agence.

Ce titre reconnu par l’Etat car inscrit au répertoire national des certifications professionnelles s’adresse aux diplômés Bac+2 et tout particulièrement les détenteurs d’un BTS Assurances qui souhaitent poursuivre leurs études en alternance chez un agent général.

L’objectif de cette collaboration tripartite est de proposer d’une part une formation de niveau Bac+3 porteuses d’insertion vers des métiers riches et passionnants indispensables à notre économie.

agéa

agéa, Fédération nationale des syndicats d’agents généraux d’assurance, représente la profession et défend les intérêts des agents généraux et ceux de ses adhérents à titre individuel. agéa regroupe 15 syndicats de société et 12 chambres régionales. Ces structures ont pour mission principale d’accompagner les agents généraux tout au long de leur activité professionnelle. agéa compte 7 300 adhérents (64 % de taux d’adhésion) sur les 11 500 agents généraux d’assurance.

Cette convention est « une pierre supplémentaire » selon Pascal Chapelon, président de la Fédération. En effet, agéa, depuis ces derniers mois, multiplie les partenariats avec des organismes formateurs partout en France. « L’avantage principale de ce partenariat, c’est qu’il se déclinera immédiatement dans toute la France » précise le président, contrairement à ceux noués avec des acteurs locaux.

« Les agents généraux ont un besoin urgent de collaborateurs motivés et bien formés. Agir en amont dans les formations nous permettra, je l’espère, d’agrandir notre vivier de recrutement » conclut Pascal Chapelon.

Contacts presse :

RenaSup

Véronique BOROCCO – v-borocco@enseignement-catholique.fr

ESA

Marine POIRIER – marine-poirier@esassurances.com I Imane MIRGHANI – imane-mirghani@esassurances.com

agéa

Laura TEBOULLE-VASSEN – LTV COMMUNICATION – 07 86 71 71 36 – laurateboulle@ltvcommunication.com I Florent DUMOULIN – agéa – 06 64 11 18 46 – florent.dumoulin@agea.fr

Source Communiqué de presse AGEA

Il existe certaines conditions pour valider les acquis de son diplôme. Cela concerne notamment les futurs étudiants, les professionnels souhaitant approfondir leurs connaissances, mais aussi les personnes en reconversion professionnelle ou autres.

La validation des acquis d’un diplôme : sur quelle condition ?

La validation des acquis de l’expérience (VAE) permet d’acquérir une partie ou l’intégralité d’un diplôme à la seule condition de prouver au moins d’un an d’expérience professionnelle en relation avec le contenu du diplôme envisagé. Il faudra que ce travail ait été effectué de manière continue ou non, dans les limites d’une activité professionnelle, ou au cours des moments de formation initiale ou continue dans un cadre professionnel, et ce, quel que soit le grade de la certification souhaitée.

Pourquoi la VAE ?

La VAE consiste à valoriser votre parcours professionnel et extraprofessionnel pour obtenir une certification ou un diplôme ou en valider une partie. Pour cela, vous devez attester de vos compétences. Quel que soit le secteur d’activité, vous trouverez forcément un diplôme qui correspond à votre profil. À l’école ESA Assurances, plusieurs diplômes sont accessibles :

Nos formations sont disponibles en alternance ou en formation professionnelle et continue. Nos enseignements présentent plusieurs débouchés. En fonction de votre niveau d’études (BAC+2, 3, 5), vous allez pouvoir choisir le métier qui correspond à votre profil.

À qui s’impose la VAE ?

Que vous soyez salarié, demandeur d’emploi ou travailleur indépendant, vous pouvez obtenir une certification correspondant à vos compétences et bénéficier des avantages qu’offre la VAE. C’est valorisant et cela fait gagner du temps, de l’argent et de l’énergie. Tous les domaines sont concernés : management, informatique, marketing, communication, GRH, bâtiment, social, environnement, numérique, etc.

Sachez que toutes les expériences peuvent être valorisées, qu’elles soient professionnelles ou qu’elles relèvent d’activités extraprofessionnelles. La VAE nous concerne tous. Nous avons tous cumulé des acquis au cours de notre parcours. En résumé, la VAE est un moyen incontournable pour gérer efficacement votre projet de diplôme.

Que vous soyez étudiant, professionnel désirant approfondir ses connaissances et compétences ou bien en reconversion professionnelle, nous vous aidons à faire le point sur les choix qui s’offrent à vous.

Le BTS, la voie phare

Le BTS « professions immobilières » est une des formations centrales du secteur. Obtenu en 2 ans, ce diplôme permet à ses participants d’acquérir la maîtrise de la transaction immobilière et des activités de gestion immobilière. Ce BTS permet notamment l’acquisition d’une carte professionnelle, essentielle si vous désirez travailler en tant qu’agent immobilier à votre compte. Toutefois pour accéder à cette formation, il vous faudra être titulaire d’un diplôme de niveau BAC ou justifier d’une expérience solide dans le domaine immobilier.

À un niveau BAC +2 ou BAC +3, plusieurs BTS d’autres secteurs peuvent mener au monde de l’immobilier comme le BTS « comptabilité et gestion » et le BTS « négociation et digitalisation de la relation client ». Ces BTS peuvent être complétés par une licence professionnelle, utile pour se spécialiser dans un domaine précis.

La licence professionnelle, la voie complémentaire

La licence professionnelle du domaine immobilier, mise en place en concertation avec les professionnels du secteur est accessible après un Bac +2. Elle répond aux besoins des entreprises et aux attentes des employeurs.

Les candidats sont issus principalement de BTS et de DUT, mais également de licence de droit et licence AES. La formation, en un an, se partage entre enseignements pratiques et théoriques. Elle est accessible en formation initiale et continue. Cette licence permet également d’obtenir une carte professionnelle, pour les candidats qui ne sont pas passés par le BTS « professions immobilières ».

Pour accéder à des professions à responsabilités supérieures, des diplômes de niveau BAC +5 sont également disponibles. Plusieurs universités et écoles proposent des masters en droit de l’immobilier, en gestion ou en management.

Si vous souhaitez vous former et obtenir un diplôme spécialisé du secteur immobilier, n’hésitez pas à nous contacter dès maintenant !

Le gestionnaire de patrimoine apporte à sa clientèle un conseil personnalisé, et lui permet de développer son patrimoine financier et immobilier. Il opère une veille réglementaire.

Les formations de la gestion de patrimoine

ESA management vous propose de vous former aux métiers de la gestion de patrimoine. Étudiants, professionnels souhaitant approfondir leurs connaissances, personnes en reconversion professionnelle, peuvent développer leurs compétences en droit, immobilier, économie, fiscalité et accéder à ces professions.

Notre école propose deux bachelors, et un titre de niveau 7 inscrit au RNCP :

Nos différentes formations aux métiers de la gestion de patrimoine se composent de plusieurs certificats de compétence, qui peuvent être suivis individuellement.

Quels sont les débouchés ?

Nos formations préparent aux métiers de la gestion de patrimoines financiers et immobiliers :

Les établissements bancaires, les compagnies d’assurance, les gestionnaires de biens, les gérants d’actifs immobiliers recrutent des gestionnaires de patrimoine. Vous pouvez également exercer en libéral.

Vos missions sont multiples. Vous définissez des stratégies d’optimisation des placements, financiers ou immobiliers. Vous étudiez les différentes solutions en matière d’investissements en prenant en compte les évolutions environnementales. Vous choisissez la solution la plus adaptée aux besoins de votre client. Vous réalisez des études de rentabilité et justifiez vos préconisations de façon claire et compréhensible pour votre client.

Se former, c’est se donner la possibilité de devenir un futur professionnel qualifié dans le domaine souhaité. Échanger avec les intervenants de cours et les autres élèves permet aussi de mieux comprendre les problématiques rencontrées sur le terrain, ce qui prépare davantage à la vie qui vous attend une fois le diplôme obtenu !

Le secteur de l’immobilier est un marché exponentiel qui recrute de plus en plus et offre bon nombre d’opportunités d’emplois.
Savez-vous qu’il est tout à fait envisageable d’intégrer ce milieu sans diplôme ?
Il faudra néanmoins vous former afin d’acquérir les compétences techniques et qualités essentielles qu’exige ce domaine. Nous vous présentons les formations qu’offre l’ESA, ne nécessitant aucun prérequis pour entrer dans l’immobilier sans diplôme.

Nos formations en immobilier sans diplôme prérequis

Expert en Ingénierie Patrimoniale

En principe, pour intégrer ce programme visant l’obtention du titre d’Expert en Ingénierie Patrimoniale, vous devez être titulaire d’au moins un Bac+3 validé.

Cependant, notre école vous offre 3 possibilités pour suivre ce cursus professionnalisant sans avoir de diplôme :

Gestion Patrimoniale pour les personnes en situation de curatelle ou tutelle

Cette formation courte et certifiante vous apporte la compétence indispensable pour répondre à des besoins d’assistance de personnes sous protection juridique, dans le cadre de leur gestion de patrimoine.

Débouchés et perspectives d’évolution de ces formations

En suivant ces formations qui ne nécessitent pas un diplôme pour y accéder, sachez que de nombreux débouchés d’offrent à vous.

Ces formations certifiantes ou diplômantes, ainsi qu’une expérience professionnelle minimum nécessaire, vous ouvriront désormais les portes d’une multitude d’autres opportunités dans le secteur de l’immobilier.

Suivre une formation en alternance comporte de nombreux avantages. Que le contrat soit en apprentissage ou de professionnalisation, l’employeur paye un salaire mensuel à son apprenti. L’élève continuera à suivre épisodiquement ses cours en centre de formation, sans avoir besoin de payer l’école.

Comment est financée ma formation en alternance ?

Il y a deux acteurs principaux qui vont prendre en charge votre formation :

L’employeur et l’État, au travers d’aides financières, d’aides à l’embauche d’apprentis directement versées à l’entreprise employant l’alternant et d’exonération de charges.

L’étudiant n’a donc pas besoin de sortir sa trésorerie ni de piocher dans son compte CPF (compte personnel de formation). Alors, si vous souhaitez entamer une formation en alternance, sachez que vous aurez droit à un salaire, versé mensuellement par votre entreprise qui sera calculée selon votre âge en pourcentage du SMIC.

Comment se passe le financement de ma formation ?

En règle générale, une fois l’accord et le contrat d’alternance mis en place avec votre employeur, ce dernier se charge de faire toutes les démarches auprès de l’OPCO (opérateur de compétence) dont dépend son entreprise. Cet organisme d’État réglera les frais de la formation de l’élève directement à l’école.

Si ces frais devaient être supérieurs à la prise en charge de l’OPCO, alors l’employeur devra s’acquitter de la dette, sans en pénaliser l’étudiant.

Quel sera mon salaire durant ma formation en alternance ?

Votre salaire sera calculé en fonction de votre âge sur la base du SMIC mensuel brut (1 603,12 euros au 01 janvier 2022) et l’année de votre alternance.

Comme il existe deux types de contrats d’alternance (apprentissage et professionnalisation), les barèmes ne sont pas exactement les mêmes.

Contrat d’apprentissage en 2022

Contrat de professionnalisation en 2022

À noter qu’en ayant le statut d’apprenti, vous cotisez mensuellement, mais n’êtes pas imposable ! Les étudiants en contrat d’apprentissage bénéficient donc de cet avantage et voient leur salaire net apparaitre à hauteur de leur salaire brut.

La gestion de patrimoine est un domaine complexe qui nécessite différentes compétences. À la croisée des secteurs juridique, fiscal et immobilier, cette carrière exigeante demande d’être multi-casquettes. Ce secteur vit au rythme des changements juridiques et fiscaux. Il est donc recommandé de rester alerte. Pour rester au contact de la réalité des évolutions du secteur, il est utile de se former, tout au long de sa carrière. Que vous soyez déjà un professionnel ou que vous envisagiez de travailler en gestion de patrimoine, il est tout à fait possible de se former en ligne grâce à notre éventail de formation.

La gestion de patrimoine, une carrière polyvalente

La gestion de patrimoine est un domaine exigeant. De solides connaissances sont indispensables pour être efficaces et satisfaire ses clients. Savoir prospecter et établir une démarche commerciale, avoir un bon contact et comprendre les besoins de vos clients… Ce doivent être vos premiers atouts. Vous devez également être en mesure d’analyser correctement les actifs et les passifs de vos clients afin d’élaborer des stratégies pérennes. En fonction de leur demande. Pour cela, il est indispensable d’avoir un solide bagage juridique et fiscal en gestion de capitaux. Obtenir un bon rendement des biens de votre client, préparer une succession, il y a différentes manières d’optimiser le patrimoine de vos clients. Notre offre de formation est là pour vous aider à répondre au mieux à vos besoins.

Se former en ligne avec l’ESA

Notre établissement forme chaque année des experts en gestion de patrimoine avec un fort taux de réussite. Nous disposons de tout un panel de formations en gestion de patrimoine. Aujourd’hui, nos méthodes évoluent et nous pouvons vous proposer en ligne de nombreux certificats de compétences. Grâce à nos formations complémentaires en ligne, vous pouvez continuer de vous former sans avoir les contraintes des formations en présentiel. N’hésitez plus et allez consulter notre offre de formation pour devenir expert en gestion de patrimoine.

Les métiers de l’immobilier ne manquent pas : nous pouvons vous former afin que vous puissiez travailler dans de nombreux secteurs très variés, dans lesquels on recherche notamment beaucoup de jeunes chaque année.

Agent immobilier

L’agent immobilier fait partie des métiers les plus connus dans le domaine : il s’agit d’effectuer des transactions de vente, de location, d’achat, etc. pour des biens tels que des maisons, des locaux ou des fonds de commerce…

Consultant en immobilier d’entreprise

Le consultant a pour but de faciliter la signature d’un contrat, d’un mandat de vente ou d’une location. Il procède en effet à l’estimation de rentabilité du projet concerné et réalise de la prospection et de la commercialisation.

D’autres métiers se rapprochent de ces derniers, tels que :

L’asset manager et le responsable de programme immobilier

L’asset manager est en charge de surveiller un portefeuille immobilier dont il est responsable. Il doit en effet pouvoir suivre son développement financier, et il est aussi chargé de la partie commerciale et administrative de ce dernier. Son rôle est somme de valoriser des placements immobiliers.

Le responsable de programme immobilier doit gérer un programme immobilier du début à sa fin, en prenant en compte les aspects sociaux, juridiques, commerciaux, techniques…

Développeur foncier

Ce métier-ci implique l’acquisition et la rénovation de biens et de terrains à bâtir. Le développeur foncier a pour rôle de déterminer la rentabilité d’une construction et d’évaluer le projet sous son aspect financier, administratif et technique.

Principal de copropriété

Ce dernier doit assurer la gestion et l’optimisation d’un portefeuille de copropriétés. Il est le représentant du syndicat des copropriétaires et agit sur les plans juridiques, financiers, techniques, administratifs…

L’expert immobilier

L’expert immobilier est chargé d’estimer la valeur d’un bien. Il doit être capable d’être impartial et de produire un rapport d’expertise convaincant, argumenté, et qui détaille parfaitement la valeur locative ou vénale d’un bien immobilier.

Ces métiers dans le domaine de l’immobilier ne sont pas les seuls, nous proposons aussi des formations afin de devenir :

À l’ESA, chaque formation est adaptée au métier que vous visez ! Alors, n’hésitez pas à vous renseigner sur le type de formation qui vous conviendrait le mieux (initiale, alternance, continue, etc) et contactez-nous pour en savoir plus.

Les débouchés des formations dans le monde des ressources humaines sont bien plus nombreux qu’on ne le croit… Si vous suivez une de nos formations, au-delà des futurs métiers, vous apprendrez avant tout certaines valeurs, comme :

Afin de vous donner une idée plus précise des métiers les plus fréquents dans les ressources humaines, voici un aperçu des principaux postes que vous pourriez exercer à la suite d’une formation.

Assistant RH

Le profil d’assistant RH permet aux plus jeunes de se former auprès de la Direction des Ressources Humaines. Véritable compagnon du DRH, l’assistant RH met toutes les chances de son côté pour prendre ce rôle dans les années qui suivent. Néanmoins, dans le quotidien, le métier d’assistant RH est bien plus contraignant que ce que l’on imagine. En effet, cela implique de savoir gérer toutes les tâches qui sont liées de près ou de loin aux employés : du recrutement, au management, et jusqu’au licenciement ou au départ d’un salarié.

Gestionnaire de paie

Dans les grandes organisations, le gestionnaire de paie dispose d’un rôle crucial… En effet, sa mission principale est de s’occuper de la préparation et de la saisie de toutes les fiches de paie. Pour arriver à ses fins, le gestionnaire de paie doit bien souvent maîtriser un logiciel informatique dédié à l’entreprise, comme un ERP. Il doit également se charger de toute la gestion des attestations, comme les arrêts maladie, ou encore les congés des employés.

Responsable de la formation

Enfin, le responsable de formation se charge tout simplement de veiller à ce que les employés bénéficient de formations et d’accompagnement tout au long de leur carrière. Ce poste est indispensable dans les grandes entreprises, c’est notamment grâce à lui que certains employés évoluent au sein d’une organisation…

En France, de plus en plus de formations s’ouvrent à l’alternance. En tant qu’étudiant, il est légitime de se demander s’il est préférable de choisir une formation initiale ou de se tourner vers l’alternance.

La formation initiale

La formation initiale ne change strictement rien à votre scolarité classique. Vous assistez à vos cours, vous préparez vos devoirs et le reste du temps, vous êtes entièrement libre.

Il est vrai qu’avec la formation initiale, vous pouvez goûter à toutes les joies de la vie étudiante. Vous avez le temps de sortir, de voyager, de faire un job étudiant, de pratiquer un loisir, etc. De plus, vous profitez évidemment du statut d’étudiant. Vous pouvez bénéficier des bourses sur critères sociaux, d’une mutuelle étudiante et des réductions.

Les formations initiales sont généralement accompagnées de moments dédiés à des stages, plus ou moins long, afin de faciliter une immersion professionnelle.

La formation en alternance

En alternance, vous avez le statut de salarié. Vous recevez des fiches de paie et vous commencez à cotiser pour votre retraite. L’alternance vous permet de jouir d’un certain confort financier et d’une stabilité professionnelle. Vous bénéficiez des mêmes avantages qu’un salarié classique : les tickets resto, le Comité d’entreprise ou encore les primes.

De plus, tous les frais engagés dans vos études en alternance sont pris entièrement en charge par votre entreprise d’accueil.

L’avantage de l’alternance est que vous êtes directement sur le terrain. Vous rencontrez des professionnels qualifiés et l’on vous confie des missions qui sont similaires à celles des salariés embauchés d’une manière ordinaire.

Sur le marché du travail, l’alternance est un bonus sur votre CV. Un recruteur privilégiera toujours un diplômé qui a fait ses études en alternance s’il doit choisir entre différents candidats.

L’alternance va vous ouvrir les yeux sur vos cours théoriques. Grâce à votre expérience, vous comprendrez mieux. Certaines études ont prouvé que les étudiants en alternance ont généralement plus de facilités que les étudiants en formation initiale.

Évidemment, pour faire votre choix, vous devez prendre en compte vos envies, vos besoins et votre sens de l’organisation puisqu’il n’est pas toujours simple de jongler entre une entreprise et des cours.

L’École Supérieure d’Assurances (ESA) vous permet en tant que professionnel désireux d’approfondir ses connaissances ou personne en reconversion professionnelle, de vous former gratuitement dans divers métiers du secteur des assurances.

Notre offre de formation professionnelle continue

En dehors de nos formations allant du Bac+2 au Bac+5, nous avons fait le choix de nous tourner vers les personnes souhaitant se reconvertir au niveau professionnel, ou tout simplement souhaitant compléter ses connaissances. Aussi, afin de répondre aux attentes et aux besoins de tous, nous vous proposons des formations délivrant des diplômes qui sont reconnus au Répertoire National de la Certification Professionnelle (RNCP) et pouvant notamment déboucher sur les métiers suivants :

À côté de ces formations diplômantes vous avez la possibilité de suivre des formations courtes et certifiantes dans différents domaines : en Science de la donnée (DATA), en Assurance, en Risque, en Gestion de patrimoine, ou en Ressources humaines. Toujours dans nos formations certifiantes, vous pouvez également suivre nos formations débouchant sur une habilitation professionnelle.

Validation des Acquis de votre Expérience et Validation des Acquis Professionnels et Personnels

Si vous remplissez les conditions, vous pouvez tout à fait faire une demande pour la reconnaissance de la Validation des Acquis de votre Expérience (VAE) dans l’objectif d’obtenir un diplôme délivrant un RNCP. Vous avez également la possibilité de prétendre à la Validation des Acquis Professionnels et Personnels (VAPP) dans l’idée de reprendre vos études au sein de notre école.

Utilisation de votre Compte Personnel de Formation (CPF) pour vous former gratuitement

Les formations peuvent représenter un certain coût, mais ne doivent pas vous empêcher d’aller au bout de votre démarche. C’est pour cette raison que la majorité de nos programmes sont éligibles au CPF, autrement dit, l’ESA peut vous permettre de vous former gratuitement !

La fonction d’agent général vous attire ? Vous souhaitez vous faire une idée exacte de son salaire ? Sachez que la dimension commerciale du métier induit des commissions variables selon le volume des ventes et des contrats. En y ajoutant les primes d’intéressement, l’agent d’assurance peut prétendre à une rétribution médiane au-dessus de celle des cadres supérieurs en France.

Des missions multiples

Professionnel indépendant, l’agent dirige une entreprise mandatée par une compagnie d’assurances. Rédiger les contrats, en négocier les termes et conclure les ventes : si vous acceptez ces défis, vous cumulerez les fonctions :

Un grand choix de secteurs

Les marchés traditionnels de l’immobilier et de la banque ont bien résisté à la crise sanitaire. Vous pourrez donc y trouver votre place.

Par ailleurs, le monde de l’assurance évolue au rythme des mutations économiques, numériques et juridiques, vous donnant accès à des secteurs divers : risques industriels, cyber risque, assurances animaux, etc.

Des différences de salaire légitimes

Vous l’aurez compris, votre salaire sera fonction de votre expérience et de vos performances. De plus, votre situation géographique influera sur le montant total. Ces facteurs pris en compte, il est probable que vous débutiez autour de 24 883 € brut annuel.

Une fois installés, les agents expérimentés perçoivent un salaire médian de 40 000 €. Les plus chevronnés gagnent jusqu’à 85 000 € brut par an.

(Sources : talent.com, studi.com, cidj.com.)

Perspectives d’évolution

L’agent général peut compter sur les mêmes débouchés que les autres chefs d’entreprise.

Comment devenir agent ?

Le futur agent peut briguer la carte professionnelle avec une licence professionnelle assurance, banque, finance. Cependant, des compétences polyvalentes de haut niveau lui seront nécessaires pour assumer ses fonctions de manière optimale.

Dans cette optique, l’ESA propose un choix de Masters complets, adaptés à votre projet professionnel. Vous aurez ainsi tous les atouts pour répondre aux exigences d’un métier porteur et gratifiant.

Partenaires depuis 2016, Formaposte Ile de France et l’ESA Paris vous forment sur 12 mois ou 24 mois au métier de Conseiller Clientèle ou Conseiller spécialisé en Patrimoine

ESA Patrimoine

Depuis plus de 42 ans, l’ESA, Ecole Supérieure d’Assurances, a su s’imposer comme un acteur majeur des formations en Assurance et en Banque à Paris. Chaque année, plus de 800 étudiants intègrent ses formation du BTS à Bac+5.

Le partenariat Formaposte Ile de France

Formaposte est le CFA des métiers de La Poste créé en 2008. Le Groupe La Poste est le partenaire privilégié de ce titre reconnu.

Grâce au partenariat conclu avec Formaposte pour la rentrée 2023/2024, 18 places sont disponibles pour intégrer la formation en alternance de :

Les étudiants se formeront au Titre Expert en Ingénierie Patrimoniale Niveau 7 au sein du Formaposte Ile de France.

Ce programme a pour vocation de former des spécialistes en Banque et Gestion de Patrimoine, aptes à appréhender les besoins de leurs clients et à élaborer puis à mettre en place les meilleures stratégies, tant pour les particuliers que pour les professionnels.

Professionnaliser l’étudiant et l’aider à acquérir les compétences et les valeurs requises pour devenir « Conseiller/ère Clientèle » ou « Conseiller/ère Patrimoniale » sont les enjeux de ces programmes.

CONSEILLER SPÉCIALISÉ EN PATRIMOINE (H/F) sur 2 an

  • Initiation aux marches financiers 
  • Analyse financière 
  • Marketing des produits financiers 
  • Technique de vente – diagnostic et approche globale du client 
  • Droit patrimonial familial 
  • Fiscalité du particulier 
  • Fiscalité du patrimoine et des placements 
  • Acteurs, enjeux et organisme titulaires : bancassurance, mutuelles, sociétés immobilières 
  • Produit et placement bancaire du particulier 
  • Lv1 – business english 
  • Crossknowledge 
  • Tell me more 
  • Examens 
  • Retraites et fond de pension 
  • Gestion de portefeuille
  • Optimisation du patrimoine des particuliers 
  • Psychologie de la communication et relations interpersonnelles 
  • Marche immobilier 
  • Fiscalité des entreprises 
  • Responsabilité juridique du banquier 
  • Fiscalité immobilière 
  • Choix des investissements patrimoniaux 
  • Séminaire informatique – excel approfondi 
  • Certification amf 
  • Logiciel E-DIXIT
  • Préparation au TOEIC
  • Tell me more 
  • Thèse professionnelle 

 

RÉFÉRENCIEL DE COMPÉTENCES

  • BLOC 1 Structurer, développer et pérenniser son activité d’expert en ingénierie patrimoniale dans le respect de la réglementation et de la déontologie
  • BLOC 2 Réaliser le diagnostic patrimonial d’un client en termes d’existant, d’attentes, de besoins et de comportements
  • BLOC 3 Analyser les environnements économiques et financiers impactant un patrimoine, identifier les investissements possibles de façon à aider le client dans ses décisions
  • BLOC 4 Analyser l’environnement juridique du patrimoine en droit privé et de la famille
  • BLOC 5 Analyser l’impact des dispositifs de protection de la personne sur le patrimoine
  • BLOC 6 Analyser l’impact de l’environnement fiscal sur le patrimoine
  • BLOC 7 Réaliser le diagnostic patrimonial d’un client et le conseiller sur la stratégie patrimoniale à adopter
  • BLOC 8 Accompagner un entrepreneur dans sa gestion patrimoniale
  • BLOC 9 Accompagner et suivre un client dans la mise en œuvre de son plan patrimonial en fonction des évolutions environnementales et contextuelles pouvant l’impacter
  • Une formation théorique au Titre Expert en Ingénierie Patrimoniale niv. 7 : ESA – Paris (75)
  • Une formation liée aux missions de Conseiller.ère Patrimoniale : Ecole de la Banque et du Réseau – Ivry (94) 
  • Une formation pratique assurée par un Maître d’apprentissage ou un Tuteur : La Banque Postale – Ile de France
CONTRAT 

Contrat d’apprentissage : il faudra avoir moins de 30 ans le 11 octobre 2023 (pas de limite d’âge pour les personnes reconnues travailleur handicapé).

En contrat de professionnalisation : elle est accessible sans limite d’âge. Une inscription au Pôle Emploi pour les personnes de plus de 30 ans est nécessaire pour y accéder.

RYTHME 

1 semaine de formation théorique suivie de 3 à 4 semaines de pratique en entreprise.

RÉMUNÉRATION 

Sous contrat d’apprentissage : entre 1605.9 € et 1744.97 €* net en fonction de votre âge

Sous contrat de professionnalisation : 1554.58 € brut.

* Salaire donné à titre indicatif, peut varier selon votre situation personnelle.

  • Vous êtes titulaire (ou en cours de validation) d’un Bac+4 filières commerciales, bancaires, école de commerce.
  • Vous avez impérativement une expérience en banque d’au moins 1 an.
  • Si vous êtes titulaire d’un Bac+3 et justifiez de 5 ans d’expérience en banque, l’accès à cette formation via une VAP (Validation des Acquis Professionnels) est possible.
  • Vous devez également justifier d’une adresse à proximité de l’Ile de France.

Au regard de la situation sanitaire, les admissions peuvent se dérouler à distance ou dans les locaux du Formaposte – Saint Denis (93).

  • Les admissions se déroulent comme suit :
  • Réalisation d’une vidéo de présentation de votre projet via Visiotalent.
  • Si validation, présentation de la formation en collectif puis entretien individuel.
  • Si validation, convocation au concours de l’école.
  • Si validation, un coaching de préparation à l’entretien est proposé.
  • Convocation à un entretien de motivation avec La Banque Postale.
  • ACCESSIBILITÉ HANDICAP : pour plus d’informations sur la possibilité d’adapter des épreuves d’admission à votre handicap, n’hésitez pas à contacter Charlotte DELASSUS, notre référente au 01 41 58 67 50.

Votre terrain d’action

Assurer auprès des clients une mission de conseil personnalisé portant sur l’ensemble de leur patrimoine : organisation et structure, valorisation, transmission, optimisation à travers une assistance fiscale et juridique permanente.

Développer un fonds de commerce avec des prospects ciblés «très haut de gamme» et/ou chefs d’entreprises.

 

Vos atouts

Vous avez une connaissance pointue de l’offre bancaire, de solides compétences techniques : fiscalité, juridique, droit de la famille, économie…

Rigoureux et organisé, vous disposez d’une solide expérience en matière de relation client, tout en faisant preuve d’une bonne appréhension des problématiques patrimoniales.

  • Conseiller en investissements financiers
  • Gestionnaire de patrimoine
  • Gestionnaire de fortune
  • Gestionnaire de capitaux

Pourquoi choisir cette formation ?

Retrouvez les modalités pour intégrer le cycle d’Expert en Ingénierie Patrimoniale

Les admissions se déroulent comme suit :

Contacts

Responsable du Programme : Amandine MARECHAUX amandine-marechaux@esassurances.com

Votre référente sur la formation : Delphine Peuzin – Coordonnatrice communication admission 06 76 48 53 69 – d.peuzin@formaposte-iledefrance.fr

Témoignages étudiants ESA

Découvrez le témoignage de nos étudiants qui suivent le programme d’Expert(e) en Ingénierie Patrimoniale et notamment celui d’Hugo DUFOUR, alternant dans une agence de la Banque Postale en tant que Conseiller Patrimonial.

Je m'inscris à l'une des formations

Je m’inscris à cette formation

Titre de Niveau 7 « Expert en Ingénierie Patrimoniale » – CONSEILLER SPÉCIALISÉ EN PATRIMOINE

NOS PATENAIRES

Grâce au CPF, les salariés et les demandeurs d’emploi ont la possibilité d’acquérir des droits à la formation, tout au long de leur vie. Tous les ans, une somme d’argent est ainsi créditée sur votre compte personnel de formation, selon le nombre d’heures travaillées. L’École supérieure d’assurances propose un large éventail de formations pluridisciplinaires, éligibles au CPF et reconnues par l’État. Pour vous former sans débourser le moindre centime, consultez toutes les formations de l’ESA sur le site Mon Compte Formation.

Des formations à distance ou en centre avec l’ESA

Que ce soit pour un développement de vos compétences ou une reconversion professionnelle, l’école supérieure d’assurances vous donne la possibilité d’acquérir des diplômes d’un niveau Bac+2 à BAC+5. Selon la formation choisie, vous avez également le choix entre un apprentissage et un suivi en centre, en alternance ou à distance. L’ESA est spécialisée principalement dans les formations en lien avec les disciplines suivantes :

Apprendre un nouveau métier à moindres frais grâce à votre compte CPF

Pour accéder à certaines formations, un niveau d’études peut être exigé. Voici quelques formations diplômantes disponibles à l’ESA, finançables grâce à votre compte CPF.

La formation de « manager de l’assurance » permet de déboucher sur de nombreux métiers parmi lesquels :

Vous avez également la possibilité d’opter pour une formation « d’expert en ingénierie patrimoniale » et travailler en tant que :

Si vous choisissez plutôt la formation de « manager des risques et des assurances de l’entreprise », elle vous ouvrira les portes pour devenir :

La formation de « chargé de clientèles en assurance et banque » est également éligible au CPF et vous donne la possibilité de devenir :

Pour en savoir plus sur nos formations et trouver la voix qui vous correspond, n’hésitez pas à nous contacter ou à vous rendre sur notre site.

Vous vous apprêtez à choisir votre filière, vous souhaitez approfondir vos connaissances, vous désirez donner un nouvel élan à votre vie en tentant une reconversion professionnelle tournée vers l’humain ? Lisez attentivement les lignes qui suivent, car nous pourrions bien avoir la solution qui vous convient !

Assureur, un métier résolument tourné vers le conseil et la protection

Si vous souhaitez :

Alors, le métier d’assureur est fait pour vous.

Assureur, assurer son avenir et celui des autres

ESA Assurances vous offre la possibilité d’accéder à ce métier d’engagement et d’avenir par une formation en ligne.

Nous mettons à votre disposition nos 39 ans d’expertise dans le domaine de la formation pour vous offrir celle qui sera adaptée à votre situation et que vous pourrez suivre au gré de vos disponibilités. Que vous soyez étudiant devant travailler pour financer vos études ou salarié très impliqué dans votre activité, notre école, ESA, vous offre la possibilité de faire évoluer votre avenir à votre rythme et selon vos besoins.

N’hésitez pas à nous contacter et nous vous accompagnerons.

Vous souhaitez connaître les perspectives d’emploi offertes par la formation dans le digital ? La révolution numérique a modifié et modifie encore profondément le monde du travail. C’est d’ailleurs pourquoi les enseignements de l’École Supérieure d’Assurances prennent en compte l’intégration des nouvelles technologies depuis 2010.

Formation dans le digital ou comment acquérir des compétences indispensables

La transformation digitale constitue un enjeu majeur pour tous les secteurs d’activité. Ils sont, en effet, impactés par différentes évolutions :

• La multiplication des objets connectés ;

• l’utilisation des réseaux sociaux ;

• le Big Data ;

• la blockchain ;

• la stratégie digitale ;

• etc.

De nouveaux besoins ont donc vu le jour pour permettre aux entreprises de tirer un avantage concurrentiel de ces changements. Il s’agit, par exemple, de gagner du temps, de réduire les coûts ou d’améliorer le processus d’acquisition des clients.

Les problématiques liées au cyber risque ont également explosé. Prévenir et gérer les menaces qu’engendre la transition digitale nécessitent des compétences spécifiques très appréciées sur le marché de l’emploi.

Le digital se trouve au cœur de nombreux métiers d’avenir

La formation dans le digital est une excellente manière de maintenir ou de développer son employabilité.

Le digital correspond à plusieurs domaines comme :

• Le développement ;

• le design ;

• le marketing.

Ces différentes branches regroupent de nombreux métiers tels que chef de projet multimédia, développeur web, UX designer ou community manager.

Certains profils sont particulièrement recherchés. C’est le cas du Data Scientist qui recueille, analyse et exploite de grands volumes de données pour améliorer les performances de l’entreprise. Si ce métier vous intéresse, n’hésitez pas à consulter nos formations en science des données dispensées en formation professionnelle continue.

En vous formant dans le digital, vous vous créez de nombreuses opportunités dans le monde professionnel actuel et dans celui qui se dessine pour demain. Vous pouvez ainsi accéder à des emplois passionnants, variés et en forte croissance.

L’immobilier est un marché en pleine expansion et un secteur qui recrute. Les métiers de l’immobilier proposent des postes variés qui requièrent des connaissances techniques diversifiées et bien spécifiques.

Que ce soit en parcours initial pour les étudiants ou en formation professionnelle pour les personnes en reconversion, une formation est nécessaire pour acquérir ces compétences. Différents parcours sont accessibles selon les niveaux.

Des formations Bac +2 au Master universitaire

Ces formations peuvent être suivies en alternance et complétées par une Licence professionnelle afin de se spécialiser.

Cursus en 5 ans, le Master permet de se spécialiser en droit immobilier, gestion ou management et donne accès aux postes à responsabilité.

Les formations professionnelles

L’immobilier offre de belles opportunités pour les personnes en reconversion ou désirant évoluer dans leur métier.

La formation professionnelle continue permet de développer de nouvelles compétences si on est déjà un professionnel du secteur. Ces formations peuvent être certifiantes, diplômantes ou qualifiantes.

L’ESA propose des formations adaptées à tous les profils : formation initiale, formation continue, validation des acquis de l’expérience (VAE), validation des acquis personnels et professionnels (VAPP).

En présentiel ou en distanciel, ces formations s’adaptent à la disponibilité de chacun.

L’ESA, c’est l’assurance d’interlocuteurs professionnels : cadres, dirigeants, avocats, chefs d’entreprise, qui viennent partager leurs expériences et leurs compétences auprès des étudiants.

L’immobilier : des métiers d’avenir

Aujourd’hui, les métiers de l’immobilier offrent de réelles opportunités d’emplois et de carrières.

Ils font appel à de multiples connaissances et sont en constante évolution technologique : visites virtuelles, 3D, logiciels de transaction…

Ils répondent à une préoccupation importante des Français : le logement, les métiers qui composent ce secteur sont donc très valorisants.

Impossible pour les sociétés d’assurance de ne pas constater, avec une certaine appréhension, l’augmentation des catastrophes naturelles engendrées par le changement climatique.

Et cela ne devrait pas s’arranger dans le futur :

Un programme climatique peu réjouissant pour les assureurs

Un exemple parmi tant d’autres, d’ici à 2050, les céréaliers perdront 75 % de leur récolte. Les inondations, selon les prévisions, provoqueront jusqu’à 24 milliards d’euros de dégâts en France.

À ce risque, s’ajoute également l’augmentation du niveau de la mer causant dans son sillage la destruction de biens immobiliers.

Des incendies de plus en plus fréquents et importants viendront compléter ce sombre tableau.

Enfin, des tempêtes extrêmement violentes entraîneront la démolition des bâtiments. Il deviendra difficile pour les assureurs d’assumer seuls la charge de ce changement climatique.

Leur solvabilité pour régler les dédommagements futurs pourrait être impactée si le montant des sinistres se révèle supérieur aux réserves investies.

Une hausse inexorable des surprimes à prévoir

La surprime concernant les catastrophes naturelles subira une hausse inexorable dans les années à venir, afin de compenser le surcoût des indemnisations.

Certains conseillers préconisent la prévention par des actions de développement communal antidébordement. Mais cette mesure semble insuffisante comparée aux prévisions alarmantes des climatologues.

L’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Supervision (ACPR) table même sur une augmentation des cotisations de 130 à 200 % sur les 30 prochaines années. La plupart des assureurs français envisagent des primes multipliées par deux voire trois d’ici à 2050.

Actuellement, cinq départements français, la Haute-Garonne, la Gironde, les Bouches-du-Rhône, le Tarn et le Tarn-et-Garonne représentent les 2/3 de la hausse de sinistralité.

Le chiffrage financier des futurs cataclysmes peut rendre la profession plus que pessimiste. Si rien n’est programmé pour tenter d’endiguer la progression du changement climatique, s’assurer deviendra un vrai challenge pour les clients. C’est pourquoi ESA Assurances vous propose des formations complètes afin de vous préparer à toutes éventualités.

Pour la première fois en France, l’ESA crée un partenariat avec l’Université de Coventry à Londres avec les doubles programmes

Les étudiants qui intègrent ces formations sur 1 an, 2 ans ou 3 ans suivent des modules en anglais et en français à raison de 50% d’heures d’enseignement en français et 50% en anglais sur les spécificités managériales à l’International.

Nos 3 programmes internationaux en alternance

Admission post Bac+2

Bachelor Chargé(e) de Clientèles Assurance Banque + Bachelor of Science Insurance, Banking and Finance

Admission post Bac+3

Manager de l’Assurance & Master of Science in International Insurance Management

+

NOUVEAU CURSUS EN MASTER

Poursuivez à Londres en 6ème année en

Master Finance, Fintech, Management and Projet Management

+ Manager de l’Assurance

+ Manager des Risques et des Assurances de l’Entreprise

8 mois à Londres + période en entreprise en France

En savoir +

Rejoignez l’ESA dès votre 3ème année

Pour répondre à la demande des diplômés post Bac+2 qui voulaient compléter leur formation en s’ouvrant à l’international, mais sans pour autant avoir besoin de partir très loin de chez eux, l’ESA a longuement travaillé sur un partenariat solide afin d’offrir à ses étudiants le meilleur programme pluridisciplinaire et innovant.

La première promotion de 16 étudiants se compose majoritairement d’élèves issus du Bachelor Assurance et Banque de l’ESA, de licence Eco-gestion, de Master Finance ou Management Projet International. Seul pré-requis indispensable : avoir un très bon niveau d’anglais. Pour être acceptés dans le programme, les candidats doivent avoir obtenu un minimum de 700 points au TOEIC afin de pouvoir suivre cette formation.

Les points forts

Une formation internationale à votre porte – un diplôme officiel de l’université britannique

Après votre Bac+2, les programmes internationaux de Coventry University-ESA vous permettent d’internationaliser votre parcours en vous affranchissant des contraintes logistiques et financières d’une année à l’étranger.

Ces formations sont dispensées en alternance et les étudiants sont accompagnés par des formateurs anglophones, accrédités par Coventry University, qui ont tous une expérience internationale dans leur domaine de compétence.

Un accès au marché international

Les programmes internationaux de Coventry University-ESA sont des titres reconnus au RNCP de niveau 6 et 7 qui bénéficient de la reconnaissance internationale avec l’Université de Coventry, classée dans le Top 10 des meilleures universités du Royaume-Uni. Nos programmes internationaux de Coventry University-ESA en alternance permettent ainsi aux étudiants qui le souhaitent de postuler dans le monde entier après leur formation.

Une pédagogie anglo-saxonne : interactivité, coaching, travaux de groupe, outils numériques 

Les cours magistraux sont dispensés le matin et s’accompagnent en après-midi de travaux en groupe ou en équipe, basés sur des cas concrets, animés par des formateurs anglophones expérimentés, accrédités par Coventry University. Les différents modules sont évalués séparément au cours de l’année, sous forme de travaux individuels ou collectifs (présentations orales, rapports, mémoire).

Des opportunités en alternance à saisir dès maintenant

Nous disposons actuellement de nombreuses offres d’alternance auprès de nos partenaires entreprises : Assurone Group, Agents AXA, MMA, GENERALI, AVIVA, FILD, SECURITAS, OPTIMIND, Agents GAN et Allianz, Diot, APICIL…

Voici des exemples de postes en alternance actuellement disponibles : Collaborateur d’agence, assistant(e) commerciale, Chargé de clientèle, Gestionnaire sinistre Dommage RC, Souscription prévoyance, Gestionnaire de contrat, Chargé(e) de réclamation, Gestionnaire de contrat retraite, Gestionnaire service client santé, Gestionnaire sinistres flotte entreprise….

Une organisation tournée vers l’alternance

Au cours du Bachelor et du Master, les cours se déroulent en contrat d’apprentissage à l’ESA à raison de :

Une pédagogie basée sur les case-studies

Au programme de ces Masters en alternance : des modules sur les fondamentaux en Assurance, en Banque et Bancassurance, Gestion du Patrimoine, Risques d’entreprise et des cours en anglais de Managerial and Insurance Finance, Marketing in a global age, Business and Management reseach methods, International HRM strategies, Reassurance, ….

La force de l’ESA, c’est sa pédagogie très centrée sur les case-studies (études de cas). Les cours magistraux sont limités au maximum. L’idée est de préparer les étudiants aux problématiques qu’ils vont rencontrer en entreprise. Voilà pourquoi nous sélectionnons des cas réels d’entreprise.

Accompagnement personnalisé

A l’issue de la formation, les étudiants obtiennent le double diplôme de la Coventry University et de l’Ecole Supérieure d’Assurances (ESA), leur permettant d’envisager une carrière à l’international.

Enfin ce Bachelor et ce Master présentent un atout de taille : celui de l’encadrement.  La taille limitée des promotions permet à chaque étudiant d’être accompagné dans son projet et ainsi de se construire au niveau personnel et professionnel. Cet accompagnement est déterminant pour certains jeunes qui ont besoin d’un suivi particulier et individuel.

Admissions

Responsable des Programmes Internationaux

Nathalie MAYER-BLANC

Tél : 01.85.73.31.08  – 06.81.90.45.11

Mail : n.mayer@esassurances.com

Télécharger la brochure et le dossier de candidature

À l’inverse des livrets, les assurances vie ne proposent pas toutes le même contrat. Il en existe aujourd’hui plus de 2000 différents. Malgré tout, plusieurs critères restent les mêmes sur tous les contrats (comme les avantages civils, les avantages patrimoniaux et civils, etc). Ne perdez jamais de vue que ces critères s’appliquent à chacun des contrats d’assurance-vie.

En revanche, il existe de nombreuses différences entre ces contrats. Cela peut jouer dans votre choix d’assurance-vie. Il faut donc être conscient des avantages présents sur un contrat.

Les différents critères majeurs pour choisir son contrat d’assurance-vie

Les frais : Parlons des frais en premier.Ceux-ci s’accumulent tout au long de la durée de votre assurance-vie. Et puisque ces frais grignotent dans votre capital, il est important de les réduire le plus possible. De cette manière, votre épargne va croître plus facilement. Il est important de ne pas oublier qu’on ne peut jamais connaître le potentiel rendement d’une assurance-vie, au contraire de ses frais. Chercher à réduire les frais d’une assurance-vie est donc un excellent moyen de réaliser une bonne affaire.

La qualité de votre relation avec la compagnie d’assurance : Il ne faut pas oublier que l’assureur est une personne qui devra intervenir à des moments cruciaux de votre vie. Par exemple, lors d’un changement de domicile, un changement dans une clause bénéficiaire, ou simplement pour une demande de conseils d’experts. Si un décès survient, c’est également l’assureur qui devra transmettre le patrimoine du défunt à ses successeurs. Il est donc primordial que la compagnie d’assurance que vous choisissiez soit réactive.

Le fonds en euros : Vous savez probablement que le fonds en euros ne rapporte plus de rendements élevés aujourd’hui. On ne sait plus s’en servir comme d’un booster de performance, mais bien comme d’un support qui permet de stabiliser le montant de votre capital. Malgré tout, il est toujours avantageux de rester attentif à la qualité de ce fonds en euros.

À l’instar de la majorité des Français, vous avez dû souscrire au moins, une police d’assurance, dans votre vie quotidienne. Que ce soit pour un véhicule, un logement, un crédit, ou un prêt immobilier. Pourquoi et à quel moment changer d’assurance ?

Les (bonnes) raisons de changer d’assurance

Tout d’abord, se poser les questions essentielles : ma cotisation, est-elle trop élevée, va-t-elle augmenter l’an prochain, ou simplement ai-je trouvé sur Internet, un tarif moins élevé ? Il arrive également que nos besoins diminuent, par exemple, pour un véhicule vieillissant, il est souvent inutile de garder la formule tous risques. 

D’autres raisons peuvent nous pousser à résilier une assurance, c’est le cas d’un déménagement ou de la vente d’un véhicule, ou encore en cas de mariage, divorce, chômage, retraite, etc.

Comment changer d’assurance efficacement ?

Avant de changer d’assurance, il est conseillé de prendre rendez-vous avec son assureur actuel, afin de négocier un nouveau tarif. En effet, les assurances n’aiment pas perdre des clients, c’est logique. Si vous argumentez auprès de votre assureur, que la concurrence peut vous proposer les mêmes garanties, à un meilleur prix, il fera sûrement un effort pour vous garder comme client. 

Si vous souscrivez un contrat chez un nouvel assureur, vérifiez bien que les garanties sont équivalentes à celles de votre contrat actuel.

À quel moment résilier son assurance, afin de souscrire à une nouvelle ?

Si votre contrat arrive à échéance prochainement, le plus simple est d’attendre l’avis envoyé par votre assureur, pour résilier. Cet avis vous parvient entre 3 mois et 15 jours avant l’échéance du contrat, selon la loi Chatel. 

La loi Hamon vous permet, quant à elle, de résilier votre contrat, à n’importe quel moment, si vous justifiez d’un an d’ancienneté minimum, chez votre assureur. 

Pour les assurances de prêt immobilier, la loi Bourquin autorise la résiliation du contrat, à chaque échéance annuelle.

L’immobilier est un secteur en forte croissance qui offre plusieurs opportunités professionnelles. Grâce à des formations accessibles à tous les niveaux, l’immobilier est l’un des secteurs les plus attractifs où l’on peut facilement effectuer une reconversion professionnelle.

Faire une formation chez ÉSA pour acquérir de solides bases en immobilier

Pour se reconvertir dans l’immobilier, il est nécessaire de suivre une formation en gestion immobilière. En effet, l’ESA vous offre la possibilité de suivre une formation continue en gestion immobilière ou en patrimoine immobilier à différent niveau en fonction de votre spécialisation : agent immobilier, conseiller immobilier, gestionnaire de copropriété ou gestionnaire de patrimoine. Vous pouvez suivre la formation en présentiel ou à distance selon votre disponibilité. Pour les professionnels en reconversion, l’avantage de nos formations en ligne réside dans la flexibilité du programme, vous choisissez le programme à votre rythme.

La formation dans le domaine de l’immobilier vous permet d’acquérir les connaissances et les compétences nécessaires pour travailler dans ce secteur. Vous apprenez les techniques commerciales, managériales, juridiques et fiscales essentielles des activités immobilières.

L’ESA est en partenariat avec plusieurs entreprises immobilières. Ainsi, vous pouvez réaliser des études sur terrain pour apprendre les techniques relationnelles pour communiquer avec les clients (écoute, disponibilité et diplomatie). Vous avez ainsi la possibilité d’être encadré par des professionnels de l’immobilier.

En outre, à la fin de votre formation, ESA délivre des certificats ou des diplômes reconnus au Répertoire national et au CPF, des validations des acquis de l’expérience (VAE) ou de validation des acquis personnels et professionnels (VAPP).

Pourquoi se reconvertir dans l’immobilier ?

Le marché de l’immobilier est un secteur qui se porte bien. C’est un secteur qui présente plusieurs opportunités d’emploi, car actuellement l’immobilier représente le taux de recrutement le plus élevé en France. En outre, il est idéal pour obtenir une carrière passionnante et évolutive. Après quelques années de travail, il est possible d’évoluer vers des postes à responsabilité.

Par ailleurs, les professionnels de l’immobilier gagnent confortablement leurs vies. Ils sont bien payés, sans compter les commissions qu’ils gagnent sur chaque transaction réalisée.

Travailler dans le secteur de l’immobilier a aussi comme atout le sens du relationnel avec les clients. Vous aurez l’opportunité de prendre part sur les acquisitions les plus importantes de la vie d’une famille.

En somme, choisir la reconversion professionnelle dans l’immobilier vous procure de nombreux avantages.

Dans le cadre d’une formation professionnelle, le choix judicieux de l’école de formation est d’une importance capitale. Créée depuis 1980, l’ESA (École Supérieure d’Assurance) propose différentes formations portant sur l’ensemble des domaines de l’assurance et de la banque. Ces formations concernent les métiers d’avenir.

Quelles sont les formations disponibles à l’école supérieure de l’assurance ?

Pour permettre à chacun de trouver la formation adaptée à son profil, les acteurs de l’ESA ont pris l’initiative de diversifier leurs offres. Votre choix sera juste conditionné par vos objectifs et votre disponibilité. Les formations proposées par ESA concernent principalement les titulaires d’un baccalauréat.

Formation d’une durée de 2 ans

Formations d’une durée de 3 ans

Dans cette catégorie, vous pouvez porter votre choix sur l’une des formations suivantes :

Formations d’une durée de 4 ans et plus

Vous trouverez dans cette catégorie des formations liées au métier de :

École supérieure d’assurance : pour une formation en présentiel comme à distance

Avec l’ESA, vous avez la possibilité de suivre une formation en présentiel ou à distance selon votre disponibilité. Les formations à distance ont été principalement créées pour les salariés, les actifs ou toute autre catégorie de personnes qui souhaitent avancer dans leur domaine ou se réorienter. Que ce soit à distance ou en présentiel, ces formations vous permettent d’obtenir un certificat. Les formations à distance vous permettent d’aménager votre emploi du temps et de vous former tout en demeurant dans votre entreprise. ESA a adopté une organisation et un rythme qui vous permettront d’assimiler facilement les cours comme en présentiel.

L’objectif des formations est de dépasser les frontières entre disciplines afin de permettre à chaque étudiant un réagencement et une meilleure valorisation de leurs connaissances. Votre parcours à l’ESA vous permettra de développer le sens de synthèse, l’esprit critique ainsi que la capacité à dresser un état des lieux des techniques ou des connaissances.

Le secteur de l’assurance est en plein essor et avec lui, les métiers de l’assurance. Plusieurs sociétés, pour des emplois bien spécifiques, font appel à des personnes ayant des aptitudes en matière d’assurance. Les opportunités sont réelles et l’offre variée puisque le secteur recrute jusqu’à près de 13 000 personnes par an. Vous venez d’avoir votre master en Management des assurances et vous êtes à la quête d’emploi ? Il vous suffit de postuler pour le poste adéquat. Assureur, chargé de clientèle, conseiller en assurances, souscripteur, etc…, autant de postes appropriés.

Assureur

Protecteur des personnes et de leur patrimoine, l’assureur est la personne qui couvre tous les risques financiers qui surviennent à la suite d’un événement inattendu.

Généralement, pour devenir assureur, un bac+2 est le minimum requis. Détenteur d’un master en Management des assurances, vous avez donc un avantage vous permettant ainsi de bénéficier d’un accès direct à la profession.

Souscripteur

Expert des assurances, le souscripteur décide si oui ou non sa société prendra en charge les risques d’un client. Il évalue les enjeux financiers et les risques que cela représente pour sa compagnie. C’est donc un poste à grandes responsabilités, car grâce à ses jugement et appréciation, il conditionne la bonne santé ou non de l’entreprise.

Votre capacité d’analyse, d’observation et d’anticipation ajoutée à votre diplôme vous donne les aptitudes nécessaires pour exercer ce métier.

Expert des produits et placements bancaires et d’assurances

Grâce à votre master en management des assurances vous avez accès aux métiers de la gestion et de la banque. Vous pouvez devenir spécialiste des produits et placements bancaires et d’assurance.

Ce professionnel conseille les entreprises et les particuliers dans leur épargne, leurs assurances, leurs investissements. Non seulement le spécialiste connaît suffisamment les produits, leurs finalités et leurs fiscalités, mais il sait également adapter son offre aux besoins de ses clients.

Récapitulons en retenons qu’un master en Management des assurances vous ouvre la porte à plusieurs opportunités dans le secteur de l’assurance.

Si le métier d’agent immobilier fait souvent rêver, il est parfois difficile d’en cerner tous les aspects. La rémunération est un de ces aspects méconnus et parfois tabous. Le salaire d’un agent est, la plupart du temps, composé d’une partie fixe et d’une partie variable. Mais dès lors, comment gagne-t-il de l’argent ?

Partie fixe du salaire

La partie fixe du salaire est déterminée et écrite dans le contrat de travail de l’agent immobilier. Cette part de la rémunération est présente pour la quasi-totalité des agents immobiliers salariés et ne sera pas retrouvée chez les agents exerçant à leur compte. Il s’agit généralement d’une base SMIC. En fonction de son évolution au sein de l’entreprise et de son expérience, cette base fixe peut tout à fait monter jusqu’à 2500 euros bruts par mois. Il est toutefois toujours bon de bien se renseigner, et de négocier cette base fixe à chaque prise de poste.

Partie variable du salaire

Cela correspond à la partie réalisée avec les commissions faites sur les ventes des biens immobiliers. En général, le négociateur/vendeur touche entre 3 % et 6 % sur le chiffre total de la vente d’un bien. Ce pourcentage peut être dégressif si la valeur d’un bien est très élevée. Ainsi, cette partie variable permet au professionnel motivé d’augmenter son salaire de manière importante et de bénéficier d’avancement au sein de l’entreprise.

Quelles activités pour l’agent immobilier ?

Pour gagner ces deux parties de son salaire, l’agent doit veiller au bon déroulement des tâches suivantes : de la prospection de nouveaux biens à vendre ou à louer, à l’évaluation des valeurs des biens, jusqu’au processus de vente complet. Pour effectuer au mieux ses missions, l’agent pourra être formé via un BTS, un Bachelor, et même un master.

L’ESA, école reconnue, propose de nombreuses formations certifiantes telles que : gestion de la transaction immobilière, gestion d’actifs et de patrimoines immobiliers. N’hésitez pas à aller jeter un œil à nos très nombreuses formations !

Dans le secteur économique, le terme agent peut désigner un groupement de personnes morales ou physiques, mais cela peut aussi évoquer une seule personne ayant une fonction de répartition. Le consommateur reste le plus célèbre des agents. Il offre sa force de travail en échange d’un revenu. En immobilier, l’agent occupe d’autres fonctions.

Les différentes fonctions des agents

On discerne une fonction à chaque agent. Néanmoins, il lui est possible d’en cumuler plusieurs en même temps. A titre d’exemple, les ménages produisent et consomment de la richesse. Dans le secteur de l’industrie, l’agent a pour rôle de vanter les produits et services de l’entreprise. De ce fait, il s’adonne à un travail de prospection, de suivi et de négociation. Il s’agit d’un vendeur qui conclut et signe des contrats pour le compte du mandant.

L’importance de l’agent en immobilier en patrimoine

Pour un client, gérer le patrimoine et l’immobilier reste primordial. Cela revient à se constituer un capital qui servira à financer un projet pérenne. Toutefois, la gestion des richesses immobilières (location, vente, …) n’est pas toujours facile. Dans ce cas, il vaut mieux solliciter un agent pour assurer l’avenir de ses biens immobiliers sur le long terme. Ce conseiller en gestion de patrimoine propose une large gamme de valeurs mobilières et immobilières pour les produits d’assurance et produits financiers. Il donne de précieux conseils quant à l’achat ou à la vente de maisons, d’appartements ou encore de fonds de commerce. Il est à noter qu’il peut aussi proposer la location de ces dernières.

Un agent en finance, immobilier et gestion du patrimoine s’occupe donc d’auditer les biens du client et d’analyser la situation personnelle de son client. Il dresse le bilan des avoirs et évalue les revenus L’agent optimise la rentabilité du patrimoine et fait en sorte d’atteindre les objectifs fixés par son client. Il effectue différents suivis sur demande des usagers et s’occupe des affaires de ces derniers pendant toute une décennie.

Une assurance est un système qui permet d’anticiper d’éventuelles péripéties. Qu’il s’agisse d’un vol, d’un accident ou de tout autre évènement imprévu, elle vous protège des dégâts matériels ou financiers que cela engendrerait. Mais au fond, comment fonctionne ce système ? L’assurance est basée sur le concept de risque, qu’il est essentiel d’évaluer en exploitant des techniques statistiques et mathématiques.

L’opération assurance

L’assurance est fondée sur le principe de la mutualisation des risques. Il s’agit, en effet, d’un mécanisme de partage de risques, de manière à ce qu’ils s’équilibrent entre eux.

Néanmoins, pour éviter de compromettre l’ensemble du dispositif, il faut que les risques intégrés à la mutualité soient homogènes, dispersés et divisés. Homogènes, les risques de même nature, qui ont la même probabilité de réalisation, sont regroupés. Dispersés, ceux qui ont la chance de se produire au même endroit et au même moment sont séparés. S’agissant de la division, elle permet d’éviter à un sinistre à lui seul de nuire à la mutualité.

La cotisation mensuelle

Grâce aux statistiques, l’assureur calcule aisément le montant de la cotisation qu’il soumet à ses assurés. Ceux-ci devront donc lui verser une somme chaque mois. L’ensemble de ces cotisations représente le pot commun et c’est de là que l’argent est prélevé pour couvrir les frais liés aux dégâts occasionnés par un évènement imprévu auquel fut confronté un assuré.

Les techniques de division des risques

Lorsqu’un risque est énorme et que l’assureur seul ne peut pas le prendre en charge, il opte pour la coassurance et la réassurance.

La coassurance consiste à partager équitablement un risque entre plusieurs assureurs. La réassurance, quant à elle, est une opération selon laquelle une société d’assurance s’assure auprès d’une autre société pour recevoir de l’aide.

Le contrat d’assurance

Le contrat d’assurance repose sur les engagements réciproques des deux partis : l’assureur et l’assuré. Les caractéristiques de ces engagements sont détaillées dans les documents contractuels à travers les conditions générales et les conditions particulières.

Assurer son logement est une étape importante afin de protéger son habitation des nombreux dommages éventuels. Si elle est obligatoire pour les locataires et les propriétaires occupants, elle n’est que conseillée pour les propriétaires non-occupants. En règle générale, cela revient donc à souscrire un contrat multirisques habitation.

Que couvre l’assurance multirisques habitation ?

Le nombre de pièces à prendre en compte à la signature du contrat diffère en fonction des assureurs. Les pièces de moins de 9m² ne sont souvent pas prises en compte, ainsi que la cuisine et la salle de bain. Les grands espaces de vie peuvent quant à eux compter pour plusieurs pièces.

L’assurance couvre tous les dommages aux biens. C’est-à-dire au logement lui-même et à son contenu, ce qui concerne les meubles et les objets, ainsi que les dépendances classiques (garage, véranda…). Les degrés de couverture dépendent des assureurs et des garanties retenues lors de la souscription. Les objets de valeur sont souvent exclus également, sauf s’ils sont déclarés au préalable.

L’assurance multirisques habitation couvre donc au minimum les dégâts des eaux, les incendies, les catastrophes naturelles, et prend parfois en compte dans le contrat les cambriolages.

Qu’en est-il de la garantie responsabilité civile vie privée ?

Dans tous les contrats d’assurance multirisques habitation est incluse la responsabilité civile. En effet, chacun se trouve dans l’obligation de réparer un dommage causé à un autre individu. Cette réparation peut être illimitée puisqu’elle dépend de l’importance des dommages.

Avec la garantie responsabilité civile vie privée, c’est donc l’assurance qui vient se substituer à l’individu en prenant en charge l’indemnisation à la victime.

Attention toutefois aux nombreuses exclusions comme les activités professionnelles ou encore la pratique d’un sport dangereux.

De nombreuses options peuvent venir s’ajouter au contrat de base, et doit se discuter avec l’assureur à la souscription : c’est le cas de l’assurance panne des appareils électroménagers par exemple, mais aussi la garantie d’assistance ou même l’assurance scolaire.

Assurance santé, auto, habitation, prêt, etc. Il y a tellement d’assurances dans notre vie, à tel point que l’on veut tout simplement en ignorer quelques-unes. Cependant, il y a des couvertures qui se révèlent indispensables en fonction de son profil d’assuré ! Mais alors, quelles sont-elles pour un étudiant ?

L’assurance santé

Depuis 2019, tous les étudiants qui suivent des études supérieures sont concernés par le régime de la Sécurité sociale en toute gratuité. Il n’y a qu’une seule condition pour cela : avoir une carte vitale à jour et posséder un compte sur Ameli ou MSA selon le régime d’affiliation de leurs parents.

Cependant, la Sécurité sociale perçoit au maximum 70 % des frais médicaux. Raison pour laquelle la souscription à un complémentaire santé est indispensable. Une mutuelle étudiante est également envisageable. D’ailleurs, plusieurs compagnies d’assurance proposent des offres adaptées à chaque profil d’étudiant.

Les assurances étudiantes

Cette catégorie d’assurance est majoritairement proposée par les mutuelles étudiantes. Ainsi, elle vient compléter les assurances scolaires. Être couvert par ces assurances permet de profiter des protections de la responsabilité civile et individuelle, notamment durant les années d’études.

Cette assurance entre en jeu également lors des stages et de vos activités sportives. Parmi les couvertures proposées, il y a l’assurance voyage, les assurances perte et vol, les assurances examens ainsi que d’autres packs de protection pour prévenir les risques sur Internet. La bonne nouvelle c’est que les assurances étudiantes sont généralement proposées à petit prix.

L’assurance départ à l’étranger

Fortement conseillée, l’assurance départ à l’étranger intervient lors des stages ou d’échanges universitaires à l’étranger. En général, cette formule d’assurance couvre l’assistance rapatriement et la responsabilité civile, mais également la garantie vol de bagage. Elle prend également en charge les frais médicaux.

Cela vous permettra de couvrir les éventuels frais en cas de maladie à l’étranger. En effet, les frais de consultation peuvent être assez élevés à l’étranger. Face à cette situation, la souscription à une assurance départ à l’étranger se présente assez intéressante sur beaucoup de points. 

La garantie décennale, ou encore assurance décennale, permet d’assurer et de couvrir l’entreprise qui la souscrit, sur tous les sinistres pouvant apparaître dans les dix ans de construction d’un bâtiment neuf. Ce à partir de sa date de livraison.

Un risque majeur pour les dirigeants.

Encadrée par la loi dite Spinetta (articles 1792 et 1792-2 du code civil), la responsabilité civile décennale d’un dirigeant d’entreprise peut être engagée au pénal. En effet, la sanction peut être sévère, puisque la loi prévoit jusqu’à 6 mois d’emprisonnement et 75000 euros d’amende, en cas de mise en cause de cette responsabilité civile décennale. Au-delà de ce risque pénal, la garantie décennale va protéger l’assuré, en cas d’activité en société, de tous les vices, malfaçons qui pourraient entraîner jusqu’à la disparition de l’activité. En outre, fait moins connu et souvent ignoré, aucun assureur ne voudra reprendre une couverture de l’assuré si ce dernier n’était pas initialement couvert par la garantie décennale. Dans le cas d’une auto-entreprise, les biens de l’auto-entrepreneur peuvent être menacés et également mettre en péril son activité. Ainsi, plus que le risque encouru par le dirigeant, cette assurance permet d’exercer son activité en toute quiétude et de ne pas menacer la santé financière de l’entreprise.

Un produit parfois onéreux, mais toujours nécessaire.

Les contrats et produits proposés en termes de couverture dite décennale sont souvent chers et parfois mal compris. Il est ainsi nécessaire de se faire conseiller par des professionnels compétents et formés. Ainsi, le professionnel devra cerner le contexte dans lequel la garantie pourra ou non s’exercer, et savoir la mettre en place. Cela suppose préalablement de maîtriser les différents rôles des intervenants (sous-traitants, maîtres d’ouvrage, fournisseurs, entreprise principale par exemple) et de déterminer au plus juste leur rôle et leur implication dans cette responsabilité. Seules des personnes correctement formées peuvent répondre de manière sûre à ces enjeux complexes.

L’assureur a un rôle prépondérant à jouer pour mettre en place et proposer une assurance RDC à son client. Connaître le champ réglementaire (code de l’assurance, lois civiles liées au sujet), cerner les contextes et les rôles des participants, et surtout conseiller au mieux son client. Voilà le rôle majeur que le courtier ou l’agent devra jouer.

Modifications autorisées

Le montant des cotisations n’est pas figé lors de la souscription du contrat et est revalorisé annuellement selon l’évolution d’un indice. 

La définition de cet indice est variable d’un assureur à l’autre puisqu’il peut-être indexé sur l’inflation, le plafond de la Sécurité Sociale, la valeur des points AGIRC-ARCO ou encore selon les résultats de la Société d’Assurance. 

Autant de paramètres disparates et évolutifs qui sont pour autant limités par l’obligation de l’assureur de respecter une tranche de pourcentage d’augmentation annuelle. 

La modification du montant des cotisations peut également résulter de l’évolution du cadre réglementaire ou législatif ou de l’application d’un malus suite à un sinistre. 

Contestation de l’assuré ?

Oui si l’assureur ne respecte pas ses obligations ou les termes du contrat d’assurance. 

Par exemple, en cas d’aggravation du risque, l’assureur doit formaliser une nouvelle proposition tarifaire soumise à l’acceptation ou refus de l’assuré sous 30 jours. En cas de refus, l’assureur peut résilier le contrat. 

Autre illustration, si le contrat ne mentionne aucune clause de révision des cotisations, l’augmentation appliquée par l’assureur peut être refusée par l’assuré. Un nouveau calcul basé sur la grille tarifaire d’origine doit être appliqué par l’assureur. 

Le secteur de l’assurance vous intéresse ?

Si vous souhaitez vous former au métier d’assureur, l’ESA (Ecole Supérieure d’Assurances) vous propose la formation adaptée à votre profil !

Les modules sont proposés en France et à l’international, en présentiel ou en e-learning, en formation continue ou en alternance, pour que vous puissiez bénéficier d’un accompagnement en adéquation avec vos besoins et attentes. 

Consultez notre catalogue et inscrivez-vous pour ouvrir le nouveau chapitre de votre carrière !

Les compagnies d’assurance ont la vocation de récolter des primes de la part des clients. Les souscripteurs bénéficient ensuite en retour d’une indemnisation en cas de sinistre. C’est généralement l’information que de nombreuses personnes savent dans le mode de fonctionnement des assurances. Pourtant, il faut parler d’autres renseignements comme les produits d’assurance. Mais quelles sont leurs importances pour l’assureur ?

Les évolutions des produits d’assurance

Les facteurs de risques augmentent constamment depuis les dernières décennies. L’assurance doit donc faire évoluer ces offres en fonction des besoins constatés. Il y a par exemple les produits liés à l’exploitation des outils informatiques. Les assurances organisent d’ailleurs des formations en complément des nombreuses garanties financières. Les courtiers permettent aussi à des détenteurs de capitaux d’investir sur les marchés financiers. Ils jouent ainsi un rôle d’intermédiaire. Cela prouve que les assureurs se sont lancés dans la diversification de leurs actifs. Ils ont même tendance à empiéter sur les plates-bandes des établissements bancaires.

Mode de fonctionnement d’une assurance

Une assurance est avant tout une entreprise commerciale. Cependant, elle ne vend pas des articles, mais des produits d’assurance. Concrètement, il s’agit d’actifs qui servent à garantir la pérennité de l’activité et son développement. La chose à savoir est que les compagnies d’assurance appliquent la méthode dite cycle de production inversée. En effet, les courtiers proposent les contrats d’assurance en contrepartie d’une mensualité. Les assurés payent alors pour profiter d’un service après un évènement malencontreux. En principe, l’assurance est une société anonyme, mais il existe également des assureurs à but non lucratif. Elles revêtent alors le statut de société d’assurance mutuelle. Une fois les primes entre les mains des assureurs, elles seront réinvesties dans un placement financier. L’assureur recevra alors des rendements.

Les conditions d’assurance

Une assurance garantit principalement un risque. Cela signifie que les assurés reçoivent des indemnités après la survenance d’un événement dommageable. Ce dernier doit être imprévisible et ne relève pas d’une action volontaire de l’assuré. Pour se défendre contre les arnaques, les enquêtes sont souvent nécessaires après un accident ou un incident. Les compagnies d’assurance peuvent proposer leurs produits de maintes manières aux particuliers ou à des entreprises. Les agents sont par exemple autorisés à contacter directement des listes de prospects. Dans certains cas, les clients établissent eux-mêmes le contact. Le plus important est que les produits doivent correspondre au profil du souscripteur.

Quels sont les produits d’assurance traditionnels ?

Les produits d’assurance sont abondants dans le secteur. Il est possible de souscrire à une assurance-vie, santé ou même en rapport avec les propriétés. Les règles qui s’appliquent aux assureurs sont celles des codes de l’assurance. Elles régissent l’ensemble des opérations et les offres. Il faut aussi mentionner certaines législations comme la loi Hamon en date de 2014. Elle protège notamment les souscripteurs. Les produits les plus populaires sont l’assurance vie ou l’assurance dommages. Le premier intervient en cas de décès de l’assuré. Cependant, les fonds peuvent être retirés à tout moment. En revanche, le particulier est amené à payer des impôts importants. L’assurance-dommages concerne les couvertures d’un bien. Il y a d’ailleurs les assurances-dommages contractées pour les pépins de santé ou l’invalidité.

En conclusion, les assureurs ont besoin des produits d’assurance pour augmenter leurs chiffres d’affaires. De son côté, un client recevra un service correspondant à son investissement. Les sociétés d’assurance effectuent régulièrement une analyse de marché pour comprendre les besoins des consommateurs. Elles sont ensuite positionnées de façon idéale pour répondre aux demandes.

Le domaine de l’assurance est soumis à des règles de déontologie. Elles peuvent résulter des codes de l’assurance ou de l’assureur en lui-même. Cette éthique a pour but de réglementer l’activité. Les règles appliquées dans le Code civil et le code de l’assurance

Les compagnies d’assurance sont d’abord amenées à préserver le secret professionnel de ses clients. Un gestionnaire de contrat peut ainsi être poursuivi dans le cadre de son exercice. Le responsable de la divulgation du renseignement sera tenu de payer une amende. Il encourt même une peine d’emprisonnement de un an. C’est en tout cas ce qui est mentionné dans le Code civil. Dans le code de l’assurance, il existe aussi plusieurs articles qui font état des règles déontologiques. L’Article.L.113-12 conditionne la durée du contrat. D’après le même article, la police fixe également les conditions de résiliation. Ce droit à la révocation est à stipuler obligatoirement dans le contrat à chaque reconduction annuelle. De son côté, l’Article L113-15 limite la reconduction tacite sur une période maximum de 1 an. Elle évoque pareillement que la durée de la police devrait être écrite avec des caractères apparents. 

Les déontologies au sein des assurances

Les compagnies d’assurances peuvent également mettre en place leur propre code de déontologie. À noter qu’il ne s’agit pas d’une obligation légale. Cela dit, son intégration permettra de garantir le bon fonctionnement de l’activité. Il n’existe pas de code de déontologie type. Elle devra néanmoins être rédigée dans le respect de la loi en vigueur. Il s’agit de l’ensemble des droits ainsi que des devoirs qui incombent à chaque employé. Au moment de signer un contrat de travail, les salariés s’engagent alors à suivre ses règles morales. Elles régissent aussi les conduites des personnes qui travaillent dans l’organisation. Les règles de déontologie peuvent porter sur les procédures à suivre en cas de suspicion de blanchiment d’argent. Il est pareillement possible d’évoquer les règles de transparence. Par ailleurs, une convention existe entre les assureurs. 

En conclusion, les règles déontologiques existent bel et bien dans le secteur de l’assurance. Elles peuvent résulter d’un article du code de l’assurance, de l’entreprise ou d’une convention collective entre les assurés. 

Depuis plusieurs années, les compagnies d’assurance continuent de miser sur les jeunes diplômés. Cette tendance continuera de croître pour l’année 2022 puisque le secteur cherche toujours de bons profils. L’information sera cependant exploitée avec précaution, car le nombre de postes à pourvoir ne sera pas similaire pour chaque métier. 

Les métiers porteurs

Le secteur tente de proposer de nouvelles formules pour l’année 2022. En effet, les entreprises ont par exemple constaté l’impuissance des assureurs face à la crise sanitaire. Cela a d’ailleurs conduit à d’innombrables contentieux pour des questions de dédommagement lors des chômages techniques forcés. Cela implique qu’ils auront besoin de conseiller en assurance, téléconseiller ou encore des gestionnaires de contrat. Ils collaboreront étroitement avec les clients et convaincront de nouveaux prospects. Mais leur principal objectif sera de persuader les souscrivant à avoir foi dans les dispositifs actuels. Dans cette même veine, les commerciaux sédentaires seront indispensables pour essayer de remonter le chiffre d’affaires après la crise. Les comptables techniques deviennent pareillement rares puisque le recrutement se focalise davantage sur l’aspect commercial lors des années précédentes. Plusieurs postes en back office sont aussi à pourvoir parmi les tarificateurs, souscripteurs, analystes de risque. La lutte contre la fraude nécessitera également quant à lui des travailleurs dans le service conformité. 

Les besoins des assurances

Les compagnies d’assurance tentent actuellement de combler une carence en ressources humaines sur certains postes clés. Pour l’année 2022, de nombreux salariés partiront bientôt à la retraite. Pour le remplacement numérique, les recruteurs chercheront des candidats potentiels. Ils seront formés sur les aspects techniques et les réglementations du métier. Les jeunes diplômés correspondent à cette description. Les assurances créent aussi régulièrement de nouveaux services pour répondre aux besoins changeants du marché. Par ailleurs, la transformation digitale force les assureurs à s’adapter face à la nouvelle situation. 

En conclusion, les compagnies d’assurance effectueront une vague de recrutement pour l’année 2022. Le pourcentage de retraités sera l’un des vecteurs de cette situation. Elles chercheront aussi à fidéliser les clients et à améliorer le côté administratif. 

Les courtiers d’assurance sont des intermédiaires entre les clients et les compagnies d’assurance. Ils sont immatriculés et inscrits dans un registre spécial. Ils jouent le rôle de commerçant indépendant. Ils reçoivent une commission sur les contrats signés. Un courtier peut être polyvalent ou spécialisé dans un secteur spécifique. 

Courtier en assurance habitation

L’assurance habitation reste l’un des plus sollicités dans le secteur. En effet, le nombre de nouvelles constructions continue de croître. La chose à savoir est que les investisseurs sont encore nombreux à investir dans la pierre pour une question de sécurité. Depuis l’année 2020, plusieurs chantiers et projets ont été mis aux arrêts. Les livraisons ont donc pris du retard pour s’allonger dans les prochaines années. Il s’agira d’une opportunité pour les courtiers en assurances habitation. Les formules proposées couvrent à la fois l’habitation et les responsabilités aux tiers. Dans le cadre de l’habitation, il faut parler des incendies ou encore des incidents naturels. Pour la responsabilité aux tiers, le père de famille est par exemple couvert au cas où un dommage survient sur des tiers. Puisque les constructions reprennent dans plusieurs villes, il serait aussi intéressant d’axer ses compétences sur l’assurance immobilière.

Le courtier de l’assurance-vie

L’assurance-vie fait également partie des segments prometteurs. Dans une quête de sécurité, les Français sont nombreux à souscrire à une assurance-vie chaque année. L’approche présente des avantages variés comme les atouts fiscaux. Il permet aussi de financer certains projets comme le SCPI. Certes, il existe déjà de nombreux courtiers qui œuvrent dans ce secteur. Cependant, leur nombre ne pourra pas couvrir la totalité des clients potentiels sur le marché. Dans le cadre d’une police d’assurance-vie, le courtier assure l’intermédiation entre les souscripteurs et les gestionnaires du contrat. Il joue également le rôle de conseiller grâce à sa maîtrise des produits financiers. 

En conclusion, les secteurs de l’immobilier et l’assurance-vie continueront d’apporter des perspectives intéressantes pour les courtiers. Il est donc conseillé de se spécialiser dans l’un de ses actifs aux dépens des assurances voitures ou moto. 

Une licence en banque, en assurance ou en finance ouvre bien des portes. Mais quel master choisir pour poursuivre vos études et vous spécialiser ? L’ESA (École Supérieure d’Assurances) propose un grand nombre de masters en alternance dans le domaine de l’assurance, de la gestion de patrimoine, de la gestion de risques ou de l’immobilier. Vous serez formés à de nombreux métiers grâce à un apprentissage sur le terrain, effectué auprès de professionnels. Notre école propose ces formations en présentiel ou en ligne, pour répondre à vos besoins et à vos envies. Lancez-vous dans une carrière stimulante, gratifiante et pleine d’opportunités !

Les masters en assurance et en risques et assurances de l’entreprise

L’ESA propose différents masters qui feront de vous un professionnel accompli de l’assurance. Vous apprendrez tout ce qu’il y a à savoir pour accompagner vos clients, qu’ils soient des particuliers ou des entreprises. Après l’obtention de votre diplôme, vous serez à même d’exercer une multitude de métiers passionnants : courtier en assurances, inspecteur commercial, chargé d’études marketing, souscripteur de risques d’entreprise au sein d’une société d’assurance, agent général d’assurances, risk manager, collaborateur en cabinet de courtage…

Le master en ingénierie patrimoniale

Une licence en banque, en assurance ou en finance peut vous ouvrir les portes de la gestion de patrimoine. Grâce à notre master, apprenez à établir la parfaite stratégie pour permettre à vos clients d’atteindre leurs objectifs. Vous pourrez ainsi vous mettre au service de banques, d’entreprises ou de particuliers, et choisir de travailler en agence ou à votre compte, dans le domaine de la finance ou de l’immobilier. Les débouchés sont nombreux : conseiller en gestion de patrimoine et de fortune, négociateur immobilier, chargé de clientèle dans une banque de réseau, gestionnaire de patrimoine indépendant…

En choisissant l’ESA et en vous inscrivant à l’un de ces masters, vous acquerrez de solides compétences, et ce, grâce aux entreprises et à notre équipe pédagogique. Consultez nos offres de formation et prenez le chemin d’un avenir enrichissant !

Poste clé au sein d’une compagnie d’assurance, le gestionnaire de sinistre intervient lorsqu’un client demande une indemnisation suite à un sinistre. Il peut être spécialisé dans un domaine particulier, comme l’automobile par exemple, ou rester généraliste et s’occuper des multirisques. Quel est précisément son rôle ?

Les tâches d’un gestionnaire de sinistre

Le gestionnaire de sinistre doit recueillir toutes les informations nécessaires à la bonne instruction du dossier : date, personnes impliquées, témoignages, avis des experts… Il mène une enquête approfondie sur les circonstances du sinistre et s’efforce de déterminer la responsabilité des personnes concernées. Il doit être capable d’évaluer le plus justement possible le préjudice subi par le client et lui proposer une indemnisation à la hauteur des garanties présentes dans le contrat d’assurance, si les conditions sont réunies. 

Le gestionnaire de sinistre a un rôle de conseil et de médiateur. Il est l’intermédiaire entre la compagnie d’assurance et ses clients. Il tient ces derniers informés de la marche à suivre et des délais, tout en expliquant des termes juridiques parfois abstraits. 

Il peut être amené à négocier avec des confrères si la situation l’exige. Dans ce cas, il fera son maximum pour défendre les intérêts de son client et de sa compagnie. 

Le savoir-faire et le savoir-être

Souvent confronté à des situations difficiles ou à des personnes en détresse, le gestionnaire de sinistre doit savoir prendre du recul et être impartial dans ses décisions. Objectivité, organisation et méthode sont les maîtres mots de ce métier, qui demande une remarquable capacité d’analyse et de solides connaissances dans le domaine du droit et de l’informatique. Il connaît parfaitement les procédures et veille à les appliquer avec discipline et rigueur.

Chaque cas traité par le gestionnaire de sinistre est différent et il doit en tenir compte. En étroite relation avec les clients, il doit en permanence se montrer courtois, compréhensif et pédagogue, même si la demande d’indemnisation est refusée.

Le métier de gestionnaire de sinistre est taillé pour des personnes autonomes et méthodiques, ayant une bonne aisance relationnelle tout en étant fermes dans leurs décisions.

Se tourner vers les produits d’assurances permet aux consommateurs de limiter les risques liés à la vie de tous les jours ou à des activités spécifiques. Ce sont des services matérialisés par un contrat selon lequel l’assureur s’engage à couvrir des risques déterminés, moyennant le versement d’une prime. Ces contrats peuvent être souscrits à titre individuel ou collectif (au profit d’un groupe). Certaines polices d’assurance sont obligatoires, d’autres sont facultatives. De cette abondance de services se dégagent deux grandes familles d’assurances en France : les assurances aux personnes et les assurances de dommages.

Les assurances aux personnes

Les assurances aux personnes couvrent les risques qui pèsent sur l’intégrité physique d’un individu. En cas de maladie, les frais de soins de chaque citoyen sont remboursés par la sécurité sociale. Cet appui est cependant insuffisant. La souscription à une complémentaire santé apporte une prise en charge supplémentaire au patient. Ces assurances maladie peuvent également couvrir les risques d’une incapacité de travail, ou ceux d’une invalidité. Les assurances décès, quant à elles, impliquent, pour l’assureur, le versement d’une rente, ou d’une somme en une fois, à ses bénéficiaires, en cas de décès du souscripteur.

Les assurances de dommages

Les assurances sur les biens

Elles couvrent les sinistres sur les possessions matérielles de l’assuré : bâtiment, meubles, voiture, etc. L’assurance habitation ou automobile en sont de parfaits exemples. L’assureur peut également dédommager une entreprise victime d’un sinistre lié à son activité, dans le cadre de l’assurance perte d’exploitation.

Les assurances au tiers

Les assurances aux tiers

Le contrat d’assurance au tiers engage l’organisme d’assurance à indemniser les personnes victimes d’un dommage occasionné par le souscripteur. La signature d’un tel contrat relève souvent d’une obligation légale pour le souscripteur. Outre l’assurance de responsabilité civile, il en existe dans de nombreux domaines.

Au-delà de ces options, les compagnies d’assurances proposent des contrats de couvertures multirisques. Il s’agit d’un système de garantie plus complet : l’assureur indemnise les dégâts sur les biens et ceux relevant de la responsabilité de l’assuré, ou de son activité professionnelle.

Nouveaux concurrents dans le domaine de l’assurance, les banques entreprennent de gagner des parts de ce marché lucratif par des contrats aux prix intéressants et dans de larges domaines, allant de l’assurance prêt à l’assurance vie, de l’assurance auto à celle immobilière. Mais pourquoi un tel intérêt ? Et sont-elles aussi efficaces que les assurances ?

Une histoire commune

La banque ne s’est jamais tenue loin des assurances et ça depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Dans le but évident de pouvoir récupérer un jour les sommes prêtées, les banques se sont très vite mises à proposer des assurances pour sécuriser l’emprunt de leurs clients. Une démarche qui aujourd’hui s’élargit à un grand nombre de services en assurances. 

La diversifier est synonyme de stabilité

À l’heure où les taux sont au plus bas et risqueraient de les plonger dans le rouge, les banques ont besoin de se diversifier. Et le secteur de l’assurance leur permet de maintenir une stabilité financière qui n’est pas dénuée d’intérêt. L’assurance est un rendement fixe qui permet bien évidemment de fidéliser leurs clients. 

La bancassurance et son efficacité.

Si monsieur Durand vient à sa banque pour demander un prêt visant à acheter une nouvelle voiture ou à investir dans l’immobilier, la possibilité de pouvoir lui proposer immédiatement une assurance protégeant ces nouveaux biens permettra de gagner sa fidélité. Simplifiant les démarches sous la bannière d’un même interlocuteur, les banques proposent ainsi des offres larges à des prix concurrentiels tout en demeurant réactives dans leur dialogue lors de sinistres. Une facilité à une heure où la technologie se simplifie pour se montrer plus intuitive d’utilisation.

En conclusion.

Cet intérêt soudain pour l’assurance n’est pas dénué d’un intérêt financier visant à stabiliser une économie qui se fragilise des taux actuels, très bas pour inciter la démarche commerciale du client. Mais ce besoin de fidéliser cette clientèle permet une offre équilibrée, un Donnant Donnant dont les demandeurs peuvent bénéficier en s’intéressant de plus près aux propositions des bancassurances.

L’assurance est une mesure obligatoire pour l’exercice d’une activité à vocation professionnelle, de même pour l’usage de certains véhicules. Les assureurs disposent de plusieurs catégories de clientèles. Cependant, elle peut être scindée en deux, d’un côté la clientèle entreprise et de l’autre la clientèle des particuliers. Chacune d’elle a sa spécificité et son poids sur le marché. Nous vous livrons dans le présent article les principales différences entre une clientèle d’entreprise et une clientèle des particuliers. 

Les catégories d’assurance

Les assurances à proposer pour la clientèle entreprise sont différentes des particuliers. Les entreprises ont plus besoin de produits relatifs à leur exploitation, à la protection des biens ou encore la responsabilité civile et professionnelle. Les assureurs doivent donc être en mesure de proposer diverses garanties protégeant les biens, les personnes, mais également contribuer à la pérennité de l’entreprise. La clientèle entreprise requiert des services particuliers : comme le conseil, la proximité ou encore des temps de réponse rapides lorsqu’elles émettent des demandes à l’endroit de son assureur.

Pour la clientèle des particuliers, les assurances vont plutôt pencher vers la sécurisation des biens personnels (assurance incendie, assurance voiture…etc). De plus, les particuliers ont plus tendance à souscrire à des assurances qui vont protéger une personne comme l’assurance maladie ou encore l’assurance vie. 

Les types de risques à couvrir

La principale différence réside dans les types de risques à couvrir. Les assureurs des particuliers devront plus se pencher sur les risques liés à la vie de la personne comme la maladie ou encore le décès. En effet, ces évènements constituent souvent la mise en jeu de la garantie. Par ailleurs, le montant de la souscription pour la clientèle particulière n’est pas aussi élevé que celui de la clientèle entreprise.

Les entreprises sont exposées à des situations plus risquées que les particuliers. Ces risques sont omniprésents, que ce soit du fait des collaborateurs, des dirigeants, de la fluctuation du marché ou encore d’un événement indépendant de la volonté des entreprises.

Les agents d’assurances jouent le rôle d’intermédiaire entre les compagnies d’assurance et les clients. Ils sont chargés de présenter et de vendre les produits d’assurance. Une fois le contrat signé, le client laisse la gestion du portefeuille à l’expert. Mais comment va-t-il s’y prendre pour cette tâche?

Quels sont les produits d’assurance ?

Les produits d’assurance sont classés en deux grandes catégories dans le secteur. Il y a les primes et les indemnisations en cas d’un sinistre. Il faut parler de prime dès lors qu’un client souscrit à des assurances vie ou non-vie. Dans ce dernier cas, il est possible de citer les assurances habitations ou l’assurance-auto. Lors d’une indemnisation des sinistres, on peut alléguer les assurances personnes ou encore les dommages matériels. Elles comprennent notamment les polices d’assurance. Dans chacune de ses circonstances mentionnées, la façon de gérer le portefeuille est différente. L’agent pourra se familiariser avec tous ces éléments après une formation universitaire.

Les tâches de l’agent d’assurance dans la gestion du portefeuille

La gestion de portefeuilles est articulée autour de plusieurs points. D’abord, l’agent d’assurance vérifie périodiquement les polices d’assurance. Le but est d’obtenir le meilleur taux tout en proposant une protection optimale. Il identifiera également les formules adaptées pour chaque prospect. Ensuite, il est sollicité pour aider le client dans les démarches bureautiques. Une assistance en ce sens est indispensable après un sinistre. Il doit aussi déterminer les risques. Cette opération s’effectue régulièrement afin d’éviter que les clients soient dépossédés de leurs épargnes. D’un autre côté, il opère un premier calcul afin d’estimer les probabilités d’un risque. Il évite ainsi aux assureurs de perdre de l’argent. En effet, certains métiers sont notamment plus dangereux par rapport à d’autres. Il existe aussi des profils qui choisissent des hobbies périlleux. L’agent d’assurance devrait pareillement vérifier les avis d’échéance.

En conclusion, l’agent d’assurance est un professionnel important pour les assureurs. Il garantit la bonne transmission des offres aux clientèles. Cela implique qu’il est amené à développer les chiffres d’affaires de son employeur. Il assure aussi la protection des clients. 

Travailler dans le domaine des assurances vous intéresse beaucoup mais vous ne savez pas vers quel métier vous diriger. Connaissez-vous le métier de chargé d’indemnisation ? Bien moins connu que le métier d’agent d’assurance ou de courtier en assurance, il n’en reste pas moins un métier porteur. Nous allons tout vous expliquer.

En quoi consiste ce métier ?

Un chargé d’indemnisation intervient à la suite d’un sinistre (incendie, dégâts des eaux, vol…). Il travaille pour le compte d’une société d’assurance. Son rôle est de vérifier que les circonstances dans lesquelles s’est produit l’incident sont couvertes par les garanties et les clauses du contrat d’assurance. Il devra aussi établir les responsabilités et le montant des indemnisations. Si un différend intervient avec la victime ou l’assuré, le chargé d’indemnisation engagera toutes les procédures nécessaires devant la justice.

Quelle formation entreprendre pour devenir chargé d’indemnisation ?

Si ce métier vous intéresse, il vous faudra engager de 2 à 4 années d’études après le bac. Selon le poste convoité, vous pouvez devenir chargé d’indemnisation après un BTS assurance, un DEUST droit des assurances ou un DUT carrières juridiques option assurance. Si vous souhaitez aller plus loin, il vous est possible de suivre une maîtrise de droit privé ou un 3ème cycle en droit des assurances.

Des évolutions sont-elles possibles ?

Un chargé d’indemnisation débutant gagne aux environs de 2000 euros par mois, mais de nombreuses évolutions sont possibles. En effet, après plusieurs années d’exercice, celui-ci aura la possibilité d’évoluer vers le métier de manager d’équipe, de gestionnaire ou encore d’inspecteur d’indemnisation. En fin de carrière, il est possible de gagner jusqu’à 6000 euros par mois environ.

Alors si vous êtes rigoureux et avec de bonnes qualités relationnelles, ce métier est peut-être fait pour vous. Les débouchés nombreux et les importantes possibilités d’évolution en font un métier attrayant. N’hésitez pas à vous renseigner.

Vous partez bientôt en vacances ? Il y a des mois que vous attendez, avec une grande envie non dissimulée, ce moment béni de l’année… Avez-vous songé à contracter une assurance annulation vacances qui, en cas d’empêchement, vous permet de récupérer, au moins en partie, les frais engagés ?

L’assurance annulation vacances

Diverses situations (accident, maladie, perte d’emploi, changement de dates de congés…) peuvent vous obliger à renoncer à votre départ ou à abréger votre séjour. 

Pour récupérer en totalité, ou partiellement, la somme déjà réglée, il est impératif d’avoir auparavant souscrit une assurance annulation vacances. Pour ce faire, vous avez plusieurs moyens à votre disposition. 

Certaines cartes bancaires, qualifiées de haut de gamme, comprennent une assurance annulation, valable du moment qu’elles ont été utilisées pour régler les prestations relatives à ces vacances. Vérifiez bien l’étendue des garanties. Il ne faut pas faire l’amalgame avec les garanties d’assistance dont certaines cartes bancaires donnent accès. L’annulation et l’assistance sont deux notions bien distinctes. 

Vous pouvez souscrire une assurance annulation auprès du voyagiste, d’un organisme spécialisé ou de votre propre assureur. Les motifs d’annulation, ainsi que les conditions de remboursement, sont variables selon les contrats. Vérifiez minutieusement les circonstances qui vous permettront d’être couvert le moment venu. 

L’assurance annulation à l’année

Des assureurs proposent des contrats couvrant le risque d’annulation qui se rapporte à tous les déplacements que peut effectuer une famille durant l’année : vacances familiales, week-end avec ou sans les enfants, voyage de longue durée, billets d’avion ou de train…

Cette assurance inclut spécifiquement une « assurance permanente annulation de vacances » si un événement important (accident et maladies graves, licenciement, convocation relative à un emploi…) vous contraint à interrompre ou à renoncer carrément à votre séjour. Bien évidemment, cette assurance doit être souscrite avant la réservation de votre séjour. 

L’assurance annulation constitue la solution idéale pour vous simplifier la vie et, de plus, faire quelques économies non négligeables. 

Depuis plus d’un an, la majorité des pays du monde ont connu toute l’ampleur des répercussions de la pandémie de Covid-19. Ce fléau a créé des impacts négatifs majeurs que ce soit sur le plan social qu’économique. En ce qui concerne le monde de l’assurance, des changements ont été constatés. De nombreuses questions juridiques ainsi que des litiges ne laissent pas les assurés et les entreprises indifférents. 

Qu’en est-il de l’assurance voiture ?

D’une manière générale, l’assurance est supposée couvrir les aléas et non une pandémie omniprésente. Certes, la situation actuelle ne constitue pas une garantie d’assurance financée par une cotisation ou encore moins un risque aléatoire. Il s’agit d’un risque systémique qui touche l’économie mondiale. Il convient ainsi de souligner que les compagnies d’assurance ne couvrent que les risques dont la probabilité est maîtrisée. 

Ainsi, du côté de l’assurance voiture, les assureurs ont optimisé leurs règles d’assistance en cas d’accidents ou de panne. Ils ont mis en place des solutions pratiques en tenant compte des limitations de déplacement. Face à l’immobilisation des véhicules, les compagnies d’assurance ont validé le gel de certains contrats d’assurance sans annuler les clauses obligatoires. De même, les assureurs ont l’opportunité de réaliser des économies en remplissant quelques conditions.

L’impact du Covid-19 sur la responsabilité civile professionnelle

Concernant l’assurance responsabilité civile professionnelle, quelques points sont à analyser. Souvent, les assureurs ne donnent pas d’importance au risque « épidémie ». La forte possibilité de contamination peut menacer leur solvabilité. Durant la période d’alerte, les gérants et autres chefs d’entreprise sont tenus d’appliquer des mesures préventives requises pour la sécurité des employés. 

Est-ce que le télétravail est couvert par l’assurance habitation ?

Le télétravail a le vent en poupe depuis l’année dernière à cause de la pandémie de Covid-19. Le recours à cette pratique a entraîné les salariés à se soucier de leur situation. Ils se demandent si cela reste inclus dans leur contrat d’assurance d’habitation ou s’il s’agit de la responsabilité de leurs employeurs. En guise de réponse, d’une part, le salarié reste protégé par l’employeur. Il est couvert pour les dommages immatériels, matériels et corporels. D’autre part, l’employé a le devoir d’avertir son assureur habitation. Même si cela n’est pas du tout obligatoire, il est indispensable de connaître les spécificités de la couverture. 

La crise sanitaire a apporté des changements au niveau de plusieurs domaines clés, comme le secteur assurantiel. Assurés et assureurs se trouvent dans une situation difficile. Néanmoins, les deux parties s’efforcent de trouver un compromis pour s’adapter à la nouvelle réalité.

Difficile de s’y retrouver dans le large choix d’assurances proposées. Découvrez dans cet article les 5 assurances réellement indispensables pour vous protéger au quotidien !

La responsabilité civile

La responsabilité civile est l’obligation de réparer les dommages causés à autrui dans le cadre de la vie privée. Souscrire à cette assurance permet de couvrir les conséquences financières résultant d’un acte, d’un fait ou d’une faute.

Cela inclut par exemple, dans le cas d’une assurance habitation, de réparer les dommages causés par un élément de votre logement.

L’assurance auto

Obligatoire dès lors que vous détenez un véhicule à moteur en état de circuler, l’assurance auto couvre votre responsabilité vis-à-vis des victimes en cas d’accident responsable.

Attention, les garanties complémentaires comme l’assistance en cas de panne ou la garantie « bris de glace » ne peuvent être imposées, mais sont vivement recommandées.

L’assurance santé

Dans un pays où le principe de solidarité est l’un des marqueurs principaux, la Sécurité Sociale joue le rôle de caisse commune. L’assurance santé intervient alors en complétant les remboursements partiels de frais médicaux.

L’assurance habitation

S’il est possible d’habiter votre logement sans l’assurer, cette économie se fait toutefois à vos risques et périls. En effet, en cas de sinistre, ce sera à vous de payer les frais qui peuvent s’élever jusqu’à plusieurs centaines de milliers d’euros.

Dans certains cas, l’assurance habitation peut d’ailleurs vous être imposée, si vous êtes locataire par exemple.

L’assurance emprunteur

L’assurance emprunteur n’est en théorie pas plus obligatoire pour un crédit immobilier que pour un prêt à la consommation. Cependant, la banque est libre de refuser votre demande de prêt en fonction du risque en jeu.

À retenir

Nombreuses sont les offres disponibles sur le marché : connaître vos obligations vous aidera à y voir plus clair lors du choix de votre assurance.

Comme 97 % de Français, vous avez déjà souscrit une assurance. S’assurer est indispensable pour garantir votre sécurité au quotidien : maison, voiture, prêt immobilier… Vous aimeriez en savoir plus sur la police d’assurance ? Découvrez ce que signifie exactement cette notion et des exemples concrets pour l’illustrer.

La police d’assurance : une preuve matérielle

La police d’assurance, c’est tout simplement la version papier ou dématérialisée de votre contrat d’assurance. C’est le document officiel que vous avez signé et que vous conservez à l’issue de la souscription de votre contrat.

En tant que document contractuel, il prouve l’accord que vous passez avec l’assureur. De manière générale, la police d’assurance comprend les conditions de l’engagement, les garanties, et les délais de résiliation.

Trois types de polices d’assurance indispensables

Vous disposez d’une police d’assurance pour chaque contrat que vous souscrivez.

Police d’assurance responsabilité civile

C’est un contrat qui couvre les dommages causés aux tiers. Votre assureur prend en charge l’indemnisation de la personne victime du sinistre ou de l’accident.

L’assurance responsabilité civile couvre trois types de dommages :

Police d’assurance habitation

L’assurance habitation vous permet d’être indemnisé par votre compagnie d’assurance en cas de sinistre dans votre logement. Elle est obligatoire si vous êtes locataire.

Les garanties de base :

Police d’assurance automobile

L’assurance automobile couvre les dommages matériels et/ou corporels que votre véhicule peut occasionner. Cette assurance est obligatoire.

Selon votre contrat, elle peut également couvrir :

Vous en savez plus sur la police d’assurance. Elle constitue donc le document légal qui établit les termes du contrat d’assurance conclu entre l’assureur et l’assuré. Vous souhaitez vous former à ce sujet, rejoignez-nous !

L’École Supérieure d’Assurances vous invite à participer à son premier concours d’éloquence qui se déroulera tout au long de l’année scolaire 2021-2022 – du 8 octobre 2021 au 25 juin 2022. 

Vous serez encadrés par une équipe composée d’avocats, de comédiens et de coachs qui vous accompagneront tout au long des épreuves pour vous mener vers la réussite. 

La finale aura lieu le samedi 25 juin 2022 dans un cadre festif et convivial.

Les prix seront remis aux gagnants, en fin de journée, par des personnalités du monde professionnel, lors du cocktail de clôture du concours.   Inscrivez-vous en nous adressant un e-mail (eloquence-concours@esassurances.com) et en nous faisant parvenir une lettre de motivation précisant les raisons de votre candidature à ce concours avant le 23 septembre 2021. Merci également de nous indiquer votre cursus et année d’études. 

Découvrez le teaser du concours

Venez nombreux ! L’équipe d’organisation du concours.

Le Jeudi 24 Juin dernier s’est tenue la première Table Ronde des « Bonnes Feuilles de l’Assurance » sur le thème du

« Cyber risque : les organisations dans l’écosystème de l’incertain » 

Si vous avez raté le live, pas de panique ! Vous pouvez revoir l’intégralité ci-dessous

Animée par Cécile Desjardins, journaliste et spécialiste en Risque, elle nous fait l’honneur de présider ce débat en compagnie de grands spécialistes :

– Philippe Collas, Consultant en études quantitatives, Enseignant-chercheur à l’ESA

– Léopold Larios de Pina, Head of Group Risk Management, Mazars

– Stéphane Nappo, Vice Président Global Chief Information Security Officer, Groupe SEB

– Cédric Lenoire, Analyste financier – pertes d’exploitation, Bessé

– François Saint-Cast, Enseignant-chercheur à l’ESA et l’IAE Gustave Eiffel. Fondateur de Diagnostic & Systems

– Maria Beatriz SALGADO, Directrice des Études et de la Recherche à l’ESA.

Contexte : Nous baignons, tous, dans l’écosystème digital. Rempli d’opportunités, il est aussi parcouru de nombreuses menaces. Le cyber risque est omniprésent dans nos vies professionnelles, personnelles tout en restant méconnu. Or, « l’incertitude est une méconnaissance », disait le mathématicien Jacques Bernoulli.


Avec nos 5 experts, le débat s’est porté sur :

Plusieurs pistes prometteuses parmi lesquelles ils citent le passage de la cybersécurité à la cyber-résilience ou le rôle d’assureur-préventionniste.

Si vous souhaitez suivre l’actualité des  » Bonnes Feuilles de l’Assurance et découvrir les prochaines publications, rendez-vous -> https://lesbonnesfeuillesdelassurance.org/

Contrairement à l’assurance décès, avec laquelle elle est parfois confondue, l’assurance vie est avant tout un produit d’épargne apprécié par les Français. En effet, elle est plus rémunératrice que les livrets d’épargne tels que le livret A ou le livret de développement durable et solidaire (LDDS) et bénéficie d’une fiscalité intéressante.

Où est investie l’épargne de l’assuré ?

Dans une assurance vie, le capital de l’assuré peut être investi dans deux grands types de supports : les fonds euros et les unités de compte (UC). Certains contrats permettent de n’investir que dans un seul type de support, d’autres imposent un pourcentage d’unités de compte. Le capital de l’assuré investi dans des fonds euros est garanti, mais le rendement est plus faible. Les unités de compte (actions, obligations, SCPI…) sont souvent plus rémunératrices à long terme, mais il existe un risque de perte en capital. Il n’est pas obligatoire de gérer soi-même l’allocation de son capital. La majorité des compagnies proposent une gestion pilotée.

L’atout principal : une fiscalité avantageuse

Il est impossible de transférer une assurance vie d’une compagnie d’assurance à une autre. En revanche, il est possible d’en ouvrir plusieurs. Contrairement aux idées reçues, l’argent placé dans une assurance vie reste liquide. Si on conseille généralement d’attendre huit ans avant d’effectuer des retraits (ou rachats), c’est pour bénéficier d’une fiscalité plus avantageuse. C’est également pour cette raison qu’il est intéressant d’ouvrir tôt une assurance vie, même sans l’alimenter régulièrement, dans le but de « prendre date ». Attention, un rachat total entraîne, lui, la fermeture de l’assurance vie. Enfin, si l’assurance vie n’est pas une assurance décès, c’est un bon moyen de transmettre de l’argent à ses bénéficiaires, là encore pour des raisons fiscales.

L’assurance vie est un produit intéressant, mais tous les contrats ne se valent pas. Il est nécessaire d’étudier les résultats sur plusieurs années pour les différents fonds, mais aussi d’être attentif aux différents frais (frais d’entrée, de gestion, d’arbitrage, etc.).

Longtemps resté l’apanage exclusif des banques, le contrat d’assurance de prêt est désormais ouvert à la concurrence. L’instauration de la Loi Lagarde en 2010 a autorisé en France les agences indépendantes, qui peuvent depuis lors elles aussi proposer des assurances aux particuliers. Et permettre à ces derniers de réaliser d’importantes économies.

La délégation d’assurance, un projet sur-mesure

Le principe de l’assurance emprunteur est de vous garantir contre les aléas de la vie, qu’ils soient d’ordre personnel ou professionnel. Elle est particulièrement pertinente si vous devez souscrire à un crédit immobilier.

Cependant, les contrats ne fonctionnent pas tout à fait de la même manière selon s’ils sont négociés auprès des banques ou bien des groupes indépendants. Dans le premier cas, comme les organismes bancaires sont de grandes structures gérant de nombreux comptes client, les contrats sont collectifs, à taux unique, et les risques ainsi répartis.

Mais pour ce qui est des compagnies indépendantes, les contrats sont personnalisés, et peuvent être ainsi adaptés à votre situation. En choisissant cette option, votre taux sera individualisé, et prendra en compte divers paramètres : votre santé et votre âge, mais aussi vos revenus et la stabilité de votre emploi.

Un avantage financier certain

Du fait de l’ouverture du marché des assurances, les groupes indépendants ont cherché à proposer des taux d’intérêt beaucoup plus attractifs que ceux des banques. Certaines agences avancent des pourcentages deux fois inférieurs, et vous incitent à signer un contrat chez elles. Quel que soit le type d’organisme que vous choisissez pour vous assurer, vous disposez des mêmes garanties.

Cette diminution du taux de l’assurance ne doit pas être négligée, même s’il peut sembler anecdotique de passer d’un contrat à 0,35% auprès d’une banque à 0,15% auprès d’une compagnie privée. Pour un crédit immobilier de 200 000 euros, et d’une durée de 20 ans ou plus, vous pouvez espérer économiser plus de 10 000 euros en choisissant un contrat indépendant plutôt qu’une offre émanant d’un organisme bancaire. De plus, vous pouvez utiliser les récents dispositifs légaux (Lois Hamon et Bourquin) pour changer de contrat d’assurance de prêt tous les ans, en respectant un délai de préavis réglementaire.

Vous êtes étudiant et souhaitez suivre une formation dans le domaine de la banque ou de l’assurance ? Vous seriez intéressé par le métier d’assureur ou de banquier d’affaires, mais vous ne connaissez pas vraiment la différence ? Ne vous inquiétez pas, nous allons tout vous expliquer.

Un assureur, qu’est-ce que c’est ?

L’assureur est une personne ou une société proposant des contrats de garantie couvrant les particuliers ou les entreprises en cas d’accidents de la vie ou d’imprévus. Ils garantissent le plus souvent une prise en charge financière ou une indemnisation suivant les modalités indiquées dans le contrat d’assurance. Le métier d’assureur regroupe plusieurs catégories d’emplois tels qu’agent général d’assurance, qui représente une compagnie d’assurance, ou courtier en assurances, qui représente son client devant les compagnies. Ce dernier est totalement indépendant des compagnies d’assurances. Le salaire d’un assureur est d’en moyenne 3215 euros net mensuels.

Un banquier d’affaires, qu’est-ce que c’est ?

Contrairement à un banquier classique, un banquier d’affaires ne gérera pas l’épargne et le crédit. Il travaille au sein d’une banque d’affaires, société de conseil agissant uniquement pour les entreprises. Son rôle consiste à conseiller et orienter les entreprises dans leurs opérations stratégiques et financières. Il les conseille notamment sur leur introduction en bourse, leurs opérations de fusions-acquisitions ou encore leurs émissions d’obligations. Le salaire d’un banquier d’affaires varie de 2500 à 5000 euros net mensuels mais peut grimper en flèche en fonction des primes ou commissions engrangées.

Vous l’aurez compris, assureur et banquier d’affaires sont 2 métiers totalement différents. Alors que le premier s’adresse aux entreprises et aux particuliers, le deuxième est destiné aux entreprises uniquement. Si vous souhaitez exercer l’un de ces 2 métiers, il existe des formations en alternance de bac+2 à bac+5. Vous avez maintenant toutes les cartes en main pour choisir lequel des deux vous conviendrait le mieux.

Les assurances permettent à une personne physique ou une personne morale (entreprise) de faire face à des sinistres qui portent préjudice à des biens matériels ou à des vies humaines. Elles permettent par exemple de couvrir un patrimoine, de se soigner ou de ne pas crouler sous des dettes. La question qui se pose souvent et à juste titre est de savoir qui donc assure les assurances elles-mêmes.

Pourquoi une maison d’assurance devrait-elle être assurée ?

L’assureur après la signature du contrat doit faire face à ses responsabilités contractuelles. Il a l’obligation d’indemniser les sinistres dans le cadre des garanties souscrites moyennant le paiement de la prime. Il a également le devoir de procéder à l’indemnisation des dommages qui ont été causés par les personnes qui se trouvent sous sa responsabilité.

Il peut arriver que malgré les nombreuses mesures de protection et de prévoyance mises en place pour la protection et la bonne prise en charge des assurés, la maison d’assurance ne parvienne pas à remplir sa part du contrat. Ces cas d’insolvabilité des compagnies d’assurance sont prévus et pris en charge par le secteur de la réassurance.

Que savoir de la notion de réassurance ?

La réassurance (encore appelée assurance secondaire) est un contrat qui est signé entre une maison d’assurance ou une entreprise spécialisée (réassureur ou concessionnaire). Le but de cet accord expliqué simplement est : « d’assurer les compagnies d’assurance ».

La réassurance permet d’aider les assureurs à indemniser les sinistres graves et à mutualiser la couverture des sinistres.

Les différents types de réassurance ?

Il existe deux types de réassurance. La première est dite facultative et la seconde est dite obligatoire.

Avec la réassurance facultative, l’assureur (selon les termes contractuels qui lui conviennent) donne au réassureur une proportion d’un risque dans une branche définie. Ce dernier est libre de l’accepter ou de ne pas le faire.

Dans le cadre d’une réassurance obligatoire, l’assureur prend l’engagement de céder tous les risques qui relèvent d’un secteur défini de l’assurance et le réassureur s’engage à les accepter.

Ce qu’il est primordial de retenir de cet article est relatif à la nécessité pour les grandes maisons d’assurances d’opter pour un réassureur compte tenu de l’extension considérable des risques et difficulté auxquelles elle pourrait faire face.

Courtier est un métier qui attire de plus en plus de jeunes. Il faut dire qu’il a la particularité d’être entre deux chaises : la banque, l’agence immobilière ou l’assureur et le client. Pour réussir dans cette profession, plusieurs qualités et compétences doivent être requises.

Avoir le sens de la négociation et de la communication

Le courtier est avant tout un négociateur avéré. Cette caractéristique demande la mobilisation de plusieurs étapes : la communication avec le client pour connaître ses besoins, entrer en contact avec les entreprises puis tenter de négocier le meilleur tarif possible. Le courtier doit donc avoir une certaine aisance à l’oral pour convaincre ses clients et ses partenaires. Toute sa crédibilité repose sur ce critère.

Être patient

Les négociations ne se font pas en quelques heures. Il faut parfois plusieurs mois pour arriver à décrocher ne serait-ce qu’une baisse de tarif ou l’introduction d’une clause dans un contrat. Il peut également être amené à faire des simulations et des devis dans des dizaines d’entreprises ou de banques différentes. Le courtier doit donc être patient et savoir garder son calme en toute circonstance. Paradoxalement, il doit aussi être rassurant auprès des clients pour prouver qu’il fait son boulot, mais que la négociation est lente.

Maîtriser un minimum l’anglais

Le courtier travaille avec des entreprises internationales et peut même parfois entrer sur les marchés internationaux. La langue utilisée dans ces situations est l’anglais. Le courtier ne doit pas obligatoirement être bilingue, mais il doit être en mesure de tenir une conversation et de comprendre le vocabulaire qui est en lien avec la négociation, l’immobilier, le monde de l’assurance ou le secteur bancaire.

Avoir des bases juridiques

Pour pouvoir mener la négociation d’une main de maître, le courtier doit avoir quelques notions juridiques en tête pour pencher la loi de son côté. Cet aspect est souvent évoqué dans les écoles qui préparent à cette fonction.

Le métier de courtier est intéressant puisqu’il mêle plusieurs compétences à la fois. Dans la vie d’un courtier, il n’y a pas de place pour l’ennui et la routine.

Secteur de l’assurance : les professions et les compétences

Le secteur de l’assurance est un secteur très vaste: il comprend l’assurance vie et santé (la protection des personnes, de l’épargne et du patrimoine, l’assurance maladie et invalidité et les assurances retraite et épargne, telles que les retraites complémentaires et complémentaires), l’assurance non-vie (comme par exemple les polices RCA, soit l’assurance auto), l’assurance des biens (comme l’assurance habitation) et bien plus encore.

La diffusion progressive de l’assurance s’est accompagnée d’une diversification parallèle des profils permettant de recevoir des informations, des conseils et de souscrire une couverture d’assurance. Les intermédiaires « historiques », agents et courtiers, sont désormais rejoints par de nombreux autres canaux, tels que :

Secteur de l’assurance : les tendances

Grâce à la digitalisation, l’assurance est dans une phase de profonde transformation et les compétences requises pour bien exercer ce type d’activité se modifient également. Des profils plus techniques ont fait leur apparition, comme le Risk Manager, l’expert en technologie Big Data ou blockchain.

L’insurtech (soit l’ensemble des technologies destinées au secteur de l’assurance) est d’ailleurs un domaine en pleine croissance. L’investissement dans les nouvelles technologies est et sera de plus en plus essentiel tant pour les agences que pour les entreprises (traditionnelles et en ligne) pour profiler automatiquement le client, proposer la couverture d’assurance la mieux adaptée à ses besoins de manière personnalisée, évaluer les risques et les remboursements en temps réel.

Un autre aspect qui se renouvelle grâce à la digitalisation de l’assurance concerne la relation avec les clients: les acheteurs souhaitent souscrire un contrat facilement, quand ils en ont besoin et pour le temps nécessaire (qu’il s’agisse d’une assurance vie, d’une voiture ou d’un produit financier) et avoir un support client efficace et toujours joignable et disponible. Le rôle des intermédiaires (courtiers, agents et sous-agents) sera toujours important, mais davantage centré sur le côté commercial et le conseil.

Secteur de l’assurance : les compétences et les qualifications

Le rôle de l’agent d’assurance est important et délicat, et il repose sur une relation de confiance avec les personnes qu’il assure: l’agent réalise une analyse des risques, trouve des solutions aux différents besoins d’assurance des clients (protection de la personne, du patrimoine, des activités, des actifs), identifie une couverture adéquate et offre des services de conseil dans le domaine contractuel, rendant la documentation bureaucratique et d’assurance claire et compréhensible.

Le secteur de l’assurance est très technique et articulé et des aptitudes et compétences spécifiques sont alors requises et notamment :

Avec l’émergence des banques en ligne et les solutions bancaires proposées par les agences d’assurance, le secteur de la banque est en perpétuel mouvement. Si vous avez décidé d’intégrer ce secteur d’activité extrêmement exigeant, sachez que travailler dans une banque demande des compétences techniques et comportementales. La voie de l’enseignement supérieur ou la formation professionnelle vous accompagnent dans votre projet de carrière.

Le brevet de technicien supérieur

Le BTS banque conseiller clientèle

Après un baccalauréat scientifique ou économique et social, préparez un BTS en deux ans et obtenez les compétences financières, juridiques, fiscales et comportementales qui vous permettront de défendre votre candidature lors de votre premier entretien professionnel.

Le BTS banque et assurance

Le brevet de technicien supérieur en assurance vous prépare aux techniques de gestion et aux techniques commerciales utilisées par les 340 banques présentes en France. Vous serez en capacité de prospecter une clientèle, d’analyser ses besoins et de gérer plusieurs contrats particuliers ou professionnels.

Les écoles supérieures

Les formations supplémentaires

Si l’intitulé du BTS est parlant tout comme sa formation, il ne garantit pas une embauche. Le minimum requis pour travailler dans une banque est le niveau licence. Alors, augmentez vos chances de travailler dans l’établissement bancaire de votre choix et formez-vous toujours et encore avec l’ESA, l’école supérieure d’assurances.

La formation professionnelle

Titulaire d’un baccalauréat général au minimum et après une carrière professionnelle significative dans un secteur d’activité complémentaire, préparez un BTS banque ou un BTS assurance en un an. Par la validation des acquis de l’expérience également, intégrez une banque sans passer le BTS. Plusieurs organismes vous renseignent et vous accompagnent dans vos démarches de VAE.

Avec plus de 35 000 agences en France dont les banques, nouvelles générations qui gagnent du terrain, ce secteur de la banque offre chaque année de belles opportunités d’emploi. Alors, mettez toutes les chances de votre côté avec L’ESA.

Être un bon agent d’assurance requiert non seulement des compétences spécifiques, qui peuvent être développées lors d’une formation approfondie, mais aussi certaines qualités humaines. Ce métier ne convient effectivement pas à tout type de profils. Laissez-nous vous présenter le profil idéal du bon agent d’assurance.

Les qualités d’un agent d’assurance

L’agent d’assurance a pour mission de distribuer les produits d’une société d’assurance. Il est un intermédiaire entre l’institution et le client, qu’il informe sur les différentes offres. Son rôle de conseiller est primordial.

Un bon agent doit posséder plusieurs qualités qui l’aideront à mieux comprendre les besoins et les attentes de la clientèle, afin d’y répondre de la meilleure manière possible :

Des compétences professionnelles sont nécessaires pour compléter le profil.

Les compétences d’un bon agent d’assurance

Adapter son discours en fonction de chaque interlocuteur demande d’avoir certaines compétences :

Les études pour devenir agent d’assurance

Si vous souhaitez devenir agent d’assurance, nous vous recommandons de vous renseigner sur les formations disponibles. Celles-ci vous permettront d’approfondir chacune des compétences énumérées ci-dessus, dans un cadre idéal pour l’apprentissage.

Adam CHENTOUF, étudiant en 1ère année du Manager de l’Assurance

Je me prénomme Adam Chentouf, j’ai actuellement 24 ans, après un Bac Littéraire, Un BTS en négociation et relation client et un Bachelor d’école de commerce. J’ai intégré le groupe ASSU 2000 en tant que gestionnaire de production en octobre 2019. Suite à ma volonté de reprendre mes études dans le cadre d’une Alternance, depuis septembre 2020, j’occupe le poste d’Assistant Chef de Produits au sein de la direction de l’offre tout en suivant le Master Manager de l’Assurance au sein de l’Ecole Supérieure d’Assurances.

Comme dit précédemment, j’ai intégré le Groupe ASSU 2000 dans le cadre d’un contrat à durée indéterminée en tant que gestionnaire de production, j’ai donc découvert le monde de l’assurance grâce au Groupe ASSU 2000 et j’y ai très vite pris goût. Voulant évoluer dans mes missions et finir mon parcours scolaire par l’obtention d’un Master Assurantielle, le Groupe ASSU 2000 a bien voulu m’accompagner dans cette démarche, tout en me permettant d’intégrer le service « Marketing Produit » au sein de la direction de l’offre ou je suis donc alternant depuis septembre 2020.

 

Au sein de la direction de l’offre,  en tant qu’Assistant Chef de produits, je ne suis pas en charge d’un seul produit, mais j’interviens au gré des besoins en soutien des différents Chefs de produits, mes missions sont donc assez variées :

–    Mener des analyses quantitatives et qualitatives sur la tendance du marché de l’assurance, celle de nos consommateurs et nos clients

–    Mettre en place des évolutions de garanties sur les différents produits commercialisés (Validation auprès de nos partenaires assureurs, gestion de projets entre les différents services concernés en interne)

–    Aider à la rédaction des différentes notes techniques (règle de gestion, fiches produits) et certains documents contractuels (IPID, devoir de conseil…)

–   Contrôle des livrables éditiques avant leur mise en production.

Au-delà du seul prisme de l’alternance, le Groupe ASSU 2000 m’a donné ma chance alors que je n’avais pas d’expérience dans le secteur assurantielle, m’a accompagné dans mon désir de changer de service et de métier au sein du groupe tout en reprenant des études au sein de l’ESA en Master, et me donne l’opportunité d’apprendre le métier de chef de produits, métier complexe, et pour cela je les en remercie.

L’alternance au sein du Groupe ASSU 2000 c’est aussi être responsabilisé dans ses missions et tâches, dans une véritable optique de montée en compétence. Les alternants ne sont pas vus comme de simples « étudiants » mais comme des collaborateurs à part entière.

Le président fondateur du Groupe ASSU 2000, Jacques Bouthier a les mots suivants au sujet de l’entreprise : « Une aventure collective où chacun peut se réaliser à la hauteur de ses ambitions »

Cette phrase fait écho en moi, le Groupe ASSU 2000 m’a donné à plusieurs reprises ma chance et a toujours réagi favorablement à mes demandes d’évolutions. Souhaitant faire partie de cette aventure collective sur le long terme, après la fin de mon alternance, j’envisage pour la suite de continuer l’aventure  au sein du groupe en tant que Chef de produits, dans la continuité de mon emploi actuel d’Assistant Chef de produits.

Nous tenons à remercier infiniment notre partenaire Groupe ASSU 2000 verseur de la taxe d’apprentissage au profit de l’ESA – Ecole Supérieure d’Assurances.

Depuis plus de 42 ans, notre école fait appel à des spécialistes en assurance et en banque en combinant des enseignements magistraux et des périodes en alternance. Au fil des années, l’ESA s‘est ainsi forgée sa réputation et c’est grâce à vous, grâce à nos partenaires, nos étudiants et nos Alumni.

Merci vivement de soutenir nos programmes pour permettre la perpétuation de cette politique d’excellence.

Nées il y a plus d’un siècle, les mutuelles œuvrent en matière sanitaire, sociale et solidaire. Le Code de la mutualité définit ce qu’est une mutuelle : une personne morale de droit privé dont le but est non lucratif (une mutuelle n’a pas pour vocation de réaliser des bénéfices, elle doit les redistribuer à ses associés ou mettre en place de nouvelles prestations ou de nouvelles garanties) et qui est financée par les cotisations de ses adhérents. Elle agit dans leur intérêt, mène une action de prévoyance, de solidarité et d’entraide et contribue au développement culturel, moral, intellectuel et physique de ses membres et à l’amélioration de leurs conditions de vie. Une mutuelle a un mode de gestion démocratique et participatif.

Les champs d’action des sociétés mutuelles

Ces organismes mutualistes dits « mutuelles de 1945 » ont principalement un rôle de complémentaire santé. Elles viennent en complément du régime de base de la sécurité sociale en santé (frais médicaux, optiques, dentaires, frais d’hospitalisation) et en prévoyance (capital décès, rente d’invalidité, complément aux indemnités journalières…). Dans la pratique, elles se doivent d’appliquer un principe de solidarité entre les membres. Elles ne doivent pas procéder à une sélection personnalisée des risques à l’adhésion ou mettre en place des conditions tarifaires personnalisées. Les mutuelles sont majoritaires sur le marché de l’assurance santé et représentent 50 % des cotisations collectées. Elles sont regroupées au sein de La Fédération nationale de la Mutualité française.

Les spécificités des sociétés d’assurances mutuelles (SAM)

Elles sont régies par le Code des assurances et peuvent commercialiser des assurances de biens et de personnes. Elles assurent les risques en mutualisant les cotisations de leurs sociétaires. Ces cotisations permettent de financer les indemnités à verser à ceux qui subissent des sinistres dans le domaine de l’assurance dommages (automobile, habitation, entreprise, responsabilité civile…). Elles proposent aussi de l’assurance-vie, de la prévoyance, des complémentaires retraite ou santé. Elles sont regroupées au sein de l’Association des Assureurs Mutualistes.

Vous venez d’être convoqué à un entretien de recrutement dans une compagnie d’assurance ? Félicitations ! Seulement, une fois l’euphorie passée, le stress commence à vous envahir et vous craignez de passer à côté du poste. Ne paniquez pas et lisez ces conseils qui vous aideront à réussir un entretien d’embauche en assurance !

Se renseigner sur la compagnie d’assurance

Rien n’est plus désagréable pour un recruteur que d’être face à un candidat qui n’a pas fait l’effort de se renseigner sur la compagnie d’assurance dans laquelle il postule. Montrez donc votre intérêt pour la structure : énoncez quelques dates historiques et les missions principales. Soyez également au fait du rôle que vous devrez jouer. Vous pouvez évoquer la gestion d’un portefeuille de clients, le suivi de dossiers ou encore la prospection. Cela semble évident, pourtant tout le monde n’y pense pas.

Rester fidèle à ses valeurs professionnelles

Oscar Wilde a dit : « Soyez vous-même, les autres sont déjà pris. » En vous faisant passer pour un autre, vous donnez l’occasion à vos interlocuteurs de vous piéger. Montrez votre motivation tout en restant vous-même. Les recruteurs apprécient la sincérité. Soyez à leur écoute et donnez des exemples de missions que vous avez réussies. N’hésitez pas à mettre en avant votre qualité d’écoute et votre sens de la satisfaction client.

Dédramatiser l’entretien de recrutement

Respirez, restez calme, réfléchissez avant de répondre et regardez bien vos interlocuteurs dans les yeux ! Enfin, prenez un peu de hauteur. Un entretien de recrutement n’est ni plus ni moins qu’une simple rencontre entre deux (ou plusieurs) personnes qui tentent d’évaluer la possibilité d’une collaboration. Vu sous cet angle, cela paraît beaucoup moins insurmontable, non ?

Gardez bien à l’esprit que si votre candidature a été retenue, c’est parce que votre CV intéresse l’employeur. Pour le reste, faites-vous confiance et vous mettrez ainsi toutes les chances de votre côté. À vous de jouer !

Se former aux métiers de l’assurance avec l’ESA

L’École supérieure des assurances a été fondée en 1980, et dispense des formations dans le domaine des banques, risques de la gestion de patrimoine et des assurances. Ce secteur des assurances et mutuelles annonce des recrutements massifs pour L’année 2021, aussi bien des CDI (10 000 postes) que des offres de stages (2000). Même si le numérique prend de plus en plus de place dans les entreprises, les grands groupes d’assureurs auront besoin d’un nombre croissant de gestionnaires de sinistres, chargés de clientèle ou data scientistes…

Se former

Pour être sûr de réussir son orientation professionnelle, il s’agit de confier son apprentissage à une école ou un organisme de formation reconnu. Avec l’ESA vous partez l’esprit tranquille, en effet cette école est reconnue par toute la profession ainsi que par le ministère de l’Economie et des Finances, ainsi qu’à l’étranger par la chambre de commerce et d’industrie de Londres…. En outre elle reçoit régulièrement prix et distinctions, rien que pour l’année 2021 elle est classée 5ème meilleur master management d’assurances par Eduniversal. C’est une école certifiée iso 9001 Veritas depuis 2011. L’ESA fait le choix du digital pour accompagner les entreprises 3.0 et intègre des cours de webmastering, data analyse, référencements, big data, cyber-risques etc.

Les admissions, cursus et débouchés

Les formations dispensées par l’ESA concernent un public allant du bac +2 à bac +5. Les cours s’effectuent, en alternance, en formation initiale et en formation professionnelle continue. Les candidatures se font par envoi de dossier, tests (QCM par mail) et entretien. Une fois inscrit, l’ESA aide à la recherche de stages. Les inscriptions débutent au mois de décembre et les cours commencent en septembre/octobre.

Les métiers de l’assurance offrent une grande variété de postes, allant du commercial au juridique en passant par les ressources humaines, c’est un secteur plein d’avenir et en perpétuelle mutation pour s’adapter aux nouveaux enjeux de notre monde.

Temps troublés ? Inquiétude sur l’avenir ? Il est déterminant de bien choisir le secteur d’activité professionnel dans lequel on souhaite s’engager… et la formation qui le précède.

Encore indécis ? Voici 5 raisons de choisir le secteur de l’assurance.

Engagement dans la relation client

Un des aspects sous-évalués de ce domaine souvent considéré comme essentiellement commercial est l’engagement de l’agent envers son client. À la signature d’un contrat d’assurance débute une relation de confiance dans laquelle ce métier trouve tout son sens. Même si l’indemnisation n’intervient pas toujours durant la période contractuelle, elle représente un moment fort et gratifiant.

Diversité des missions et des demandes

Produits, services, investissements, épargne, entreprises ou particuliers, le domaine de l’assurance est vaste. Du conseil à la prise en charge d »un sinistre, l’activité n’est jamais monotone.

Recrutement stable

Malgré le contexte mondial bouleversé, plus que jamais les acteurs de l’assurance ont été impliqués aux côtés de leurs clients et dans la prise en charge de leurs difficultés. Le monde a besoin d’assureurs et le recrutement s’en porte bien.

Féminisation du secteur

Cette raison ne parlera sans doute qu’à une partie d’entre vous… mais probablement la plus importante. Il n’est pas inutile de savoir qu’un peu plus de 60 % des postes dans le domaine de l’assurance sont tenus par des femmes, et que celles-ci y représentent environ 40 % de l’encadrement.

Opportunités d’évolution

Outre l’évolution interne, le secteur foisonne de partenaires et de concurrents et bénéficie d’un maillage géographique efficace.

La digitalisation du secteur, accélérée à cause, ou grâce à la crise sanitaire mondiale, a plus que jamais replacé la formation au centre du recrutement. Il est primordial, dans une vision à long terme de son engagement professionnel, de considérer celle-ci comme un investissement sur l’avenir et de la choisir judicieusement.

Le profil idéal du bon assureur

Malgré une forte demande, il serait erroné de croire que le métier d’assureur convient à tous. En effet, le bon assureur regroupe à la fois des savoirs professionnels variés mais également des qualités humaines spécifiques.

Des qualités intrinsèques au service du conseil

Indéniablement, l’assureur est avant tout l’intermédiaire, le contact entre l’institution et le client. À ce titre, il doit être en mesure de posséder des qualités humaines inhérentes à toutes activités de communication. À savoir: l’honnêteté en présentant toutes les facettes des services proposés (avantages/inconvénient). La transparence doit être de mise pour engager une relation de confiance.

Cependant, les qualités humaines recommandées seraient vaines si elles n’étaient pas agrémentées par des compétences professionnelles propres à l’assureur.

Des compétences techniques en synergies avec des qualités humaines

Trouver la formule, le conseil ou le discours adéquat nécessite en effet de venir greffer des compétences techniques poussées au profil du bon assureur. Nous entendons par cela: avoir une excellente connaissance des produits et services qui peuvent être proposés. En cela il sera à même de présenter de la meilleure des manières le produits adéquat et gagnera en crédibilité auprès du client.

Ce projet a été réalisé dans le cadre d’un projet d’entreprise d’étudiants du titre Manager de l’Assurance de l’ESA qui projettent de créer un Cabinet de conseil en risques émergents.

Dans le cadre du parcours du Master MA2 de l’ESA, chaque élève doit contribuer à la réalisation d’un projet d’entreprise afin de valider son diplôme.
Je suis inscrit en MA2 dans le cadre d’une reconversion et porteur d’un projet concret dit « STRARISK ». Il s’agit d’une création d’un cabinet de conseil en risques émergents avec une orientation à dominante RISQUE CLIMATIQUE.

Cette entreprise vise à apporter une contribution efficace aux efforts de la lutte contre le changement climatique sous forme de conseil. La gestion du risque climatique et l’anticipation de ses impacts sur nos écosystèmes et nos économies seront au cœur des activités de STRARISK.

Nous nous sommes organisés en groupe de trois élèves dont je suis le coordinateur.

Ce projet que nous menons en groupe dans le cadre de notre Master MA2 est décliné en trois grandes parties :
    – Une étude (business plan, plan financier prévisionnel, etc.)
    – Un événement d’entreprise : édition d’un journal STRARISK
    – Un site internet : www.strarisk.com

Le premier numéro de ce journal est dédié au Risque/changement climatique et ses impacts.
Dans un souci de présenter un bon contenu, nous avons ciblé et sollicité des spécialistes reconnus dans ce domaine pour une contribution par un article traitant un thème lié au risque climatique (la société EAU DE PARIS, le centre de recherche appliquée MAYANE, la société Suisse RMS, etc.)

Nous avons le plaisir, Mesdames, Messieurs, de vous faire suivre ce premier numéro, en pièce jointe, pour une publication sur le site internet de notre école ESA.

Par ce projet, nous espérons pouvoir apporter une contribution si mini soit-elle à la sensibilisation des futurs acteurs économiques (élèves) à l’importance de considérer les risques liés aux dérèglements climatiques dans leurs activités, quelque soit le secteur visé : banque, assurance, entreprises, collectivités.

Lire le premier numéro du journal

En agence ou au siège, de la relation client à l’analyse de données, les métiers de l’assurance sont nombreux et variés. Découvrez aujourd’hui les différents postes que l’on peut occuper au sein d’une assurance !

Les métiers de la vente et la relation client

En lien direct avec le client, ces métiers sont faits pour vous si vous avez un bon relationnel, que vous êtes empathique pour comprendre les besoins du client et lui vendre les produits qui lui correspondent le mieux.

Les chargés de clientèle et les conseillers en assurance prennent en charge la négociation et la conclusion de la vente de contrats puis le suivi des clients auxquels ils ont vendu les contrats. La différence entre ces deux postes est que le conseiller en assurance effectue également de la prospection.

Ils peuvent évoluer au poste d’agent général ou de courtier d’assurance qui proposent les garanties nécessaires, le suivi des clients et le changement de garanties si besoin et accompagnent le client de la signature du contrat au dédommagement. Contrairement à l’agent qui travaille pour l’assurance, le courtier est indépendant et peut distribuer des produits d’une ou plusieurs assurances.

Enfin, l’inspecteur commercial est le manager des équipes d’agents ou de conseillers en assurance. Il met en place les stratégies de ventes et les objectifs et suit les résultats de son équipe.

Les métiers d’analyse et de conception

Vous aimez les chiffres ou vous êtes orientés sur la création et l’amélioration du produit ? Nous avons également une sélection de postes à vous présenter !

Il faut bien élaborer les produits d’assurance, fixer les règles et les barèmes de tarification de façon à ce que ce soit rentable. C’est le métier de l’actuaire, qui transmet les nouvelles informations au souscripteur une fois qu’il a établi les contrats d’assurance. Ce dernier analyse le risque et fixe les conditions de garanties, de prix et de contrat puis les communique à son portefeuille d’affaires.

Sur le terrain, l’expert d’assurance effectue les diagnostics avant la souscription pour estimer la valeur des biens à garantir et après un sinistre pour estimer le montant du bien ou préjudice. Dans ce dernier cas, les informations sont transmises au chargé d’indemnisation qui vérifie si les garanties sont applicables à la situation puis, le cas échéant, détermine les responsabilités avant d’évaluer le montant du dommage ou préjudice, basé sur l’expertise. En cas de contentieux juridique, le chargé d’indemnisation prend en charge toutes les tâches liées à celui-ci.

Enfin, des métiers plus classiques du marketing, du service client et des systèmes informatiques et réseaux occupent une place fondamentale du secteur de l’assurance.

L’assurance est un secteur qui permet de s’orienter vers une variété de métiers. Trouvez maintenant votre formation chez l’ESA !

Que fait un courtier d’assurance ?

Les courtiers en assurance assurent la liaison entre les clients et les compagnies d’assurance, en conseillant au client la meilleure offre de couverture d’assurance pour un risque donné. Les responsabilités du poste varient en fonction de la taille et du type d’employeur : les petites entreprises offrent moins de possibilités et de spécialisation que les grandes. Vous pouvez travailler dans le secteur de l’assurance de détail, en fournissant une couverture générale dans des domaines tels que l’assurance des biens, des voyages, des véhicules à moteur et des animaux de compagnie, ou dans le secteur de l’assurance commerciale, en vous occupant de domaines plus complexes et de grande valeur tels que la marine, l’aviation ou le pétrole et le gaz. Les tâches typiques d’un courtier comprennent donc l’entretien d’une relation commerciale avec des clients, mais aussi la recherche de polices d’assurance, la collecte des primes (ce que le client verse pour couvrir son risque), la tenue de registres informatiques, etc.

Qualifications et formation requises

Il existe plusieurs voies d’accès à une carrière de courtier en assurances, tant pour les diplômés universitaires que pour les jeunes en fin de scolarité. Pour les diplômés, les écoles d’assurance et les diplômes en commerce/gestion sont à privilégier. Avoir un diplôme signifie que vous avez la possibilité de rejoindre le process d’une grande société de courtage en assurances. Des qualifications de troisième cycle en assurance et en gestion des risques peuvent être avantageuses. N’hésitez pas à consulter nos formations sur notre site.

Les jeunes qui sortent de l’école sont engagés comme stagiaires dans des rôles de techniciens d’assurance ou de courtiers stagiaires et gravissent les échelons en acquérant des qualifications et une expérience dans le domaine des assurances. Certaines entreprises proposent également des stages d’apprentissage dans le domaine de l’assurance.

Une expérience pertinente dans le domaine de la banque et/ou de l’assurance, acquise dans le cadre de stages et d’expériences professionnelles, peut être utile.

Compétences requises dans le métier de courtier

Sont importantes, pour mener à bien la profession de courtier en assurance, des qualités de fiabilité et d’honnêteté afin de mériter la confiance du client, la capacité à bien gérer son temps, la rigueur dans la connaissance des produits d’assurance et des contrats et d’excellentes aptitudes à communiquer.

Le management est une étape essentielle pour le développement d’une entreprise. Les métiers du management se retrouvent donc dans de nombreux domaines : le commerce, la finance, la communication, la restauration, le sport, l’édition, la mode, la santé ou encore le spectacle. Ces emplois ont des fonctions d’encadrement, de management et d’organisation de projets dans de nombreux secteurs. Pour exercer ce type de métier, il est nécessaire de connaître certains aspects du monde de l’entreprise.

Quelles sont les fonctions des métiers du management ?

Un bon manager a pour fonction de diriger un projet au sein d’une entreprise. Son but est l’élaboration de stratégies de développement, de transformation, d’adaptation ou de conduite au changement. Selon l’établissement dans lequel il exerce, un manager doit piloter, organiser, déléguer, animer, diriger et contrôler. Il fixe des objectifs, répartit les tâches et prend des décisions. Ensuite, il contrôle les résultats en vue d’atteindre les ambitions fixées par la direction. Il organise le travail des équipes et peut diriger une ou plusieurs personnes.

Comment accède-t-on aux métiers du management ?

Généralement, il est nécessaire d’obtenir un bac +5 pour pouvoir prétendre aux métiers du management. Un master ou un diplôme dans une école de commerce et quelques années d’expérience dans le secteur concerné seront demandés. Un bac +3 est possible, mais il est nécessaire que ce soit dans le domaine de la gestion. Dans ce cas, ce sera pour être assistant de management, mais il peut-être possible de grimper les échelons par la suite.

Voici quelques exemples parmi nos formations :

Quelles sont les qualités requises pour être un bon manager ?

Pour être un bon manager, des qualités de savoir-être et de savoir-faire sont nécessaires. Dans un premier temps, il est nécessaire d’être organisé et de maîtriser les techniques du management. Le potentiel manager doit posséder un savoir-faire efficace face au pilotage de missions et au management de projet. Ensuite, il doit maîtriser la relation client, savoir animer une équipe, savoir prospecter et négocier avec les éventuels clients. Une pratique d’une ou plusieurs langues étrangères peut être un plus. Ses connaissances en gestion d’entreprise doivent être satisfaisantes, ainsi que dans le secteur dans lequel il exerce : commerce, finance, sport ou communication. Le manager doit avant tout être un bon communicant et entretenir un bon relationnel avec les autres. Son activité s’exerce la plupart du temps en entreprise, mais aussi chez les clients. Il travaille avec les responsables du projet ou la direction de l’entreprise. Avec le temps, il pourra accéder à d’autres types de postes comme responsable de projet ou directeur d’une entreprise.

Les métiers du management sont très vastes, car ils existent dans de nombreux secteurs d’activités. Néanmoins, pour exercer ce type d’emploi, il est nécessaire d’avoir un bac +5 en management dans le secteur visé. Ses fonctions sont très importantes au sein de l’entreprise dans laquelle il exerce, car il dirige des projets et une équipe. De plus, les perspectives d’évolution sont nombreuses.

Assureur, quel salaire pouvez-vous espérer?

Il est couramment admis que le métier d’assureur est et restera un métier d’avenir. Les évolutions de la société demandent un renouvellement permanent des offres et de nouveaux sinistres à gérer. En ce sens, le métier d’assureur conserve généralement des niveaux de salaires plus que confortables.

Zoom sur le marché de l’assurance

Particulièrement dynamique, le marché de l’assurance bénéficie de conditions optimales qui pérennisent son activité. Il est important de souligner que la souscription d’une assurance est une obligation légale en France. Au niveau sociodémographique, la croissance et le vieillissement de la population créent de nouveaux besoins et ouvrent la voie à de nouveaux marchés. Dans le même sens, le changement climatique ou l’émergence des nouvelles technologies ont les mêmes effets sur la demande générale en assurance. Par conséquent, partir à la conquête de ces marchés entraîne une hausse des besoins en personnels qualifiés.

Les répercussions sur les salaires

En effet, l’assurance est un secteur des plus attractifs en termes de salaire. Les chiffres dernièrement recensés font état d’un salaire moyen pour un assureur de 3215 € net par mois (soit 4430€ brut!). À titre d’exemple, c’est 1000€ de plus que la moyenne française qui émarge à 2157€ net par mois. Pour un débutant, les grilles de salaires démarrent vers 20000€ par an. Mais après 2 ans d’expérience, on enregistre des hausses de revenu de l’ordre 5 à 30 %.

Des spécialités très, très bien rémunérées!

Nous l’avons indiqué plus haut, le marché de l’assurance subit de profonds changements. À ce titre, certaines fonctions sont encore plus recherchées que d’autres. Les commerciaux, actuaires et souscripteurs, de par leurs connaissances techniques bien spécifiques profitent en premier lieu, de la pénurie de compétences dans le secteur. Et si vous vous donnez en plus les moyens d’obtenir les 3 casquettes à la fois, sachez que votre revenu progressera en conséquence. On parle de niveau de salaire allant jusqu’à 100 000€ brut par mois!

Thématique au cœur de l’actualité depuis de nombreuses années et aux fondements du métier de l’assureur, la notion de risques est l’un des enjeux majeurs que nous enseignons au sein de nos formations.

Nous souhaitons doter nos étudiants des meilleurs atouts dans le contexte actuel de crises multiples et de mise-en-place de réglementations qui ne cessent d’évoluer. Nous savons qu’il est essentiel que nos étudiants maîtrisent parfaitement la culture du « risque de crédit » et qu’ils sachent apporter des solutions adéquates à chaque situation.

Les risques de crédit pour l’assureur

Le risque de crédit correspondant à l’incapacité de l’emprunteur à tenir ses engagements peut prendre deux formes :

– Risque de défaut : le débiteur ne peut honorer ses engagements financiers envers son créditeur,

– Risque de spread : l’emprunteur est perçu par le marché à risque. La probabilité de défaut augmente. Dans ce cas, le défaut correspond à une incertitude.

La pérennité des revenus garantis par la limitation des risques notamment de crédit, permet à l’assureur d’effectuer correctement son métier à savoir garantir un dédommagement de ses assurés en cas de sinistre.

Sécuriser des revenus stables

La crise financière de 2007-2010 a démontré le caractère extrêmement évolutif du risque de crédit, illustrant ainsi la nécessaire diversification des investissements afin de garantir aux compagnies d’assurance des revenus stables dans le temps. Cette crise a également bousculé certaines idées reçues qui consistaient à considérer certains investissements précis sans risque. Ainsi le métier d’assureur est en constante évolution et doit s’adapter tant aux contraintes législatives qu’aux bouleversements conjoncturels.

Un nécessaire « Risk Management »

Afin d’anticiper au mieux les risques de crédits et de répondre aux exigences réglementaires, l’analyse de risque, appelée communément « risk management », est partie intégrante du métier de l’assureur et doit précéder tout arbitrage. Cette analyse doit permettre d’identifier, de gérer et de piloter les risques de crédit au sein d’une organisation.

Cette gestion du risque de crédit doit se faire tout au long de l’investissement et implique une collaboration des équipes chargées de l’investissement et du « risk management ». Elle fait partie intégrante des métiers de l’assurance actuellement.

L’École Supérieure d’Assurances vous permet de faire en meme temps dans le cadre d’un contrat d’apprentissage :

Cliquer ici pour en savoir plus sur la formation


Cliquer ici pour en savoir plus sur la formation

En 2019, le secteur des assurances comptait près de 150 000 salariés* partout en France et représentait plus de 16 000 embauches. Sur cet ensemble 93,5% concernent des salariés en CDI et impliquent 87% de contrats à temps plein. En d’autres termes, il s’agit d’un des domaines les plus fiables dans le recrutement et la sécurité de l’emploi sur le marché actuel du travail. S’il est accessible à tous, il convient néanmoins d’observer un parcours méthodique et ciblé pour réussir à y travailler.

Définir votre objectif professionnel

La santé, l’automobile, le patrimoine financier ou immobilier… Les assurances interagissent dans tous les aspects du quotidien et se divisent en trois catégories distinctes : le secteur commercial, la gestion et enfin l’élaboration de concepts. Ainsi, que vous visiez le métier de courtier, d’expert ou de chargé d’étude marketing, il est important de vous connaître afin d’évoluer sereinement dans l’une de ces trois sphères. La liste des métiers de l’assurance est large et variée, n’hésitez pas à approfondir vos recherches pour déterminer votre futur emploi.

Le niveau d’étude

Vous avez défini votre projet ? Très bien ! Reste maintenant à connaître les bagages nécessaires pour y parvenir. Sur l’ensemble du secteur, un tiers des salariés détiennent un Bac +2. Bac +2 étant dans sa globalité le niveau d’étude minimal attendu par les recruteurs. Négliger cet aspect s’avérerait un frein dans l’atteinte de votre objectif et d’autant plus dommageable lorsqu’il s’agit de postes à hautes responsabilités et technicités où un Bac +5 sera obligatoire. Si vous êtes motivé-e et assoiffé-e de savoirs, tout est possible !

Comment se former ?

Bien entendu vous pouvez suivre un parcours de formation classique par le biais des écoles spécifiques telle que l’ESA (École Supérieure d’Assurances) par exemple. Elles seront à même de vous accompagner et de vous faire bénéficier de formations en ligne! Réfléchissez également à vous orienter vers des études en alternance. D’une part pour allier théorie et expérience sur le terrain, mais aussi parce que près de 70% des alternants y sont contractualisés. Par ailleurs, si vous êtes déjà actif dans ce domaine, peut-être serait-il temps de mettre en valeur votre expérience par le biais d’une V.A.E (Validation des Acquis de l’Expérience).

Vers quelles plateformes d’emplois s’orienter ?

Diplôme en poche, mais sans structure d’accueil, vous vous tournerez certainement vers pôle emploi pour commencer vos recherches. Le site dénombre près de 6 000 offres d’emploi à l’activité des assurances. Mais n’oubliez pas que des plateformes dédiées sont aussi accessibles. Parmi d’autres, jetez un œil sur le site Emploi-assurance.com ou Assurancejob.com. Peut-être trouverez-vous votre bonheur ! N’oubliez pas non plus que notre école ESA Assurance peut vous aider à trouver votre premier poste en sortie d’école.

Si les métiers de l’assurance vous intéressent, vous pouvez constater que toutes les portes sont ouvertes à votre réussite. Quels que soient le niveau de connaissances et le poste que vous souhaitez atteindre, vous ne trouverez aucune barrière pour y accéder. N’attendez plus ! Faites le premier pas !

*L’ensemble des chiffres cités sont issus du site https://www.ffa-assurance.fr

Les risques sont intrinsèquement liés aux activités de tous les établissements bancaires. Ces dangers, qui sont diversifiés, peuvent impacter gravement l’équilibre économique et les différentes offres d’une banque. Ils doivent donc être anticipés, à court et à long terme, et faire l’objet d’une gestion efficace afin de permettre aux institutions financières de préserver leurs performances.

Plusieurs catégories de risques financiers

Les catégories de risques financiers gérées par les établissements bancaires sont les suivantes :

– Les risques liés aux prêts (pertes financières dues à l’incapacité des emprunteurs à rembourser leurs prêts).

– Les risques de marché (placements défavorables, baisses des actions…).

– Les risques de liquidité (la banque ne peut plus honorer ses échéances de trésorerie).

– Les risques de contrepartie (clients ne pouvant plus honorer leurs paiements).

– Les risques opérationnels (procédures erronées, inadvertances humaines, aléas externes…).

– Les risques de financement (la banque ne peut plus procéder au financement du développement de ses activités).

– Les risques systématiques (établissement bancaire en faillite qui entraîne dans sa chute ses concurrents).

– Les risques de modèle (ces risques concernent justement les estimations erronées de risques bancaires).

– Les risques nationaux (ceux-ci concernent une dégradation de la situation politique ou économique d’un pays).

Gestion des risques

La gestion des risques bancaires est réalisée par des experts formés et diplômés qui, après estimation de ces mêmes risques, effectuent les placements les plus avantageux possible.

De leur côté, les établissements bancaires doivent se conformer à des normes sécurisantes telles que celles des Accords de Bâle. Ils doivent également vérifier rigoureusement les situations économiques et les capacités de remboursement des emprunteurs afin d’accorder des crédits comportant le moins de risques possible pour les deux parties.

Toutes les banques ne gèrent cependant pas les risques de la même manière. Certaines mettent par exemple en place des programmes ciblés comportant de multiples procédures de vérification des risques. Ces programmes prennent notamment la forme de formations spéciales s’adressant à tous les salariés de l’établissement concerné.

L’inspecteur commercial en assurance est un employé d’assurance qui est responsable de toute une équipe d’agents généraux d’assurance ou de conseillers en assurance. Nous allons donc définir leur rôle et les moyens d’accéder à ce poste.

Qu’est-ce que le métier d’inspecteur commercial en assurance ?

Un inspecteur commercial en assurance doit donc gérer son équipe pour prendre en charge la gestion et le développement d’un portefeuille de clients et de prospects. Il permet donc d’augmenter les revenus de son entreprise tout en lui permettant de se développer. Il doit donc être aussi bien capable de travailler sur le terrain que de mener son équipe. Parmi ses principales tâches, il doit donc apporter un soutien technique et logistique à son équipe, mais, aussi, établir une stratégie de vente efficace. Généralement, c’est également le responsable du recrutement de sa nouvelle équipe.

Comment devenir inspecteur commercial en assurance ?

Pour pouvoir exercer comme inspecteur commercial en assurance, vous devez absolument disposer d’un diplôme de niveau bac+3. Ce dernier peut aussi bien être dans les secteurs commerciaux que juridiques. En outre, vous trouverez plus facilement un poste en disposant d’une expérience de plusieurs années dans la gestion d’une équipe. Si vous passez par l’université, vous pouvez passer une licence professionnelle de conseiller, souscripteur et gestionnaire en assurance. Toutefois, vous pouvez préférer passer un diplôme de niveau bac+5, ce qui vous permettra notamment de monter plus rapidement dans la hiérarchie. Si c’est le cas, vous pouvez opter pour un master dans le secteur de l’immobilier, par exemple le master de droit dans l’immobilier. Toutefois, il vous est également possible de passer par l’ENASS, l’école nationale d’assurances, qui vous permettra d’obtenir un diplôme de niveau bac+5.

En conclusion

Capable de gérer toute une équipe composée de conseillers en assurance ou d’agents généraux d’assurance, un inspecteur commercial en assurance s’occupe de la prise en charge de tout un portefeuille de clients ou de prospects. Il est donc responsable d’apporter une source de revenus à son entreprise. Pour exercer ce métier, vous devez disposer d’un diplôme de niveau bac+3, mais il existe également de nombreuses formations de niveau bac+5.

Le 100 % Santé est un dispositif qui permet, depuis le 1er janvier 2021, de bénéficier d’une prise en charge intégrale des soins médicaux après leur remboursement par l’Assurance Maladie et les mutuelles.

Le 100 % Santé : comment ça marche ?

L’offre 100 % Santé s’adresse à tout individu qui est couvert par un contrat responsable de mutuelle. Ce type de contrat est dit « responsable », car il comporte des seuils de garantie, tout en encourageant les assurés à observer respectueusement le parcours des soins.

Trois types de soins sont concernés par le 100% santé : les prothèses dentaires, les prothèses auditives et les lunettes de vue.

Les soins dentaires éligibles

Depuis le début de l’année 2021, le dispositif 100 % Santé comprend d’autres soins et équipements dentaires tels que : les dentiers non intégraux et intégraux en résine, ainsi que les actes visant à réparer ou à changer certains éléments inhérents à ces dentiers.

Les prothèses auditives éligibles

À partir du 1er janvier 2021, tous les audioprothésistes français sont dans l’obligation de fournir des devis incluant au minimum une offre 100 % Santé couvrant les prothèses auditives de leurs patients. Les prothèses éligibles au dispositif peuvent : comporter douze canaux de réglage, être intra-auriculaires, dotés d’un écouteur déporté, se fixer sur les contours de l’oreille et bénéficier de plusieurs fonctions (suppression des acouphènes, réduction des bruits du vent…).

Les lunettes de vue éligibles

Depuis l’année dernière, les opticiens incluent dans leur offre 100 % Santé plusieurs montures, ainsi que des verres qualitatifs. Cette offre doit comprendre au minimum 17 modèles de montures destinés aux adultes et 10 modèles déclinés en deux teintes pour les mineurs âgés de moins de 18 ans. Quant aux verres, ceux-ci doivent corriger efficacement tous les problèmes de vue et répondre à un cahier des charges technique (les verres doivent, par exemple, être amincis).

Tous ces produits bénéficient d’un remboursement intégral si le client est assuré via un contrat de mutuelle responsable.

Depuis 1980, l’École Supérieure d’Assurance (ESA) forme chaque année des centaines d’étudiants et de nombreux professionnels grâce à des formations en alternance, à distance, ou continues. L’objectif ? Mettre en place des programmes innovants face aux nouveaux enjeux du monde du travail pour former les professionnels de demain.

Cliquez ici pour découvrir la vidéo et l’article en question : https://www.bfmtv.com/economie/professionnels/ecole-superieure-d-assurance-des-formations-innovantes-tournees-vers-l-avenir_AO-202102100001.html

Le marché de l’assurance est un domaine actif et en pleine expansion dans le monde. En France, le secteur prend une place importante. Il a vécu également de nombreux changements au cours du temps et surtout avec l’arrivée du numérique.

Mais qu’en est-il de l’embauche ?

En 2019, l’effectif s’élevait à 147 600 salariés, soit une augmentation de 0,10% comparé à l’année précédente. Les places se libèrent grâce à l’augmentation des départs: +10% par rapport à 2018 (dont 11% des effectifs soit 16 230 personnes).

Le domaine est également adapté pour les personnes à mobilité réduite. Parmi ces chiffres, il y a 4,5% de salariés handicapés.

Le secteur se féminise avec un taux de femmes atteignant 60,8% contre 39,2% d’hommes.

Du côté de l’alternance, on dénombre 5 590 alternants qui concluent sur 3 821 embauches.

La part des CDI reste croissante avec 56,7% (soit +3,9 pts).

La proportion des détenteurs de Bac+5 se stabilise tandis que celles des Bac+3 et Bac+2 diminuent au profit des inférieurs au Bac.

Les postes de cadres se sont accrus ces dix dernières années allant de 45% en 2009 contre 51% en 2019. L’augmentation est progressive selon la classe.

La moyenne d’âge du secteur est passée de 30,9 ans à 31,2 ans à cause d’un turnover accru.

Les entreprises, quant à elles, sont à la recherche de soft skills (intelligence relationnelle et émotionnelle) en dépit des hard skills (compétences techniques apprises à l’école) .

Quant à la formation ?

En ce qui concerne l’accès à la formation, 9 salariés sur 10 y ont eu le droit en 2019. Grâce au numérique, cet accès est plus facile avec les formations ouvertes ou à distance (FOAD). Il y a 73% des salariés formés avec une durée moyenne de 30,5 heures.

Concernant la crise du covid de 2020, le panel des assureurs affirme que les impacts vont être appréhendés et gérés comme il se doit.

Pour finir, le secteur de l’assurance se porte bien de par sa diversité et son expansion dans le paysage économique mondial.

Les démarches de la catastrophe naturelle

Personne n’est à l’abri d’une catastrophe naturelle. C’est pour cette raison qu’il vaut mieux s’y préparer en mettant en place une stratégie d’alerte et de communication. Cela permettra de gérer la crise de façon efficace.

Type de catastrophes naturelles :

Avalanche,

Tremblements de terre,

Glissement de terrain,

Inondation,

Sécheresse…

Quelles démarches effectuer ?

La déclaration du sinistre peut être sous forme de lettre recommandée avec accusé de réception ou en se rendant directement à l’agence de l’assureur en demandant un récépissé. Le contenu de la déclaration doit être clair afin que l’assureur comprenne la situation. Il faut aussi fournir un état des dommages avec justifications comme des factures ou des photos.

Quel délai pour déclarer ?

Elle doit être faite dès la connaissance du sinistre et au plus tard dans un délai de 5 jours qui débute à partir du lendemain du sinistre.

Et l’indemnisation, dans tout ça ?

Le délai de l’indemnisation peut être propre à chaque assureur. Le contrat d’assurance le fixe dans tous les cas. Elle doit néanmoins être versée dans les 3 mois de la remise de l’état des pertes à l’assureur. Il y a également une provision sur indemnités à verser dans les 2 mois.

La reconnaissance de la catastrophe naturelle ?

Il convient de se renseigner en lisant le journal officiel afin d’être sûr que le sinistre est bel et bien reconnu en tant que catastrophe naturelle. Il est également possible de se rapprocher des services de la mairie pour plus d’informations. Ou encore de se renseigner grâce au voisinage ou à la presse locale.

Le Maire a également un rôle à tenir : il doit informer son personnel de demander la reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle. Les administrés victimes peuvent aussi se manifester pour débuter une procédure de reconnaissance de la catastrophe.

Cette démarche permet d’être indemnisé par l’assureur pour des situations qui auraient pu être exclues du contrat.

Le rôle de l’assureur ?

Il accompagne le client dans sa démarche et s’occupe de son dossier afin qu’il puisse recevoir son indemnisation.

L’assurance étant perçue comme un mal nécessaire, il est plutôt difficile d’être un assureur populaire. En ces temps de crise sanitaire, la communication est encore plus délicate. Comment bien communiquer pour les assureurs en période de pandémie ? Décryptage.

Créer une équipe de communication dédiée

Les spécialistes de la gestion de crise s’accordent à dire qu’il faut communiquer tôt et régulièrement, de façon honnête et empathique, au cours d’une crise. Faire preuve de transparence est toujours la meilleure option : expliquer ce que l’on sait et ce que l’on ignore. Ainsi, il est recommandé de créer une équipe restreinte de communication qui se réunira souvent pour suivre l’évolution de la situation et qui sera la principale source d’information et de communication. Elle aura pour rôle d’apporter des mises à jour régulières et devra s’exprimer de façon claire et transparente. On évite la cacophonie et les messages contradictoires qui font perdre en crédibilité et altèrent la confiance des clients ! L’unité est importante, car comment comprendre par exemple que certaines compagnies d’assurances accordent des ristournes sur les cotisations auto, et pas d’autres ?

Proposer des solutions, pas des produits

En temps de crise, il est primordial pour une marque de se concentrer sur ce qui est important pour les clients et de proposer des solutions (et non pas de vendre des produits). Il convient certainement de repenser ou de différer sa stratégie publicitaire. L’exercice demande de la pédagogie et de l’empathie. Commencer par expliquer que le “risque épidémique » est exclu de la plupart des contrats d’assurance n’est pas la meilleure idée ! Prudence aussi avec les réseaux sociaux : en ces temps de confinement propices à l’inquiétude et à la morosité, les réactions sont exacerbées. Un message mal interprété et c’est le retour de flamme garanti ! Pas facile dans ce contexte de médiatiser ses engagements…

Répondre présent

Pour les assureurs, la crise sanitaire actuelle doit constituer un appel à l’action. On pourrait le résumer par : agir d’abord, trouver le moment opportun et l’axe de communication adéquat après.

L’ensemble de la profession s’est ainsi engagé à soutenir l’effort national en contribuant au fonds de solidarité destiné aux entreprises en difficulté et à mettre en œuvre des gestes commerciaux envers les assurés (réductions tarifaires, extensions de garanties, etc.). Les assureurs se sont également engagés à réfléchir à la mise en place d’un régime d’assurance des pandémies. Ils demeurent les plus gros financeurs de la relance économique, après l’État.

Ces dernières années, il y a eu une indéniable féminisation du secteur de l’assurance. Pourtant, la parité semble encore assez lointaine.

Des mesures prises pour la parité femmes-hommes

Il y a une volonté de respecter la parité des sexes dans les entreprises. Certains groupes tels que Axa ou Allianz mettent en place des programmes pour le développement des carrières des femmes.

D’autre part, les assurances doivent publier leur index public de mesure de l’égalité homme-femme. Le Ministère du Travail a endurci cette règle depuis deux ans. Les entreprises concernées sont :

L’évolution montre une intention de changer la situation. Si les critères ne sont pas remplis d’ici 2023, les entreprises auront des pénalités financières.

Toutefois, les entreprises restent incapables d’établir des échéances. Selon une enquête menée par l’Argus de l’assurance, ces règles ne sont pas toujours respectées. Cela met en évidence une marge de progression en termes de parité dans le secteur de l’assurance.

Des inégalités encore marquées

Les femmes représentent environ 60% de l’effectif global des métiers de l’assurance. En dépit de la féminisation du milieu, elle ne concerne pas tous les niveaux hiérarchiques. La répartition des postes à haute responsabilité demeure déséquilibrée.

Le ROMA de 2019 fournit des chiffres qui dénoncent une disparité encore marquée. 31,5% des postes de direction sont tenus par des femmes et le taux des femmes cadres est de 0,84. Les chiffres montrent une évolution positive mais qui reste loin des objectifs.

Aussi, l’écart salarial entre les hommes et les femmes est encore important dans l’ensemble des secteurs du travail. Il est encore plus marqué dans l’assurance.

Conclusion

Malgré des mesures adoptées, la parité n’est pas encore atteinte. L’évolution est positive mais il reste du chemin à faire.

Il y avait peu de chance qu’une pandémie de l’ampleur de la Covid-19 se produise. Elle est considérée comme un risque de la modernité selon Beck. En effet, une telle pandémie d’envergure mondiale ne se produit qu’une fois tous les 500 ans. Ainsi, il n’est pas étonnant que les experts en gestion des risques n’aient pas été préparés pour la Covid-19.

La pandémie du coronavirus était-elle prévisible ?

Une entreprise paie une prime pour bénéficier de l’indemnisation de son assureur. Cependant, il n’y a aucune garantie contre une pandémie mondiale. Les contrats sur les risques climatiques, par exemple, ne la couvrent pas. De plus, les assureurs ne sont pas non plus couverts contre d’éventuelles pandémies. Cependant, il existe des établissements de réassurance pour couvrir contre les évènements rares. Les primes y sont élevées, bien que la probabilité qu’un tel évènement se produise soit rare, compte tenu des conséquences économiques.

Une assurance pandémie pour mieux anticiper les risques ?

Il y a deux ans, des compagnies d’assurances étrangères spécialisées dans la prévention des épidémies ont souhaité lancer une assurance épidémie. À l’époque, les entreprises voulaient étudier le dossier, sans parvenir à un accord. Actuellement, d’autres sociétés construisent un modèle mathématique pour anticiper et prédire les épidémies comme la Covid-19. Elles défendent l’idée que l’assurance pandémie aurait été adéquate face à la crise sanitaire. Elles établissent également un nouvel indice « Sentiment Index » dans le calcul du risque. Cet indice prend en compte le rôle de la peur et de la panique dans le coût d’une épidémie.

La réaction des entreprises et des assurances pour gérer les risques

Les négociations entre les assureurs et les entreprises ont commencé en attendant que l’assurance pandémie soit mise en place. La crise sanitaire encourage les assureurs à être plus conscients des risques. À cet effet, ils augmentent leurs prix, mais excluent la pandémie du contrat d’assurance. Cependant, à cause de la Covid-19, certains assureurs ont déjà indemnisé de nombreuses sociétés pour les « pertes commerciales ».

Pour le monde de l’assurance, comme pour beaucoup d’autres secteurs, 2020 demeurera dans les esprits comme un point de bascule.

Les répercussions de la crise du Covid-19 s’annoncent durables. De fait, elles ont obligé les assureurs à entamer une réflexion quant à l’anticipation de risques de cette ampleur.

Petit tour d’horizon des axes majeurs de cette introspection…

Un tsunami sociétal et fonctionnel

La survenue de la pandémie a surpris le monde entier.

La vague n’a épargné aucun pays. Plus encore, elle n’a épargné aucune branche de la société : d’abord sanitaire, la crise est ensuite devenue économique, puis sociale.

Similaire à un scénario de guerre, un tel contexte a ébranlé le domaine de l’assurance, pour qui la mutualisation des risques est un pilier essentiel. Pilier mis à mal par la multiplicité des appels à l’aide d’une société acculée de toutes parts.

Un tsunami mondial et inédit

De plus, la mondialisation s’est avérée un puissant accélérateur de propagation. Ainsi décuplées, les conséquences de la pandémie ont révélé un profond bouleversement de l’environnement dans lequel le secteur de l’assurance s’inscrit en ce début de XXIe siècle.

Là où beaucoup pensaient l’époque moderne à l’abri d’obscures pandémies assimilées à une Histoire lointaine, la crise a démontré que cette certitude était infondée.

Au regard de ce coup de théâtre et du changement climatique en cours, les assureurs assistent donc à l’émergence de risques hautement complexes, pour lesquels de nouvelles stratégies doivent être mises en place.

Face à l’ampleur d’un tel chamboulement, 2020 s’inscrit ainsi comme le point de départ d’une réflexion inédite : comment rendre possible la couverture d’un risque de pandémie mondiale ?

D’ores et déjà, il semble que les réponses d’ordre unilatéral devront céder leur place à une riposte coordonnée entre Etats et acteurs du monde de l’assurance.

Bibliographie pour s’initier aux métiers de l’assurance

L’ESA Paris

L’Ecole Supérieure de l’Assurance propose depuis 39 des programmes de formation dans les secteurs de l’assurance et de la banque, pour tous ceux qui souhaitent de former à ces métiers. Pour s’y préparer, nous vous recommandons une liste d’ouvrages sur ce sujet.

Ouvrages généraux

Mathématiques de l’assurance

Perspectives du secteur de l’assurance

Lire ces ouvrages permettent de préparer sa formation aux métiers de l’assurance et de se plonger dans ce domaine.

Assurance et optimisation fiscale. Si peu de personnes connaissent le lien entre ces deux notions, il est pourtant bien réel. En effet, certains dispositifs propres au domaine de l’assurance permettent d’alléger vos dépenses fiscales. Les voici.

L’assurance vie : un mécanisme courant d’optimisation fiscale

L’assurance vie est l’un des produits d’épargne les plus connus et répandus en France. Il consiste en un placement financier qui peut remplir plusieurs objectifs : préparer la retraite, réaliser un projet immobilier, transmettre de l’argent en cas de décès…

En matière fiscale, l’assurance vie présente un avantage majeur : seuls les intérêts générés par le placement financier sont taxés au moment du retrait du capital. Ce dernier ne subit pour sa part aucune amputation. L’enveloppe fiscale assurance-vie permet donc de réaliser des économies. Celles-ci seront d’autant plus substantielles que vous conservez longtemps votre compte. À titre informatif, un contrat d’assurance vie arrivé à maturité (au bout de 8 ans) permet à son détenteur de bénéficier d’une franchise fiscale de 4600 euros. Elle s’élève à 9200 euros pour un couple lors du retrait du capital.

Dans la même optique, l’argent déposé sur le compte assurance-vie, en cas de décès de l’assuré, n’est pas soumis aux droits de succession. C’est donc un moyen efficace de faire bénéficier à vos proches du fruit de votre labeur.

Le plan épargne retraite : la possibilité d’une déduction d’impôts

Le plan épargne retraite est au autre produit d’assurance répandu. Créé en 2003, il permet au souscripteur de se constituer un pécule en prévision des vieux jours. Ce dernier lui sera versé en rentes viagères. L’argent investi dans le plan épargne retraite ne peut pas être utilisé avant l’entrée dans cette période de vie.

L’un des atouts de ce dispositif est qu’il permet aux contribuables de déduire de leurs revenus imposables le montant qu’ils ont versé sur la plan épargne, et ce dans la limite d’un plafond.

Voici donc les produits d’assurance qui permettent de faire de l’optimisation ou de la déduction fiscale.

Les compagnies d’assurance, les sociétés de bourse, les cabinets de courtage, les institutions financières et les cabinets en gestion de patrimoine partagent un point commun. Ils sont à l’affût d’un expert en ingénierie patrimoniale. Le professionnel est un acteur incontournable de la résolution des problématiques liées au patrimoine. Concrètement, quels sont ses rôles ?

Conseiller son client sur la gestion de son patrimoine

L’expert en ingénierie patrimoniale est porteur de bons conseils. Il mobilise son expertise en droit, en immobilier, en bourse et en fiscalité afin d’élaborer une stratégie adaptée aux besoins de son client. Cette mission demande une grande capacité d’écoute. Son travail consiste en plusieurs étapes : l’audit, le diagnostic et la conclusion. Il livre un rapport mettant en lumière l’approche à utiliser.

Selon la complexité de la demande, le professionnel sollicite l’appui d’un autre prestataire. En cas de cession d’activité de son client, il demande l’aide de spécialistes juridiques et fiscaux. La synergie des compétences augmente ainsi les bénéfices du client.

Développer le portefeuille de son client

Il améliore le portefeuille de son client à travers des prestations personnalisées et des réponses techniques. La technicité se trouve au cœur de ses compétences. Cette qualité s’acquiert après plusieurs années de formation supérieure de l’univers juridique, complétée d’une spécialisation en gestion de patrimoine. Doté d’un excellent sens de la communication, le professionnel est capable de tisser des liens de confiance avec le notaire, l’avocat, l’expert-comptable et la banque de son client.

Sa tâche porte souvent à confusion avec celle du conseiller en patrimoine. Pourtant, ces professions divergent sur un point crucial : la finalité. Si l’expert en ingénierie patrimoniale recommande et préconise des stratégies sans arrière-pensée commerciale, le conseiller pousse son client à l’achat.

Conclusion

L’expert en ingénierie patrimoniale est un professionnel polyvalent. Il fournit des recommandations sur-mesure concernant le développement du patrimoine. Son objectif tend vers l’optimisation et la protection des biens mobiliers et immobiliers de son client.

Une entreprise élabore des stratégies pour atteindre ses objectifs et sa santé se mesure à la croissance de ses bénéfices. Pour préserver son organisation, ses comptes et la sécurité de ses salariés, elle peut compter parmi ses effectifs le manager des risques.

Pourquoi manager les risques ?

En entreprise comme dans la vie, nous sommes confrontés à des événements imprévisibles (inondations, épidémies, vols, incendie…) ou existants (comptabilité fragile), avec en conséquence, des pertes financières. Dans une conjoncture difficile, nier ces paramètres peut s’avérer délétère, voire fatal pour l’entreprise. Il lui est donc primordial d’éviter ou de minimiser l’impact d’une catastrophe.

Comment manager les risques ?

Le manager des risques a pour vocation d’anticiper les menaces, qu’elles soient comptables, structurelles ou externes. Pour ce faire, il analyse la situation de l’entreprise : il établit le diagnostic et présente les résultats. Les faiblesses identifiées, il apporte son expertise, évalue les conséquences, calcule le coût des pertes éventuelles et élabore des stratégies d’évitement ou d’aménagement en cas de crise. Plus concrètement, il fait la lumière sur les corrections comptables à apporter et échafaude des plans de sauvegarde face aux catastrophes pour assurer la continuité de production ou de service de l’entreprise. Pour couvrir les dommages potentiels, le manager des risques prospecte, négocie et met en place des contrats d’assurances adaptés aux sinistres. En tant qu’expert, il sensibilise et forme le personnel sur la prévention et la sécurité en entreprise.

Comment devenir manager des risques ?

Devenir manager des risques nécessite à la fois une expérience managériale solide et un niveau bac +5, obtenu en école supérieure de commerce et de gestion spécialisée en finance, en école d’ingénieur ou encore en école supérieure d’assurances.

Avec son sens de l’analyse et des prévisions, additionnées à ses compétences et ses connaissances, le manager des risques joue un rôle majeur dans la sécurité financière de l’entreprise et dans sa capacité à prévenir les nombreux risques qui la menacent.

Vaste est le monde de l’assurance. Il comprend de nombreux domaines et secteurs très variés. Le métier de manager s’exerce dans un bureau ou sur le terrain, dans des environnements spécifiques.

Descriptif du métier

Les agents en assurance sont centralisés et dispatchés dans diverses structures. Pour chapeauter l’ensemble du personnel et des services, les organismes d’assurance emploient, en interne, des managers en assurance. Il leur incombe le rôle de déterminer et de suivre le budget de la structure et de diriger les aspects administratif et comptable de l’ensemble du service.

Le manager en assurance supervise et organise l’activité d’un service ou d’un département spécialisé. Pour ce faire, il doit posséder de nombreuses aptitudes.

Outre des connaissances solides en assurance, il doit aussi avoir des notions en management et en ressources humaines ainsi qu’une expérience professionnelle dans le domaine de l’assurance. Possédant un statut de cadre, le manager en assurance doit avoir des compétences en management commercial, souscription et gestion de sinistres.

En lien avec divers professionnels

Ce métier se pratique dans des secteurs différents (sociétés d’assurances, compagnies, mutuelles) où il aura comme interlocuteurs des comptables, des experts, des juristes ou des avocats. Le manager en assurances peut également être conduit à discuter des termes de contrats pour des cabinets d’avocats ou d’expertises.

Etant administrateur de service, le manager en assurances est susceptible d’élaborer des contrats de partenariat et d’animer des activités de formation interne.

Le rôle de ce professionnel est donc extrêmement polyvalent et ne se résume pas à une banale gestion de service. De plus, son activité dépend de son domaine de service et de son secteur, santé ou assurance-vie, par exemple.

Il lui revient de déterminer et d’instaurer l’organisation des activités au sein de son service ou département.

Le manager en assurances met aussi en place les formalités de traitement des dossiers, conçoit et met à jour les outils nécessaires au suivi de l’activité. Il gère les dossiers délicats et les réclamations des clients.

Ce professionnel doit également maîtriser diverses techniques commerciales.

La DDA (Directive sur la Distribution d’Assurances) est une directive européenne qui a pour but de mieux protéger les consommateurs vis-à-vis des produits d’assurance.

Définition

La DDA s’étend de manière identique dans tous les pays d’Europe afin de standardiser les pratiques et rendre plus juste la distribution d’assurance. Les objectifs de cette Directive sont les suivants :

– uniformisation des standards relatifs à la distribution des produits d’assurance,

– amélioration significative des standards de conduite,

– augmentation de la protection des consommateurs,

– mise en place des facteurs de concurrence.

Insurance Product Information Document (IPID)

Il s’agit là d’un document qui formalise les informations en lien avec un produit d’assurance. L’Insurance Product Information (IPID) fait partie des principales obligations de la DDA. De cette façon, tous les distributeurs de produits d’assurance ont l’obligation de proposer un document normalisé à leurs clients et prospects. Généralement, ce document se conforme à un format déterminé, dans sa forme et son contenu, pour présenter les points essentiels nécessaires au client afin d’avoir toutes les cartes en main pour choisir son assurance.

Les IPID sont, à présent, mis à disposition dans les comparateurs grâce à des liens qui permettent de télécharger les IPID et les documents pré contractuels.

Information et conseil

La transparence apportée par la DDA permet aux particuliers d’être dans des conditions idéales pour le choix de leur assurance. Ainsi, ils ont une meilleure connaissance des produits auxquels ils sont susceptibles de souscrire mais aussi du professionnel d’assurance à qui ils ont affaire.

Le distributeur d’assurance, en sus d’une simple information, a donc un devoir de conseil. Pour cela, il élabore une analyse et émet un avis, honnête et impartial, dans l’intérêt du client. Cela suppose d’avoir un nombre conséquent de propositions. D’ailleurs, cet avis inclut des recommandations précises, claires, compréhensibles, personnalisées et pertinentes par rapport aux attentes et exigences du client. Au final, il précède tout acte de vente.

Bien que faisant partie intégrante des contrats d’assurance, le principe de « risque » reste encore aujourd’hui mal compris. Complexe à saisir au premier abord, cette notion importante mérite qu’on s’attarde sur sa signification afin d’appréhender correctement la manière dont fonctionnent les différents types d’assurance…

Le risque en assurance : c’est quoi au juste ?

Le risque correspond dans le milieu assurantiel à la possibilité qu’un accident ou un préjudice se déclare. Toute personne ou toute entreprise souscrit justement un contrat auprès d’une assurance afin que celle-ci prenne en charge les répercussions économiques ou matérielles générées par un tel incident. Sur le plan juridique et technique, cet incident nommé « risque assurable » doit obligatoirement être situé dans le futur, être hasardeux, permis par la loi et non provoqué volontairement par l’assuré.

L’assuré est tenu d’effectuer la déclaration du risque à son assureur afin que celui-ci procède à l’appréciation et à la détermination du prix de la garantie. Cette déclaration se poursuit également si le risque s’aggrave. Par exemple, dans le cas d’une assurance maladie, si celle-ci est valable pour un risque de maladie précis, l’assuré doit déclarer toute contraction d’une autre maladie sous peine que son contrat devienne nul.

Les risques couverts par un contrat d’assurance sont, par ailleurs, modifiables et certains risques font l’objet d’une exclusion légale. C’est notamment le cas des dommages générés volontairement par un assuré qui ne peuvent en aucun cas être garantis par un contrat d’assurance.

Le cas du risque « aggravé »

Les contrats d’assurance font également mention d’une seconde notion de risque moins connue nommée « risque aggravé ». Dans le cas d’un conducteur automobile, par exemple, le risque aggravé désigne une situation dans laquelle un assuré a subi plusieurs sinistres, perdu son permis de conduire, possède un malus trop élevé ou a été contrôlé par les forces de l’ordre alors qu’il était ivre. L’assureur de ce conducteur considère alors ce dernier comme un risque aggravé, ce qui implique d’ailleurs une augmentation du coût de son contrat d’assurance.

Vous travaillez dans le secteur de l’assurance et vous souhaiteriez obtenir un diplôme afin d’enrichir votre CV ? Avez-vous pensé à la VAE (Validation des acquis de l’expérience) ?

La VAE : qu’est-ce que c’est ?

La VAE est un dispositif ouvert à tous qui vous permet de faire valider les compétences acquises « sur le terrain » et d’obtenir un diplôme. Selon votre niveau initial et votre expérience professionnelle, vous pouvez ainsi viser par exemple le BTS Assurance ou le diplôme de Manager de l’Assurance.

La VAE : livret 1

Première étape, identifier le diplôme visé et vérifier que votre expérience professionnelle est cohérente avec le référentiel du diplôme. Vous complétez alors le livret 1 de la VAE, en indiquant vos motivations et les postes occupés en rapport avec la certification visée. Vous transmettez ce livret 1 à l’organisme certificateur. Cet organisme vérifie que vous répondez aux critères de la VAE et vous confirme votre recevabilité.

La VAE : livret 2

Les choses sérieuses commencent. Il vous faut compléter le livret 2 de votre VAE. Un modèle vous est founi et selon votre situation vous pouvez bénéficier d’un accompagnement pour le rédiger. Il vous est tout d’abord demandé de présenter plusieurs expériences professionnelles en rapport avec la certification visée, en indiquant les savoir-être et savoir-faire que vous avez mis en oeuvre. Il faut également être en mesure de prendre du recul sur ces expériences et d’analyser votre pratique professionnelle. Ce livret 2 est également transmis à l’organisme certificateur.

L’oral de VAE

Dernière étape, vous allez défendre votre dossier à l’oral devant un jury. Ce jury aura pris connaissance de votre dossier et peut être amené à vous demander des compléments d’informations sur vos motivations, vos objectifs ou vos expériences professionnelles.

La validation

Le jury peut valider totalement, partiellement ou refuser votre certification. Si la validation est partielle, vous pourrez la compléter par la suite. Sachez enfin qu’en cas de validation totale, le diplôme obtenu a exactement la même valeur que par la voie classique.

De nos jours, le marché des assurances est très florissant. L’avenir est incertain, et les personnes ont besoin de s’assurer eux-mêmes, ainsi que leurs proches. C’est pour cette raison que le marché des assurances est très porteur. Dans une civilisation dans laquelle les situations personnelles et professionnelles des personnes évoluent constamment, une multitude d’assurances a vu le jour : l’assurance habitation, l’assurance automobile, de responsabilité civile, l’assurance annulation pour les voyages, l’assurance-vie, pour les téléphones, ordinateurs, et même pour les animaux.

Les assurances : un secteur porteur en 2020 et en 2021

Les aléas de la vie font partie du quotidien des Français. Les soucis de santé, un nouveau téléphone qui se brise, une entrée par effraction chez soi, assurer la scolarité des enfants… Le rôle de l’assureur est de protéger les individus. Les compagnies d’assurance protègent les particuliers ainsi que les entreprises, en traitant environ 30 000 dommages chaque jour.

À cela s’ajoute la crise sanitaire qui sévit dans le monde depuis plusieurs mois. Les assureurs ont comme mission d’accompagner leurs clients et protéger les plus affectés, à travers des mesures exceptionnelles. Par exemple, les assurés les plus vulnérables peuvent compter sur leur contrat de prévoyance santé ou encore leur assurance vieillesse.

Aussi, en cas de catastrophes naturelles, comme de fortes inondations, les victimes ont la possibilité de faire appel à leur assurance habitation à laquelle elles ont souscrit.

Un secteur diversifié qui recrute

La société a de plus en plus besoin de professionnels dans ce domaine. Le marché de l’assurance est en plein essor. Afin d’expliquer l’engouement pour cette activité, il faut prendre en compte que les avantages du secteur sont multiples : flexibilité, possibilité de voyager, rémunération confortable… De plus, ces dernières années, plusieurs départs à la retraite ont libéré la place pour les plus jeunes et les professionnels en reconversion.

De plus, ce secteur est très enrichissant pour un jeune diplômé. Le marché de l’assurance permet d’exercer auprès de particuliers ou de grands groupes d’entreprises. Il a la possibilité de choisir différents domaines à savoir l’actuariat, le commercial, le juridique et financier

Les compagnies d’assurances, ainsi que les banques ont des postes à pourvoir dabs ce domaine d’activité. Les grands groupes entreprises parcourent également les meilleurs CV des professionnels du secteur. Les expériences professionnelles effectuées pendant ces cursus conduisent à une embauche dans plus de 64% des cas.

Le marché des assurances permet de découvrir plusieurs entreprises, plusieurs partenariats etc…Il est très intéressant et enrichissant professionnellement de s’y plonger. Ce domaine d’activité est en recherche constante de profils certifiés et aptes à être opérationnels rapidement sur le marché du travail.

Documentation

Demande d'informations

Demander à être rappelé

Agenda